Dans l’entretien qu’il nous a accordé, hier, le ministre Niamien N’goran, président coordonnateur de l’organisation
du XIIe congrès ordinaire du Pdci Rda, donne l’état d’avancement des préparatifs du conclave qui réunit ce samedi
à Yamoussoukro, les secrétaires généraux de section autour du président Bédié.
Monsieur le ministre, nous sommes à quelques jours du conclave qui va réunir à Yamoussoukro, les secrétaires généraux de section du Pdci Rda autour du président Henri Konan Bédié. A quel niveau êtes vous dans les préparatifs de cette rencontre ?
L’organisation est un travail permanent. Même jusqu’au dernier jour, on mettra le métier à l’ouvrage. Mais je dois indiquer que nous sommes prêts. Nous avons aujourd’hui (Ndlr hier), une réunion qui va regrouper les responsables qui ont été désignés au niveau des six zones. Nous allons faire le point pour indiquer comment les secrétaires de section vont rallier Yamoussoukro. Les échos que nous avons sont très bons. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’il a fallu voir la liste des secrétaires de section. Ils sont plus de 3 000. Le dernier état que le secrétaire général adjoint chargé des Délégations et des sections m’a fait, c’est 2952 secrétaires de section qui ont été recensés sur l’ensemble du territoire national. La zone sud regroupe beaucoup de secrétaires de section. Ils sont environ 652. Cette zone est coordonnée par le maire Noel Akossi Bendjo. Nous ferons le point avec eux pour voir dans quelle condition ils vont se rendre à Yamoussoukro.
Quand est ce que les secrétaires de section doivent ils se rendre à Yamoussoukro ?
Ce que nous conseillons, c’est qu’ils se rendent très tôt le matin du 17 août à la Fondation Félix Houphouët Boigny. Mais s’il y a des délégations qui viennent de très loin, il est bon qu’elles viennent dormir la veille à Yamoussoukro.
Qui sont ceux qui sont attendus à cette rencontre ?
Ce sont essentiellement les secrétaires de section. Le conclave va réunir les secrétaires de section autour du président du parti. Bien sûr, il y a d’autres personnalités qui prendront part à la rencontre. Il y a les doyens, notamment la coordination des membres du Conseil politique. Il y a d’autres doyens du parti qui sont invités par le président. Il y a les vice présidents du Pdci qui sont également des invités du président du parti. Pour ces personnalités citées, le président du parti a signé des correspondances, lui même, pour les inviter spécialement. Il s’agit pour le président de rencontrer la base, parce que les secrétaires de section constituent la base du Pdci. A cette occasion importante dans les étapes qui doivent nous conduire au Congrès, il doit avoir autour de lui ces personnalités.
Les délégués qui coordonnent les actions des secrétaires généraux de section feront ils partie de la rencontre ?
Bien sûr, ce sont les délégués qui encadrent les secrétaires de section. Il y a 156 délégations départementales et communales. Mais le pays a été divisé en six zones avec un responsable pour chaque zone. C’est une décision qui a été prise au cours du conclave des délégués départementaux et communaux à Grand Bassam. Nous aurons une rencontre avec eux pour savoir à quel niveau ils sont dans les préparatifs de la rencontre. Il y a les problèmes de transport et autres. Il faut voir toute la logistique. Le conclave se tient en une journée. Quand on aura fini, dans l’après midi, les différentes délégations vont reprendre le chemin du retour.
Les délégués départementaux et communaux avaient souhaité rencontrer le président …
Le président a accédé à cette demande. Mais ce sera peut être après le conclave et certainement après le pré congrès éclaté. Le président va donc les rencontrer. Il sait que dans l’organisation du Pdci, les délégués départementaux et communaux jouent un rôle important. Ils constituent des cadres qui sont en contact direct avec la base.
Comment sera meublée la journée du samedi 17 août ?
Elle sera articulée comme suit : A 9h30mn, la mise en place doit être terminée. Et on devrait pouvoir commencer à 10h par l’hymne du Pdci, ensuite la libation. Il y aura par la suite les allocutions. Les représentants des six zones vont intervenir, n’oubliez pas que c’est une rencontre entre le président du parti et les secrétaires de section. Un secrétaire de section de chaque zone parlera au nom de sa zone. Chaque zone a donc préparé son texte après concertation. Il y aura, bien
sûr, l’intervention du coordonnateur que je suis pour dire ce que nous avons fait jusque là et la suite de ce qui va se
faire jusqu’au Congrès. Il y aura également une intervention du secrétaire général adjoint chargé des Finances, une autre intervention du secrétaire général adjoint chargé des
Elections.
Le secrétaire général du Pdci Rda prendra t il la parole ?
Non, il ne prendra pas la parole. En fait, le président veut écouter les préoccupations de la base. Notre intervention, je dirais, est nécessaire pour juste planter le décor et donner un certain nombre d’informations. Parce que n’oubliez pas que dans les deux semaines qui vont suivre le conclave des secrétaires de section, c’est le pré-congrès éclaté. Les raisons du pré congrès éclaté ont été données. Les membres statutaires du Congrès sont environ 16 000. On ne peut pas trouver une salle qui peut contenir 16 000 person nes. Ce ne sera pas efficace. Ça sera, je ne dirai pas la foire, mais c’est tout comme. C’est pour permettre à tous les membres statutaires de pouvoir participer aux débats qui vont conduire aux propositions qui seront faites pour la gestion du Pdci dans les 5 ans à venir. Le Bureau politique du 23 mai 2013 a décidé, sur proposition du président du parti, qu’il y ait le précongrès éclaté.
Des voix s’élèvent à la veille du pré congrès, on entend d’autres sons. Les militants de votre parti n’ont pas raison de nourrir des inquiétudes ?
Les militants doivent garder la sérénité. Il n’y a pas le feu en la demeure. Quand il y a des échéances importantes comme celles qui attendent le parti, c’est normal qu’il y ait un bouillonnement. Le Pdci, c’est comme un organe vivant, et il y a quelquefois des poussées de fièvre dans un organe vivant. C’est tout à fait normal. Mais ça devrait tomber et on devrait être rassemblé autour du président du parti.
Certains des militants de votre parti crient à l’exclusion au niveau du comité d’organisation du congrès. Que leur répondez vous ?
Il n’y a pas d’exclusion. Je mets au défi quiconque peut me dire qu’il est exclu. Il y a un rôle bien déterminé qui a été attribué à chacun au niveau du Bureau politique qui a en charge l’organisation du Congrès sur proposition du président du parti. Toutes les personnes, qui ont été cooptées pour mener des réflexions au niveau des différents thèmes, l’ont été sur la base de propositions adoptées au niveau du Bureau politique. Il n’y a donc pas d’exclusion. Pour être pratique, depuis que les commissions ont été mises en place, nous avons des sollicitations chaque jour que Dieu fait au niveau des cadres du parti qui veulent les intégrer. Ce qui a été fait sans difficulté. On ne peut donc pas parler d’exclusion.
Le président Bédié a parlé récemment avec des doyens de son parti, il a également rencontré les ministres du Pdci. N’est ce pas le signe d’un problème qui existerait au sein de votre parti ?
Non, c’est tout à fait normal qu’il ait ces rencontres. A la veille d’échéances importantes, il faut informer les uns et les autres. Vous savez, le déficit d’in formation crée des situations d’incompréhension. Ça fait partie du rôle du président du parti de rencontrer toutes les personnalités citées. Les doyens sont des sachants, vous le savez. Les ministres nous représentent dans
la gestion de la nation. C’est donc tout à fait normal que le président du parti les rencontre. Ils ont tous leur place au niveau des réflexions qui se mènent pour faire avancer le parti.
Le conclave des secrétaires de section avec le président Bédié avait initialement été prévu à Daoukro. Il se tiendra finalement à Yamoussoukro. Y a t il une raison pour justifier le changement de lieu ?
Il n’y a pas de problème particulier. La rencontre à Daoukro était prévue pour le 1er août. On était prêt au niveau de l’organisation. Mais le calendrier du président nous a amené à renvoyer la rencontre au 17 août. Quand nous avons fait l’évaluation, le président a dit qu’au niveau de Daoukro, c’est bien, mais il est bon que nous soyons à Yamoussoukro, à la Fondation Félix Houphouët Boigny. Parce que Yamoussoukro est en position centrale et on y trouve plus d’équipements. Ça facilite l’organisation du conclave avec tous les conforts. A Daoukro, les participants auraient eu toutes les facilités au niveau de l’accueil, mais à Yamoussoukro, ce sera encore meilleur. Il n’y a pas de problème particulier dans le fait qu’on ait choisi
Yamoussoukro en lieu et place de Daoukro.
Qu’avez vous à dire aux militants de votre parti à quelques jours du conclave ?
Le message particulier que je voudrais lancer aux militants, la presse a fait écho des ambitions des uns et des autres quant à la présidence du parti. Je dis que c’est normal qu’on ait des ambitions, mais il faut que nous redescendions sur terre pour nous retrouver autour du président du parti qui est le ciment de l’unité du parti. Pour que le Pdci sorte renforcé, rassemblé, rajeuni au niveau des responsabilités à l’issue de ces échéances. Ce n’est pas un slogan; le président du parti entend faire de la place aux jeunes comme le Pdci sait le faire. Contrairement à ce qui se dit, la chaîne des générations n’a jamais été rompue au niveau de notre formation politique. Il en sera de même au sortir de ce Congrès. Le conclave constitue le coup d’envoi en quelque sorte du Congrès, puisqu’après le conclave, nous irons au pré congrès, puis au
Congrès.
Interview réalisée par Patrice YAO
du XIIe congrès ordinaire du Pdci Rda, donne l’état d’avancement des préparatifs du conclave qui réunit ce samedi
à Yamoussoukro, les secrétaires généraux de section autour du président Bédié.
Monsieur le ministre, nous sommes à quelques jours du conclave qui va réunir à Yamoussoukro, les secrétaires généraux de section du Pdci Rda autour du président Henri Konan Bédié. A quel niveau êtes vous dans les préparatifs de cette rencontre ?
L’organisation est un travail permanent. Même jusqu’au dernier jour, on mettra le métier à l’ouvrage. Mais je dois indiquer que nous sommes prêts. Nous avons aujourd’hui (Ndlr hier), une réunion qui va regrouper les responsables qui ont été désignés au niveau des six zones. Nous allons faire le point pour indiquer comment les secrétaires de section vont rallier Yamoussoukro. Les échos que nous avons sont très bons. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’il a fallu voir la liste des secrétaires de section. Ils sont plus de 3 000. Le dernier état que le secrétaire général adjoint chargé des Délégations et des sections m’a fait, c’est 2952 secrétaires de section qui ont été recensés sur l’ensemble du territoire national. La zone sud regroupe beaucoup de secrétaires de section. Ils sont environ 652. Cette zone est coordonnée par le maire Noel Akossi Bendjo. Nous ferons le point avec eux pour voir dans quelle condition ils vont se rendre à Yamoussoukro.
Quand est ce que les secrétaires de section doivent ils se rendre à Yamoussoukro ?
Ce que nous conseillons, c’est qu’ils se rendent très tôt le matin du 17 août à la Fondation Félix Houphouët Boigny. Mais s’il y a des délégations qui viennent de très loin, il est bon qu’elles viennent dormir la veille à Yamoussoukro.
Qui sont ceux qui sont attendus à cette rencontre ?
Ce sont essentiellement les secrétaires de section. Le conclave va réunir les secrétaires de section autour du président du parti. Bien sûr, il y a d’autres personnalités qui prendront part à la rencontre. Il y a les doyens, notamment la coordination des membres du Conseil politique. Il y a d’autres doyens du parti qui sont invités par le président. Il y a les vice présidents du Pdci qui sont également des invités du président du parti. Pour ces personnalités citées, le président du parti a signé des correspondances, lui même, pour les inviter spécialement. Il s’agit pour le président de rencontrer la base, parce que les secrétaires de section constituent la base du Pdci. A cette occasion importante dans les étapes qui doivent nous conduire au Congrès, il doit avoir autour de lui ces personnalités.
Les délégués qui coordonnent les actions des secrétaires généraux de section feront ils partie de la rencontre ?
Bien sûr, ce sont les délégués qui encadrent les secrétaires de section. Il y a 156 délégations départementales et communales. Mais le pays a été divisé en six zones avec un responsable pour chaque zone. C’est une décision qui a été prise au cours du conclave des délégués départementaux et communaux à Grand Bassam. Nous aurons une rencontre avec eux pour savoir à quel niveau ils sont dans les préparatifs de la rencontre. Il y a les problèmes de transport et autres. Il faut voir toute la logistique. Le conclave se tient en une journée. Quand on aura fini, dans l’après midi, les différentes délégations vont reprendre le chemin du retour.
Les délégués départementaux et communaux avaient souhaité rencontrer le président …
Le président a accédé à cette demande. Mais ce sera peut être après le conclave et certainement après le pré congrès éclaté. Le président va donc les rencontrer. Il sait que dans l’organisation du Pdci, les délégués départementaux et communaux jouent un rôle important. Ils constituent des cadres qui sont en contact direct avec la base.
Comment sera meublée la journée du samedi 17 août ?
Elle sera articulée comme suit : A 9h30mn, la mise en place doit être terminée. Et on devrait pouvoir commencer à 10h par l’hymne du Pdci, ensuite la libation. Il y aura par la suite les allocutions. Les représentants des six zones vont intervenir, n’oubliez pas que c’est une rencontre entre le président du parti et les secrétaires de section. Un secrétaire de section de chaque zone parlera au nom de sa zone. Chaque zone a donc préparé son texte après concertation. Il y aura, bien
sûr, l’intervention du coordonnateur que je suis pour dire ce que nous avons fait jusque là et la suite de ce qui va se
faire jusqu’au Congrès. Il y aura également une intervention du secrétaire général adjoint chargé des Finances, une autre intervention du secrétaire général adjoint chargé des
Elections.
Le secrétaire général du Pdci Rda prendra t il la parole ?
Non, il ne prendra pas la parole. En fait, le président veut écouter les préoccupations de la base. Notre intervention, je dirais, est nécessaire pour juste planter le décor et donner un certain nombre d’informations. Parce que n’oubliez pas que dans les deux semaines qui vont suivre le conclave des secrétaires de section, c’est le pré-congrès éclaté. Les raisons du pré congrès éclaté ont été données. Les membres statutaires du Congrès sont environ 16 000. On ne peut pas trouver une salle qui peut contenir 16 000 person nes. Ce ne sera pas efficace. Ça sera, je ne dirai pas la foire, mais c’est tout comme. C’est pour permettre à tous les membres statutaires de pouvoir participer aux débats qui vont conduire aux propositions qui seront faites pour la gestion du Pdci dans les 5 ans à venir. Le Bureau politique du 23 mai 2013 a décidé, sur proposition du président du parti, qu’il y ait le précongrès éclaté.
Des voix s’élèvent à la veille du pré congrès, on entend d’autres sons. Les militants de votre parti n’ont pas raison de nourrir des inquiétudes ?
Les militants doivent garder la sérénité. Il n’y a pas le feu en la demeure. Quand il y a des échéances importantes comme celles qui attendent le parti, c’est normal qu’il y ait un bouillonnement. Le Pdci, c’est comme un organe vivant, et il y a quelquefois des poussées de fièvre dans un organe vivant. C’est tout à fait normal. Mais ça devrait tomber et on devrait être rassemblé autour du président du parti.
Certains des militants de votre parti crient à l’exclusion au niveau du comité d’organisation du congrès. Que leur répondez vous ?
Il n’y a pas d’exclusion. Je mets au défi quiconque peut me dire qu’il est exclu. Il y a un rôle bien déterminé qui a été attribué à chacun au niveau du Bureau politique qui a en charge l’organisation du Congrès sur proposition du président du parti. Toutes les personnes, qui ont été cooptées pour mener des réflexions au niveau des différents thèmes, l’ont été sur la base de propositions adoptées au niveau du Bureau politique. Il n’y a donc pas d’exclusion. Pour être pratique, depuis que les commissions ont été mises en place, nous avons des sollicitations chaque jour que Dieu fait au niveau des cadres du parti qui veulent les intégrer. Ce qui a été fait sans difficulté. On ne peut donc pas parler d’exclusion.
Le président Bédié a parlé récemment avec des doyens de son parti, il a également rencontré les ministres du Pdci. N’est ce pas le signe d’un problème qui existerait au sein de votre parti ?
Non, c’est tout à fait normal qu’il ait ces rencontres. A la veille d’échéances importantes, il faut informer les uns et les autres. Vous savez, le déficit d’in formation crée des situations d’incompréhension. Ça fait partie du rôle du président du parti de rencontrer toutes les personnalités citées. Les doyens sont des sachants, vous le savez. Les ministres nous représentent dans
la gestion de la nation. C’est donc tout à fait normal que le président du parti les rencontre. Ils ont tous leur place au niveau des réflexions qui se mènent pour faire avancer le parti.
Le conclave des secrétaires de section avec le président Bédié avait initialement été prévu à Daoukro. Il se tiendra finalement à Yamoussoukro. Y a t il une raison pour justifier le changement de lieu ?
Il n’y a pas de problème particulier. La rencontre à Daoukro était prévue pour le 1er août. On était prêt au niveau de l’organisation. Mais le calendrier du président nous a amené à renvoyer la rencontre au 17 août. Quand nous avons fait l’évaluation, le président a dit qu’au niveau de Daoukro, c’est bien, mais il est bon que nous soyons à Yamoussoukro, à la Fondation Félix Houphouët Boigny. Parce que Yamoussoukro est en position centrale et on y trouve plus d’équipements. Ça facilite l’organisation du conclave avec tous les conforts. A Daoukro, les participants auraient eu toutes les facilités au niveau de l’accueil, mais à Yamoussoukro, ce sera encore meilleur. Il n’y a pas de problème particulier dans le fait qu’on ait choisi
Yamoussoukro en lieu et place de Daoukro.
Qu’avez vous à dire aux militants de votre parti à quelques jours du conclave ?
Le message particulier que je voudrais lancer aux militants, la presse a fait écho des ambitions des uns et des autres quant à la présidence du parti. Je dis que c’est normal qu’on ait des ambitions, mais il faut que nous redescendions sur terre pour nous retrouver autour du président du parti qui est le ciment de l’unité du parti. Pour que le Pdci sorte renforcé, rassemblé, rajeuni au niveau des responsabilités à l’issue de ces échéances. Ce n’est pas un slogan; le président du parti entend faire de la place aux jeunes comme le Pdci sait le faire. Contrairement à ce qui se dit, la chaîne des générations n’a jamais été rompue au niveau de notre formation politique. Il en sera de même au sortir de ce Congrès. Le conclave constitue le coup d’envoi en quelque sorte du Congrès, puisqu’après le conclave, nous irons au pré congrès, puis au
Congrès.
Interview réalisée par Patrice YAO