Producteurs, organisations professionnelles, agricoles, industrielles, et structures partenaires des filières coton et anacarde sont réunis depuis hier à l’Hôtel Président de Yamoussoukro à l’invitation de Monsieur le Ministre de l’Agriculture. C’est à l’occasion de l’atelier de validation du document d’opérationnalité de la réforme des deux filières.
A l’ouverture de la réunion technique, au nom de Monsieur le Ministre de l’Agriculture empêché, son Directeur de Cabinet, Monsieur COULIBALY SIAKA Minahaya a précisé les enjeux de cet atelier au regard de l’importance de ces deux filières pour l’économie nationale, en particulier celle des zones Nord, Est et Centre.
Il a dit attendre beaucoup des travaux en commission. « L’atelier de Yamoussoukro est l’étape finale d’un processus qui a commencée, il y a un an» A-t-il dit. En clair, à l’issue de ces assises de Yamoussoukro, chaque acteur, c'est-à-dire, Producteur, Usinier et Acheteur sera situé sur ses nouvelles responsabilités.
A sa suite, M. SANOGO Malamine, Président du comité d’organisation, par ailleurs Directeur Exécutif de l’Autorité de Régulation du Coton et de l’Anacarde (ARECA), a dit toute sa joie de recevoir sur un même plateau tous les acteurs de ces deux filières stratégiques pour les populations des zones Centre, Nord et Est de la Côte d’Ivoire.
Le coton et l’anacarde a-t-il ajouté sont les principaux moteurs du développement économique et social de ces zones. Il est à rappeler que dans les années de bonne grâce, le coton a généré jusqu’à 120 milliards FCFA de recettes d’exportation. Contribution qui n’est plus de mise depuis les années 2000 avec la survenance de la crise du 19 Septembre 2002. Pendant que la filière anacarde qui subvient directement aux besoins de 250 000 producteurs et fait vivre indirectement plus de 2,5 millions de personnes peine à jouer pleinement son rôle majeur dans la création de richesse dans les régions productrices.
Cependant, des dysfonctionnements sont apparus au cours de la dernière décennie. «Afin de corriger ces faiblesses et consolider les acquis de ces deux filières, Monsieur le Président de la République a décidé d’engager leur réforme institutionnelle et opérationnelle» a dit M. SANOGO. Il a également exposé la vision globale de la réforme, traduite dans la communication adoptée au cours du Conseil des Ministres du 22 mars 2013 et la loi votée par le Parlement le 22 août 2013.
Enfin, Monsieur N’Golo DIARRASSOUBA, Président du Comité Scientifique et Conseiller Technique de Monsieur le Ministre de l’Agriculture a d’abord expliqué la méthode de travail qui a permis de produire sur chacun des axes stratégiques de la réforme, le document de base qui sera validé durant les travaux avant d’exposer aux participants l’approche méthodologique au cours de cet atelier.
« Nous allons travailler en trois commissions dont la commission coton et la commission anacarde. La troisième va se pencher sur les questions transversales. Chacune de ces commissions a été subdivisée en sous-commission.
Dans la commission coton, les débats vont porter sur les semences de coton et autres facteurs de productions de cette spéculation, l’encadrement des producteurs à travers l’attribution de zones exclusives d’activités aux sociétés cotonnières et l’amélioration du mécanisme de fixation du prix bord champs pour garantir au moins 60% du prix CAF aux producteurs.
En ce qui concerne l’anacarde, il sera question de l’encadrement et la sacherie dans cette filière, sans oublier les questions liées à sa commercialisation de la noix de cajou et sa transformation locale.
Pendant que la dernière commission sera consacrée à la recherche dans les deux filières et à l’organisation des acteurs.
Cette dernière intervention a permis d’engager les travaux en commission.
A l’ouverture de la réunion technique, au nom de Monsieur le Ministre de l’Agriculture empêché, son Directeur de Cabinet, Monsieur COULIBALY SIAKA Minahaya a précisé les enjeux de cet atelier au regard de l’importance de ces deux filières pour l’économie nationale, en particulier celle des zones Nord, Est et Centre.
Il a dit attendre beaucoup des travaux en commission. « L’atelier de Yamoussoukro est l’étape finale d’un processus qui a commencée, il y a un an» A-t-il dit. En clair, à l’issue de ces assises de Yamoussoukro, chaque acteur, c'est-à-dire, Producteur, Usinier et Acheteur sera situé sur ses nouvelles responsabilités.
A sa suite, M. SANOGO Malamine, Président du comité d’organisation, par ailleurs Directeur Exécutif de l’Autorité de Régulation du Coton et de l’Anacarde (ARECA), a dit toute sa joie de recevoir sur un même plateau tous les acteurs de ces deux filières stratégiques pour les populations des zones Centre, Nord et Est de la Côte d’Ivoire.
Le coton et l’anacarde a-t-il ajouté sont les principaux moteurs du développement économique et social de ces zones. Il est à rappeler que dans les années de bonne grâce, le coton a généré jusqu’à 120 milliards FCFA de recettes d’exportation. Contribution qui n’est plus de mise depuis les années 2000 avec la survenance de la crise du 19 Septembre 2002. Pendant que la filière anacarde qui subvient directement aux besoins de 250 000 producteurs et fait vivre indirectement plus de 2,5 millions de personnes peine à jouer pleinement son rôle majeur dans la création de richesse dans les régions productrices.
Cependant, des dysfonctionnements sont apparus au cours de la dernière décennie. «Afin de corriger ces faiblesses et consolider les acquis de ces deux filières, Monsieur le Président de la République a décidé d’engager leur réforme institutionnelle et opérationnelle» a dit M. SANOGO. Il a également exposé la vision globale de la réforme, traduite dans la communication adoptée au cours du Conseil des Ministres du 22 mars 2013 et la loi votée par le Parlement le 22 août 2013.
Enfin, Monsieur N’Golo DIARRASSOUBA, Président du Comité Scientifique et Conseiller Technique de Monsieur le Ministre de l’Agriculture a d’abord expliqué la méthode de travail qui a permis de produire sur chacun des axes stratégiques de la réforme, le document de base qui sera validé durant les travaux avant d’exposer aux participants l’approche méthodologique au cours de cet atelier.
« Nous allons travailler en trois commissions dont la commission coton et la commission anacarde. La troisième va se pencher sur les questions transversales. Chacune de ces commissions a été subdivisée en sous-commission.
Dans la commission coton, les débats vont porter sur les semences de coton et autres facteurs de productions de cette spéculation, l’encadrement des producteurs à travers l’attribution de zones exclusives d’activités aux sociétés cotonnières et l’amélioration du mécanisme de fixation du prix bord champs pour garantir au moins 60% du prix CAF aux producteurs.
En ce qui concerne l’anacarde, il sera question de l’encadrement et la sacherie dans cette filière, sans oublier les questions liées à sa commercialisation de la noix de cajou et sa transformation locale.
Pendant que la dernière commission sera consacrée à la recherche dans les deux filières et à l’organisation des acteurs.
Cette dernière intervention a permis d’engager les travaux en commission.