Bouaké, Le président de l’Université Alassane Ouattara (UAO) de Bouaké, le Pr. Lazare Paomé, demande aux enseignants en grève de reprendre le chemin des amphithéâtres, dès lundi, les rassurant que la Direction générale du Trésor est à pied d’œuvre et s’attèle pour payer leur dû estimé à plus de 2,2 milliards de francs, en souffrance à l’Inspection générale des finances(IGF), indique-t-on.
’’Les dossiers sont en bonne voie. Tout le monde s’active au Trésor. Cultivez la patience, donnez-leur le temps pour que des solutions durables soient trouvées à vos problèmes’’, a plaidé le président de l’UAO , vendredi, lors d’une réunion avec les personnels administratifs, enseignants, chercheurs et étudiants, au campus-2 de l’université, à Bouaké.
’’Je compte sur votre responsabilité, votre sagesse et votre solidarité pour que le travail reprenne’’, a-t-il exhorté, s’adressant aux enseignants grévistes de la section locale de la Coordination nationale des enseignants et chercheurs de Côte d’Ivoire (CNEC).
Le président de l’UAO a fait remarquer que "l’argent tarde, parce que le montant est important et que l’Inpection générale des finances leur a fait savoir que la situation relève d’une gestion budgétaire, mais que l’Etat va trouver une méthode, et vous serez payés, au titre de la dette intérieure". "Le dossier sera réglé avant la fin de l’année ’’, leur a-t-il annoncé.
Le président Poamé a dit reconnaître le droit de grève des enseignants, toutefois, ils ne devraient pas embraser la situation au risque de pousser au découragement, mais de faire en sorte que "tous ceux qui veulent les aider, notamment le ministre de l’Enseignement supérieur qui, selon le Pr Poamé, ne cesse de chercher les moyens pour les satisfaire".
Le président Lazare Poamé a demandé par ailleurs aux enseignants de ne pas se laisser tenter par les vieux schémas en s’illustrant par la grève,et donner une autre image aux enseignants, mais de faire la grève autrement en recherchant quelque chose d’innovant pour exprimer leur mécontentement.
’’ Soyons dans une posture innovante. Une mue doit s’effectuer pour que l’UAO, qui porte le nom qui est la sienne, se distingue positivement ’’, a-t-il recommandé par ailleurs.
Des enseignants-chercheurs de l’ Université Alassane Ouattara (UAO), se réclamant de la Coordination nationale des enseignants et chercheurs de Côte d’Ivoire (CNEC), section de Bouaké, ont entamé, lundi, un arrêt de travail, pour exiger, en autres revendications, le paiement de tous les arriérés en souffrance à l’Inspection générale des finances des primes de correction et de délibération de 2007 à 2010.
’’Les dossiers sont en bonne voie. Tout le monde s’active au Trésor. Cultivez la patience, donnez-leur le temps pour que des solutions durables soient trouvées à vos problèmes’’, a plaidé le président de l’UAO , vendredi, lors d’une réunion avec les personnels administratifs, enseignants, chercheurs et étudiants, au campus-2 de l’université, à Bouaké.
’’Je compte sur votre responsabilité, votre sagesse et votre solidarité pour que le travail reprenne’’, a-t-il exhorté, s’adressant aux enseignants grévistes de la section locale de la Coordination nationale des enseignants et chercheurs de Côte d’Ivoire (CNEC).
Le président de l’UAO a fait remarquer que "l’argent tarde, parce que le montant est important et que l’Inpection générale des finances leur a fait savoir que la situation relève d’une gestion budgétaire, mais que l’Etat va trouver une méthode, et vous serez payés, au titre de la dette intérieure". "Le dossier sera réglé avant la fin de l’année ’’, leur a-t-il annoncé.
Le président Poamé a dit reconnaître le droit de grève des enseignants, toutefois, ils ne devraient pas embraser la situation au risque de pousser au découragement, mais de faire en sorte que "tous ceux qui veulent les aider, notamment le ministre de l’Enseignement supérieur qui, selon le Pr Poamé, ne cesse de chercher les moyens pour les satisfaire".
Le président Lazare Poamé a demandé par ailleurs aux enseignants de ne pas se laisser tenter par les vieux schémas en s’illustrant par la grève,et donner une autre image aux enseignants, mais de faire la grève autrement en recherchant quelque chose d’innovant pour exprimer leur mécontentement.
’’ Soyons dans une posture innovante. Une mue doit s’effectuer pour que l’UAO, qui porte le nom qui est la sienne, se distingue positivement ’’, a-t-il recommandé par ailleurs.
Des enseignants-chercheurs de l’ Université Alassane Ouattara (UAO), se réclamant de la Coordination nationale des enseignants et chercheurs de Côte d’Ivoire (CNEC), section de Bouaké, ont entamé, lundi, un arrêt de travail, pour exiger, en autres revendications, le paiement de tous les arriérés en souffrance à l’Inspection générale des finances des primes de correction et de délibération de 2007 à 2010.