Yamoussoukro – La présidente du parti Renouveau pour la paix et la concorde (RPC-PAIX), Henriette Lagou, a déclaré jeudi, à l’issue de la cérémonie d’ouverture de la première convention de son parti, qu’elle est candidate pour la présidentielle de 2015.
« On crée un parti politique pour exercer le pouvoir d’Etat et non pour faire de la figuration... Nous sommes venus en convention pour définir les grandes lignes de la stratégie de lutte pour la prise du pouvoir en 2015… Je suis candidate à la présidentielle de 2015 », a déclaré la présidente du RPC-PAIX qui préconie des élections libres, justes et transparentes.
Etayant sa décision de briguer la présidence de la République, Mme Lagou s’est appuyée sur quelques faits du passé.
« Rappelons-nous la lutte héroïque et déterminante des femmes à Bassam contre les colons pour l’Indépendance. Rappelons-nous l’histoire de la reine Abla Pokou qui a sauvé son peuple en le conduisant à l’abri des menaces de l’ennemi. Quand les temps sont durs, il faut une femme. Et en tant qu’enfant et fille de ce pays, je veux incarner cette femme pour gouverner autrement notre pays », affirme-t-elle.
Henriette Lagou a indiqué, par ailleurs, qu’elle veut un parti qui couvre toute la Côte d’Ivoire et non un parti dans lequel se retrouvent des ethnies, des régions, des religions, mais un parti national qui a en sein des Ivoiriens du Nord, du Centre, de l’Est, de l’Ouest.
Relativement à l’actualité nationale, Henriette Lagou a notamment estimé que les questions de la nationalité et du foncier rural sont à traiter avec sérieux et sagesse. "Les lois peuvent être prises mais rester non appliquées, non applicables. Il faut donc associer les populations au règlement de ces questions-là. Si un référendum peut amener la paix et l’entente relativement à ces questions, alors, nous soutenons l’idée de référendum", a-elle commenté, précisant avoir créé le parti en décembre 2012, durant son exil à Accra (Ghana).
La convention du RPC-PAIX qui se tient à Yamoussoukro à la Fondation Félix Houphouët-Boigny de jeudi à vendredi, permettra aux participants de réfléchir, en cinq commissions, sur les projets de statuts et règlement intérieur, de société, de financement, de communication et d’organigramme.
zgrp/cmas
« On crée un parti politique pour exercer le pouvoir d’Etat et non pour faire de la figuration... Nous sommes venus en convention pour définir les grandes lignes de la stratégie de lutte pour la prise du pouvoir en 2015… Je suis candidate à la présidentielle de 2015 », a déclaré la présidente du RPC-PAIX qui préconie des élections libres, justes et transparentes.
Etayant sa décision de briguer la présidence de la République, Mme Lagou s’est appuyée sur quelques faits du passé.
« Rappelons-nous la lutte héroïque et déterminante des femmes à Bassam contre les colons pour l’Indépendance. Rappelons-nous l’histoire de la reine Abla Pokou qui a sauvé son peuple en le conduisant à l’abri des menaces de l’ennemi. Quand les temps sont durs, il faut une femme. Et en tant qu’enfant et fille de ce pays, je veux incarner cette femme pour gouverner autrement notre pays », affirme-t-elle.
Henriette Lagou a indiqué, par ailleurs, qu’elle veut un parti qui couvre toute la Côte d’Ivoire et non un parti dans lequel se retrouvent des ethnies, des régions, des religions, mais un parti national qui a en sein des Ivoiriens du Nord, du Centre, de l’Est, de l’Ouest.
Relativement à l’actualité nationale, Henriette Lagou a notamment estimé que les questions de la nationalité et du foncier rural sont à traiter avec sérieux et sagesse. "Les lois peuvent être prises mais rester non appliquées, non applicables. Il faut donc associer les populations au règlement de ces questions-là. Si un référendum peut amener la paix et l’entente relativement à ces questions, alors, nous soutenons l’idée de référendum", a-elle commenté, précisant avoir créé le parti en décembre 2012, durant son exil à Accra (Ghana).
La convention du RPC-PAIX qui se tient à Yamoussoukro à la Fondation Félix Houphouët-Boigny de jeudi à vendredi, permettra aux participants de réfléchir, en cinq commissions, sur les projets de statuts et règlement intérieur, de société, de financement, de communication et d’organigramme.
zgrp/cmas