Trazéré Célestine, vice-présidente de l'Assemblée nationale était le samedi 24 août 2013 dans le département de Gagnoa pour le début de réalisation des promesses du chef du Parlement, Guillaume Soro. Celui-ci avait des promesses aux populations, lors de sa visite dans le Goh, en ce qui concerne la construction d'une école primaire à Gnagbodougnoa, d'un préau moderne à Gnaliépa et d'un apatam à Tchédjélet. Trazéré Célestine était donc en mission pour la pose des premières pierres de ces projets. Elle en a profité pour saluer l'action du président de l'Assemblée nationale qui, à ses yeux, pose des actes concrets. « Là, nous ne sommes pas dans le verbiage creux, dans la manipulation et l’intoxication des masses sans se préoccuper de leur bien-être. C'est du concret. On ne peut parler de réconciliation à des populations qui ont faim, qui n’ont pas d’école, pas de l’eau à boire, pas de route etc... Pour faire la paix avec autrui, il faut être en paix avec soi-même, je pense », a-t-elle indiqué au cours d'un entretien à l'issue de sa mission. Pour la vice-présidente de l'Assemblée nationale, Soro n'est allé nullement nargué les populations de Gagnoa, bien au contraire, a-t-elle signifié, il a posé des actes salvateurs dans des villages lors de sa tournée. « Si le président Guillaume Soro n’était pas venu à Kpokprégbé, il n’aurait pas su que dans le village de Blé Goudé, il n’y a pas d’eau potable et que les populations boivent l’eau du marigot. Il n’aurait pas sorti quatre millions séante tenante pour réhabiliter le château d’eau afin que nos parents aient de l’eau saine à boire. Autre exemple, il n’aurait pas vu le préau de la chefferie de Gnaliépa totalement en ruine et ne se serait pas engagé à le réhabiliter à hauteur de plusieurs millions de nos francs sur fonds propres », a indiqué Célestine Trazéré. Qui estime que le pays Bété a tout à gagné du rapprochement. « Le président Soro est dans une dynamique de cohésion sociale, de rapprochement pour aider à trouver des solutions aux problèmes des populations de Gagnoa dont il défend les intérêts, puisque le député qu’il est, a un mandat national. Si on ne peut pas le remercier pour cela, il ne faut pas le décourager », a-t-elle soutenu.
Y.DOUMBIA
Y.DOUMBIA