Depuis deux nuits, ils dorment à la belle étoile. Le dimanche 1er septembre 2013, un incendie s’est déclaré dans une cour commune à Anoumabo, dans la commune de Marcory. Rapidement, le feu s’est propagé aux autres habitations environnantes, qui en fait, étaient des baraques en bois.
Bilan du sinistre : 35 maisons calcinées et plus de 145 personnes désormais sans abris. C’est dans la maison de Kedrébeogo Kolega Bernard que l’incendie s’est déclenché. « J’étais dehors lorsque j’ai entendu des bruits. J’ai accouru et j’ai vu ma femme qui avec la bouteille de gaz. C’est en voulant l’allumer que l’incendie s’est déclenché. Heureusement, elle a pu s’en sortir », indique l’infortuné.
Déclenché à 16 h 30, c’est finalement aux environs de 18h que le feu sera maitrisé avec l’arrivée des sapeurs pompiers. S’il n’y a eu aucune perte en vie humaine, ni blessé, malheureusement le feu a tout consumé. « Aujourd’hui, nous avons tout perdu. Tous nos effets et même de l’argent. Nous sommes pour la plupart dans cette cour depuis plus de 10 ans. Nous demandons l’aide du ministère de la solidarité. Qu’on nous aide à reprendre une vie normale », lance Zoungrana Georges, un des sinistrés.
Le ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne désirée Ouloto qui devait se rendre sur les lieux n’a pu le faire. Promettant apporter aujourd’hui le réconfort du gouvernement aux familles.
Dao Maïmouna
Bilan du sinistre : 35 maisons calcinées et plus de 145 personnes désormais sans abris. C’est dans la maison de Kedrébeogo Kolega Bernard que l’incendie s’est déclenché. « J’étais dehors lorsque j’ai entendu des bruits. J’ai accouru et j’ai vu ma femme qui avec la bouteille de gaz. C’est en voulant l’allumer que l’incendie s’est déclenché. Heureusement, elle a pu s’en sortir », indique l’infortuné.
Déclenché à 16 h 30, c’est finalement aux environs de 18h que le feu sera maitrisé avec l’arrivée des sapeurs pompiers. S’il n’y a eu aucune perte en vie humaine, ni blessé, malheureusement le feu a tout consumé. « Aujourd’hui, nous avons tout perdu. Tous nos effets et même de l’argent. Nous sommes pour la plupart dans cette cour depuis plus de 10 ans. Nous demandons l’aide du ministère de la solidarité. Qu’on nous aide à reprendre une vie normale », lance Zoungrana Georges, un des sinistrés.
Le ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne désirée Ouloto qui devait se rendre sur les lieux n’a pu le faire. Promettant apporter aujourd’hui le réconfort du gouvernement aux familles.
Dao Maïmouna