Il s’appelle N’Guessan Amani Emmanuel et fait partie de la coordination de la JPDCI à Yopougon centre et sud. Lors du conclave des secrétaires généraux de section du PDCI, à la Fondation Félix Houphouët-Boigny, il a infiltré la salle et, avant le début des travaux, a posé un préalable. Interpellé par ses amis, il ne voulait rien comprendre. Alors jeté hors de la salle et conduit au commissariat 2ème arrondissement de Yamoussoukro vers 13h, N’Guessan Amani Emmanuel a été libéré le même jour, samedi dernier, aux environs de 17h. Pour le PDCI, N’Guessan Emmanuel a été perçu comme perturbateur, puisqu’il n’est pas secrétaire général de section, encore moins délégué du parti. A en croire le ministre Niamien N’Goran, qui préside le comité d’organisation, il n’est qu’un simple coordonateur.
Il aurait donc dû attendre les résultats du conclave avant de poser son préalable. Mis aux arrêts au commissariat du 2ème arrondissement, N’Guessan Emmanuel a été relâché le même jour aux environs de 17h. Du côté de la JPDCI, on insiste pour dire que N’Guessan Amani Emmanuel est bel et bien secrétaire de section. Dans un communiqué qui nous est parvenu hier, le chargé de communication de la JPDCI-RDA, M. Sébastien Kolliabo Konan, maintient que le perturbateur du Conclave est le responsable de base du PDCI-RDA de la section de Yopougon (Yaosséhi Antenne), en remplacement de M. Koné Soyo depuis le 11 novembre 2011.
Jacquelin Mintoh
Il aurait donc dû attendre les résultats du conclave avant de poser son préalable. Mis aux arrêts au commissariat du 2ème arrondissement, N’Guessan Emmanuel a été relâché le même jour aux environs de 17h. Du côté de la JPDCI, on insiste pour dire que N’Guessan Amani Emmanuel est bel et bien secrétaire de section. Dans un communiqué qui nous est parvenu hier, le chargé de communication de la JPDCI-RDA, M. Sébastien Kolliabo Konan, maintient que le perturbateur du Conclave est le responsable de base du PDCI-RDA de la section de Yopougon (Yaosséhi Antenne), en remplacement de M. Koné Soyo depuis le 11 novembre 2011.
Jacquelin Mintoh