Le maire de Daloa, Samba Coulibaly n’a pas attendu longtemps pour réagir aux accusations d’un confrère faisant état de sa condamnation à 3 mois de prison ferme et de son arrestation.
Dans sa parution de lundi dernier, ‘’ le quotidien d’Abidjan’’ barrait à sa grande ‘’une’’ :« Détournement de fonds, la France fait emprisonner un proche de Ouattara. Comment le maire de Daloa a été terrassé.» Selon le confrère, le maire se serait rendu coupable de faux et usage de faux en utilisant des documents de la société Palmafrique, dont il serait l’ancien PCA, en usurpant des titres qu’il ne posséderait plus pour intimider les fournisseurs et clients de la société ». Toujours selon le confrère, le maire condamné aurait été aussitôt emprisonné ‘’manu militari’’ et « ramené comme un simple et vulgaire colis pour être ensuite jeté en prison de la manière la plus humiliante». Cela consécutivement au détournement de la somme de 60 millions de FCFA au détriment de la société PALMAFRIQUE et du nommé Jean Luc Labonte, le désormais représentant légal de la société. Citant certaines sources, l’auteur de l’article fait état de ce que la France serait intervenu auprès du président OUATTARA pour faire emprisonner le supposé indélicat maire, qui croupirait, en ce moment, dans ‘’ un lieu nauséeux’’. Joint au téléphone hier, le maire SAMBA Coulibaly s’est dit abasourdi par des affirmations qu’il a vite fait de qualifier de ‘’ balivernes honteuses’’. « Je tombe des nus. Qu’un journal digne de ce nom puisse affirmer que quelqu’un est condamné et enfermé alors que je suis assis tranquillement en ce moment à mes bureaux!! ». De toutes les accusations dont est affublé, Samba Coulibaly a dit attendre de rentrer, ce mercredi à DALOA, pour le deuxième conseil municipal de sa magistrature, pour dire la vérité des faits. En attendant, M. Samba Coulibaly dit avoir saisit ses avocats en vue d’intenter des poursuites en diffamation à l’encontre du journal présumé diffamateur.
D KONATE
Dans sa parution de lundi dernier, ‘’ le quotidien d’Abidjan’’ barrait à sa grande ‘’une’’ :« Détournement de fonds, la France fait emprisonner un proche de Ouattara. Comment le maire de Daloa a été terrassé.» Selon le confrère, le maire se serait rendu coupable de faux et usage de faux en utilisant des documents de la société Palmafrique, dont il serait l’ancien PCA, en usurpant des titres qu’il ne posséderait plus pour intimider les fournisseurs et clients de la société ». Toujours selon le confrère, le maire condamné aurait été aussitôt emprisonné ‘’manu militari’’ et « ramené comme un simple et vulgaire colis pour être ensuite jeté en prison de la manière la plus humiliante». Cela consécutivement au détournement de la somme de 60 millions de FCFA au détriment de la société PALMAFRIQUE et du nommé Jean Luc Labonte, le désormais représentant légal de la société. Citant certaines sources, l’auteur de l’article fait état de ce que la France serait intervenu auprès du président OUATTARA pour faire emprisonner le supposé indélicat maire, qui croupirait, en ce moment, dans ‘’ un lieu nauséeux’’. Joint au téléphone hier, le maire SAMBA Coulibaly s’est dit abasourdi par des affirmations qu’il a vite fait de qualifier de ‘’ balivernes honteuses’’. « Je tombe des nus. Qu’un journal digne de ce nom puisse affirmer que quelqu’un est condamné et enfermé alors que je suis assis tranquillement en ce moment à mes bureaux!! ». De toutes les accusations dont est affublé, Samba Coulibaly a dit attendre de rentrer, ce mercredi à DALOA, pour le deuxième conseil municipal de sa magistrature, pour dire la vérité des faits. En attendant, M. Samba Coulibaly dit avoir saisit ses avocats en vue d’intenter des poursuites en diffamation à l’encontre du journal présumé diffamateur.
D KONATE