Abidjan, Une délégation de la Cellule nationale de traitement des informations financières de Côte d’Ivoire (CENTIF-CI) conduite par son président, Adama Coulibaly, a achevé mercredi à Dakar (Sénégal), une formation sur l’évaluation des risques dans la lutte contre le blanchiment des capitaux, selon une note d’information de l’institution, transmise mercredi à l'AIP.
Organisée par le Groupe intergouvernemental d'action contre le blanchiment d'argent (GIABA), cette formation qui a démarré lundi, visait une meilleure optimisation de l’utilisation des ressources budgétaires allouées à la définition et à l’élaboration des stratégies les plus idoines au regard des risques et menaces réels auxquels les pays de la région sont exposés, souligne le texte.
Selon la note d’information, cet exercice technique s’est fait sur la base des acquis et de l’expérience de chaque CENTIF de l’espace CEDEAO.
Les méthodologies relatives à l’utilisation des modèles du Groupe d’action financière (GAFI), de la Banque mondiale, du FMI et de l'ONUDC ont également été exposées et discutées par les experts, précise le texte qui souligne que les 40 recommandations du GAFI ont été étudiées minutieusement avec ces experts en vue d’une meilleure appropriation par les responsables des CENTIF.
Les recommandations du GAFI au plan international constituent la norme de référence en matière de conception, d’élaboration, de validation et de mise en œuvre des meilleures stratégies de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, explique-t-on.
En mai 2012, sous l’impulsion des autorités ivoiriennes, le système ivoirien de lutte contre les deux phénomènes (la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme) a été évalué au regard desdites normes par des experts du GAFI et du GIABA.
Cette évaluation a abouti à la rédaction d’un rapport dit Rapport d'Évaluation Mutuelle (REM) qui présente les forces et les faiblesses du dispositif national de LBC/FT.
Le GAFI avait, par ailleurs, en 2012, procédé à la révision de ses normes afin de prendre en compte les évolutions internationales intervenues dans le domaine de la LBC/FT, notamment par rapport à l’élargissement du domaine de définition des infractions, des assujettis à la loi LBC/FT et surtout l’évaluation des techniques et méthodes utilisés désormais par les blanchisseurs et terroristes.
(Aip)
kkf/cmas
Organisée par le Groupe intergouvernemental d'action contre le blanchiment d'argent (GIABA), cette formation qui a démarré lundi, visait une meilleure optimisation de l’utilisation des ressources budgétaires allouées à la définition et à l’élaboration des stratégies les plus idoines au regard des risques et menaces réels auxquels les pays de la région sont exposés, souligne le texte.
Selon la note d’information, cet exercice technique s’est fait sur la base des acquis et de l’expérience de chaque CENTIF de l’espace CEDEAO.
Les méthodologies relatives à l’utilisation des modèles du Groupe d’action financière (GAFI), de la Banque mondiale, du FMI et de l'ONUDC ont également été exposées et discutées par les experts, précise le texte qui souligne que les 40 recommandations du GAFI ont été étudiées minutieusement avec ces experts en vue d’une meilleure appropriation par les responsables des CENTIF.
Les recommandations du GAFI au plan international constituent la norme de référence en matière de conception, d’élaboration, de validation et de mise en œuvre des meilleures stratégies de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, explique-t-on.
En mai 2012, sous l’impulsion des autorités ivoiriennes, le système ivoirien de lutte contre les deux phénomènes (la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme) a été évalué au regard desdites normes par des experts du GAFI et du GIABA.
Cette évaluation a abouti à la rédaction d’un rapport dit Rapport d'Évaluation Mutuelle (REM) qui présente les forces et les faiblesses du dispositif national de LBC/FT.
Le GAFI avait, par ailleurs, en 2012, procédé à la révision de ses normes afin de prendre en compte les évolutions internationales intervenues dans le domaine de la LBC/FT, notamment par rapport à l’élargissement du domaine de définition des infractions, des assujettis à la loi LBC/FT et surtout l’évaluation des techniques et méthodes utilisés désormais par les blanchisseurs et terroristes.
(Aip)
kkf/cmas