ABIDJAN - Les autorités éducatives ivoiriennes ont tiré mardi la sonnette d'alarme sur le nombre " élevé "de grossesses précoces en milieu scolaire.
"Plus de 2 500 cas de grossesses ont été enregistrés durant l'année scolaire écoulée dans les écoles secondaires du pays", a révélé le directeur de la pédagogie et de la formation continue du ministère ivoirien de l'Education nationale Patrice Silué.
Pour M. Silué, il y a lieu d'agir en concertation avec les parents pour freiner le fléau.
"Les grossesses en milieu scolaire sont à la base de nombreux échecs et abandons scolaires", a-t-il expliqué, plaidant pour une implication massive des acteurs de l'éducation.
Les grossesses en milieu scolaire constituent un phénomène qui a pignon sur rue en Côte d'Ivoire.
Selon certains responsables d'établissements scolaires, cette situation est liée en grande partie à la pauvreté.
Lors d'une tournée dans la région ouest du pays, la Première dame Dominique Ouattara avait déclaré que l'important taux des grossesses précoces dans les écoles était une menace pour l'avenir de la femme.
"Tous, à nos niveaux respectifs, élèves, parents d'élèves, enseignants devons nous impliquer activement et dénoncer les abus sexuels en milieu scolaire", avait préconisé Mme Ouattara.
"Plus de 2 500 cas de grossesses ont été enregistrés durant l'année scolaire écoulée dans les écoles secondaires du pays", a révélé le directeur de la pédagogie et de la formation continue du ministère ivoirien de l'Education nationale Patrice Silué.
Pour M. Silué, il y a lieu d'agir en concertation avec les parents pour freiner le fléau.
"Les grossesses en milieu scolaire sont à la base de nombreux échecs et abandons scolaires", a-t-il expliqué, plaidant pour une implication massive des acteurs de l'éducation.
Les grossesses en milieu scolaire constituent un phénomène qui a pignon sur rue en Côte d'Ivoire.
Selon certains responsables d'établissements scolaires, cette situation est liée en grande partie à la pauvreté.
Lors d'une tournée dans la région ouest du pays, la Première dame Dominique Ouattara avait déclaré que l'important taux des grossesses précoces dans les écoles était une menace pour l'avenir de la femme.
"Tous, à nos niveaux respectifs, élèves, parents d'élèves, enseignants devons nous impliquer activement et dénoncer les abus sexuels en milieu scolaire", avait préconisé Mme Ouattara.