Il n’y a pas d’émergence possible sans préalablement enrayer de façon significative la corruption dans toutes les sphères publiques.
Premièrement, établir officiellement sinon légiférer sur le temps requis pour établir, un extrait de naissance dans une mairie, un casier judiciaire, un passeport et une carte d’identité civile à la police, une lettre d’attribution d’un terrain, une attestation provisoire de construction au ministère de l’urbanisme et de l’habitat, un certificat de nationalité à la justice etc. Il faudra que cette information soit connue de toutes les couches sociales lettrées ou non. Le citoyen lambda devra savoir qu’il n’a pas besoin d’intermédiaires pour le racketter afin d’accélérer le processus de traitement de son dossier. Il suffit qu’il se rende au guichet indiqué à cet effet pour s’acquitter de son dû et attendre le temps requis officiellement avec le reçu de son dossier en main. En cas de manquement à ces engagements par la faute d’un agent véreux, le citoyen lambda devra avoir un recours où le règlement de son problème ne devra dépasser 24h. Il pourrait même avoir une option accélérée de traitement des dossiers, mais plus chère au guichet unique dont le gagnant ne sera que l’État. L’agent qui se rendra coupable d’indélicatesse devra être suspendu sans salaire ou licencier sans sommation.
Deuxièmement, la même formule pourrait s’appliquer au ministère de construction et de l’urbanisme où il y a un réseau à grande échelle d’intermédiaires racketteurs pour accélérer le traitement rapide d’un dossier. S’il y a un cas litigieux sur un terrain qu’on le fasse savoir à l’intéressé dans le temps requis comme quoi, son dossier est au département des litiges qui sera créé en conséquence. Un délai de traitement devra être transmis à l’intéressé et qui sera respecté à la lettre. Tout agent qui soutirera de l’argent à un citoyen lambda devra être licencié sans sommation. Cet exemple est valable pour toute l’administration publique ivoirienne.
Troisièmement, tout policier ou gendarme qui soutirera de l’argent à un citoyen lambda sous prétexte que sa voiture n’est pas en règle où qu’il a mal conduit ou sous tout autre argument, s’il est reconnu coupable devra être licencié sans sommation. La loi devra être claire sur le fait qu’aucune transaction d’argent (espèce ou chèque) entre un civil et un «corps habillé» en devoir n’est autorisée par la loi. Le civil devra subir une sanction pénale avec la confiscation de son engin sous une amende salée s’il se rend coupable d’un tel forfait.
Quatrièmement, il faudra arrêter les discours creux de certains politiciens pour passer aux actes en informant dans la langue officielle et les langues vernaculaires. Ce programme n’a pas besoin des milliards, et nous n’avons pas à attendre la numérisation de l’administration publique pour agir. Il faut juste une volonté politique et beaucoup d’audaces. Nous savons que le chef de l’état son Excellence Alassane Ouattara fait beaucoup d’efforts, il faudra l’aider à atteindre ses objectifs de développement avec une nouvelle mentalité des Ivoiriens.
Adam Sanogo,
USA.
Premièrement, établir officiellement sinon légiférer sur le temps requis pour établir, un extrait de naissance dans une mairie, un casier judiciaire, un passeport et une carte d’identité civile à la police, une lettre d’attribution d’un terrain, une attestation provisoire de construction au ministère de l’urbanisme et de l’habitat, un certificat de nationalité à la justice etc. Il faudra que cette information soit connue de toutes les couches sociales lettrées ou non. Le citoyen lambda devra savoir qu’il n’a pas besoin d’intermédiaires pour le racketter afin d’accélérer le processus de traitement de son dossier. Il suffit qu’il se rende au guichet indiqué à cet effet pour s’acquitter de son dû et attendre le temps requis officiellement avec le reçu de son dossier en main. En cas de manquement à ces engagements par la faute d’un agent véreux, le citoyen lambda devra avoir un recours où le règlement de son problème ne devra dépasser 24h. Il pourrait même avoir une option accélérée de traitement des dossiers, mais plus chère au guichet unique dont le gagnant ne sera que l’État. L’agent qui se rendra coupable d’indélicatesse devra être suspendu sans salaire ou licencier sans sommation.
Deuxièmement, la même formule pourrait s’appliquer au ministère de construction et de l’urbanisme où il y a un réseau à grande échelle d’intermédiaires racketteurs pour accélérer le traitement rapide d’un dossier. S’il y a un cas litigieux sur un terrain qu’on le fasse savoir à l’intéressé dans le temps requis comme quoi, son dossier est au département des litiges qui sera créé en conséquence. Un délai de traitement devra être transmis à l’intéressé et qui sera respecté à la lettre. Tout agent qui soutirera de l’argent à un citoyen lambda devra être licencié sans sommation. Cet exemple est valable pour toute l’administration publique ivoirienne.
Troisièmement, tout policier ou gendarme qui soutirera de l’argent à un citoyen lambda sous prétexte que sa voiture n’est pas en règle où qu’il a mal conduit ou sous tout autre argument, s’il est reconnu coupable devra être licencié sans sommation. La loi devra être claire sur le fait qu’aucune transaction d’argent (espèce ou chèque) entre un civil et un «corps habillé» en devoir n’est autorisée par la loi. Le civil devra subir une sanction pénale avec la confiscation de son engin sous une amende salée s’il se rend coupable d’un tel forfait.
Quatrièmement, il faudra arrêter les discours creux de certains politiciens pour passer aux actes en informant dans la langue officielle et les langues vernaculaires. Ce programme n’a pas besoin des milliards, et nous n’avons pas à attendre la numérisation de l’administration publique pour agir. Il faut juste une volonté politique et beaucoup d’audaces. Nous savons que le chef de l’état son Excellence Alassane Ouattara fait beaucoup d’efforts, il faudra l’aider à atteindre ses objectifs de développement avec une nouvelle mentalité des Ivoiriens.
Adam Sanogo,
USA.