Dabakala, Les jeunes de Dabakala (Centre-Nord, région de la Vallée du Bandama) sont de retour en masse au bercail depuis le lundi pour célébrer leur mariage musulman, occasionnant une forte démographie de la ville.
Les gares routières grouillent de monde, les vas et viens incessants de véhicules sont perceptibles et les rues abondent de passants, note-on.
Interrogé sur ce flux des populations vers Dabakala, un responsable de syndicat de transport de la ville, M. Coulibaly Lamine a répondu que les semaines qui suivent la célébration du Ramadan consacrent toujours le "printemps" des mariages à Dabakala qui entrainent ce mouvement des futurs mariés et leurs parents. "C’est la tradition ici. Après le mois de Ramadan, les semaines qui suivent sont consacrées aux mariages", a-t-il signalé.
L’engouement suscité auprès des candidats au mariage est tel que c’est en moyenne une centaine de mariages qui sont célébrées au quotidien, a révélé un sexagénaire, M. Soumaïla Coulibaly.
Evoquant d’autres raisons du choix de cette période pour ces festivités, M. Cissé Souleymane (agent d’une Banque) venu assister aux noces de sa nièce explique que ce sont aussi des occasions de retrouvailles pour les ressortissants de la région pour échanger sur des projets de développement local."Nous tenons des réunions avec les parents afin de trouver des solutions aux problèmes dont ils souffrent", explique-t-il.
Le mariage musulman, note-t-on, se fait en deux phases. La phase traditionnelle qui se tient en plein air qui consiste à présenter la mariée ou le marié aux parents et la phase religieuse qui a lieu à la mosquée.
(AIP)
Sy/bs/kam
Les gares routières grouillent de monde, les vas et viens incessants de véhicules sont perceptibles et les rues abondent de passants, note-on.
Interrogé sur ce flux des populations vers Dabakala, un responsable de syndicat de transport de la ville, M. Coulibaly Lamine a répondu que les semaines qui suivent la célébration du Ramadan consacrent toujours le "printemps" des mariages à Dabakala qui entrainent ce mouvement des futurs mariés et leurs parents. "C’est la tradition ici. Après le mois de Ramadan, les semaines qui suivent sont consacrées aux mariages", a-t-il signalé.
L’engouement suscité auprès des candidats au mariage est tel que c’est en moyenne une centaine de mariages qui sont célébrées au quotidien, a révélé un sexagénaire, M. Soumaïla Coulibaly.
Evoquant d’autres raisons du choix de cette période pour ces festivités, M. Cissé Souleymane (agent d’une Banque) venu assister aux noces de sa nièce explique que ce sont aussi des occasions de retrouvailles pour les ressortissants de la région pour échanger sur des projets de développement local."Nous tenons des réunions avec les parents afin de trouver des solutions aux problèmes dont ils souffrent", explique-t-il.
Le mariage musulman, note-t-on, se fait en deux phases. La phase traditionnelle qui se tient en plein air qui consiste à présenter la mariée ou le marié aux parents et la phase religieuse qui a lieu à la mosquée.
(AIP)
Sy/bs/kam