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Art et Culture Publié le mardi 27 août 2013 | Le Patriote

Education nationale / Cours dans le Privé : Les enseignants du public désormais soumis à une autorisation

Plus rien ne sera comme par le passé. Le ministère de l'Education nationale et de l'enseignement technique (MENET) , tient à la bonne répartition des volumes horaires dans les établissements secondaires publics, gage d'amélioration des résultats scolaires. Et c'est désormais une obligation pour les chefs d'établissements d'attribuer 18 heures de cours au professeur de lycée et 21 heures de cours à l'enseignant de collèges. C'est ce qui ressort d'une conférence de presse co-animée hier par le Directeur des Ressources humaines, Barro Mamadou, et l'Inspecteur général, coordonnateur général de l'Inspection générale de l'Education nationale, Kourouma Ibrahima, à la salle de conférence de ce département ministériel, au Plateau. Le DRH du MENET, Barro Mamadou, a indiqué que chaque enseignant doit être lié à une classe. « Tout laxisme vis- à-vis de l'application de ces instructions engagera la responsabilité du supérieur hiérarchique », a-t-il précisé. Avant d'ajouter que des missions de supervision et de contrôle sillonneront les établissements scolaires pour vérifier l'application effective de ces mesures. « Les enseignants du public qui donnent des cours dans le Privé doivent d'abord prendre une autorisation à la Direction régionale de l'Education nationale. Cette autorisation tiendra compte de l'emploi du temps du Public et aussi de la distance entre les deux écoles (publique et privée) », a expliqué le Directeur des ressources humaines du ministère de l'Education nationale. Cette conférence a été une occasion pour le DRH du ministre Kandia Camara de procéder à la présentation de deux Logiciels : GESMUT et CODIPOST. Ces deux logiciels, selon lui, permettront de réduire les disparités entre personnel et encadrement sur l'ensemble du territoire national. « Le GESMUT est l'applicatif de gestion des mutations et le second (CODIPOST) consiste à codifier les postes de travail, pour ensuite arrimer le matricule de chaque fonctionnaire à un poste de travail », a commenté M. Barro.

Anzoumana Cissé
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