La salle de conférence du ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement technique a servi, le lundi 05 août 2013, à une rencontre entre Ibrahima Kourouma, coordonateur général de l’Inspection générale dudit ministère avec les journalistes relativement aux reformes de la rentrée scolaire prochaine.
’1000 instituteurs seront recrutés pour un an de formation à l’Ens (Ecole normale supérieure) pour enseigner au secondaire, 47 collèges de proximité à base 2 dont les financements sont prêts, seront construits en 2014’’. Telles sont qu’importantes informations que Ibrahima Kourouma a livrées aux journalistes. Selon lui, il y a environ 1500 instituteurs qui ont obtenu leur licence et sont aptes à enseigner au secondaire, c’est parmi eux qu’il y aura le recrutement et la Banque mondiale est décidée à appuyer toutes ces reformes. Toute cette mesure de batteries sert, dit-il, à juguler le taux de redoublement très élevé qui fait perdre 81 milliards de FCFA à l’Etat chaque année. C’est pourquoi, a-t-il expliqué, la barre d’admissibilité en 6ème est de 85 points soit 10/20 parce que les infrastructures d’accueil existent maintenant conformément à la volonté du Président de la République. Pour garantir le taux de réussite, Ibrahima Kourouma a annoncé que les nouveaux professeurs qui seront recrutés devraient être polyvalents pour enseigner plusieurs matières en raison de 21 heures/semaine. C’est pourquoi, il a parlé de la reforme de l’enseignement dans les Cafop qui ne cadre pas avec les enseignements dispensés dans les salles de classe. Pour le coordonateur général, le taux de réussite aux examens doit osciller entre 40 à 80%. C’est pourquoi, il a expliqué les 7 raisons profondes qui ont permis de faire de bons résultats en 2013. Ce sont pêle-mêle, la lutte contre la fraude, l’institutionnalisation de la journée nationale du mérite et de l’excellence, le respect des principes d’évaluation, l’achèvement des programmes, le recrutement de personnels enseignants, l’augmentation des capacités d’accueil et l’action des syndicats. Il a révélé qu’il y aura des réformes sur le Bepc et Bac. Concernant le Cepe, des missions seront faites dans certains pays pour voir comment le supprimer et trouver les mesures d’accompagnement.
M.Ouattara
’1000 instituteurs seront recrutés pour un an de formation à l’Ens (Ecole normale supérieure) pour enseigner au secondaire, 47 collèges de proximité à base 2 dont les financements sont prêts, seront construits en 2014’’. Telles sont qu’importantes informations que Ibrahima Kourouma a livrées aux journalistes. Selon lui, il y a environ 1500 instituteurs qui ont obtenu leur licence et sont aptes à enseigner au secondaire, c’est parmi eux qu’il y aura le recrutement et la Banque mondiale est décidée à appuyer toutes ces reformes. Toute cette mesure de batteries sert, dit-il, à juguler le taux de redoublement très élevé qui fait perdre 81 milliards de FCFA à l’Etat chaque année. C’est pourquoi, a-t-il expliqué, la barre d’admissibilité en 6ème est de 85 points soit 10/20 parce que les infrastructures d’accueil existent maintenant conformément à la volonté du Président de la République. Pour garantir le taux de réussite, Ibrahima Kourouma a annoncé que les nouveaux professeurs qui seront recrutés devraient être polyvalents pour enseigner plusieurs matières en raison de 21 heures/semaine. C’est pourquoi, il a parlé de la reforme de l’enseignement dans les Cafop qui ne cadre pas avec les enseignements dispensés dans les salles de classe. Pour le coordonateur général, le taux de réussite aux examens doit osciller entre 40 à 80%. C’est pourquoi, il a expliqué les 7 raisons profondes qui ont permis de faire de bons résultats en 2013. Ce sont pêle-mêle, la lutte contre la fraude, l’institutionnalisation de la journée nationale du mérite et de l’excellence, le respect des principes d’évaluation, l’achèvement des programmes, le recrutement de personnels enseignants, l’augmentation des capacités d’accueil et l’action des syndicats. Il a révélé qu’il y aura des réformes sur le Bepc et Bac. Concernant le Cepe, des missions seront faites dans certains pays pour voir comment le supprimer et trouver les mesures d’accompagnement.
M.Ouattara