Abidjan - La couverture maladie universelle (CMU) sera bientôt instaurée et permettra aux populations les plus défavorisées vivant en Côte d’Ivoire, d’avoir accès aux services sociaux de base de santé, a annoncé mercredi, le ministre d’Etat, ministre de l’Emploi des Affaires sociales et de la formation professionnelles, Moussa Dosso à l’occasion de la cérémonie de présentation de la stratégie de mise en œuvre.
Selon lui, cette couverture sera réalisée soit en fin 2013, ou début 2014, soulignant que le projet a déjà démarré si l’on se réfère à la politique de gratuité de soins ciblé, initié par l’Etat.
M. Dosso a évoqué un régime contributif sur la base de 1000 FCFA par personne, pour l’opérationnalisation du projet de la CMU, faisant remarquer que cela demeurait insuffisant pour les besoins de santé des populations.
"Si la solution de financement solidaire des soins de santé est nécessaire, elle n’est toute fois pas suffisante pour couvrir les besoins de santé de nos populations", a-t-il fait remarquer, appelant à accompagner cette solution par une amélioration de l’offre des soins, notamment la réhabilitation des structures sanitaires, le renforcement des plateaux techniques ainsi que la réforme de la pharmacie de la santé publique.
Le projet pilote va débuter avec cinq composantes notamment, la CGRAE, la CNPS, la Mugefci, les planteurs d’hévéa et ceux de palmiers à huile, relève-t-on.
Gk/kam
Selon lui, cette couverture sera réalisée soit en fin 2013, ou début 2014, soulignant que le projet a déjà démarré si l’on se réfère à la politique de gratuité de soins ciblé, initié par l’Etat.
M. Dosso a évoqué un régime contributif sur la base de 1000 FCFA par personne, pour l’opérationnalisation du projet de la CMU, faisant remarquer que cela demeurait insuffisant pour les besoins de santé des populations.
"Si la solution de financement solidaire des soins de santé est nécessaire, elle n’est toute fois pas suffisante pour couvrir les besoins de santé de nos populations", a-t-il fait remarquer, appelant à accompagner cette solution par une amélioration de l’offre des soins, notamment la réhabilitation des structures sanitaires, le renforcement des plateaux techniques ainsi que la réforme de la pharmacie de la santé publique.
Le projet pilote va débuter avec cinq composantes notamment, la CGRAE, la CNPS, la Mugefci, les planteurs d’hévéa et ceux de palmiers à huile, relève-t-on.
Gk/kam