Abidjan - A 24 heures de son retour officiel à la tête de son parti, le président du Front Populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N'Guessan, souhaite une accélération du dialogue entre le pouvoir et l'opposition, "pour la paix et la tranquillité" dans le pays.
" Il est important que le dialogue (pouvoir-opposition) avance rapidement et que sur les questions essentielles pour la marche de l'Etat, et pour la paix, la tranquillité et la prospérité de nos compatriotes, nous puissions passer aux actes", a déclaré M. Affi, au sortir d'une "visite de courtoisie" avec son "grand frère", le Premier ministre Daniel Kablan Duncan.
Appeler à se prononcer sur le Cadre permanent de dialogue, une instance de discussion entre le pouvoir et l'opposition dont son parti n'est pas membre, le chef du parti de Laurent Gbagbo a jugé ce cadre "important" mais a souhaité que "ce dialogue ne s'éternise pas".
"Il faut saluer l'existence de ce processus de dialogue, il faut passer à la concrétisation, car plus le temps passe, plus les questions deviennent complexes ", a dit l'ex-Premier ministre (2000-2003), relevant avoir évoqué avec M. Duncan les "questions liées à la sécurité", mais aussi "aux avantages que l'Etat consent officiellement au profit des anciens Premiers ministres".
Une réunion du Cadre permanent de dialogue, présidée par Daniel Kablan Duncan, s'était ouverte en début de soirée, quelques minutes après cette rencontre à la primature. Plusieurs partis de l'opposition y étaient présents, ainsi que des membres du gouvernement.
" Il est important que le dialogue (pouvoir-opposition) avance rapidement et que sur les questions essentielles pour la marche de l'Etat, et pour la paix, la tranquillité et la prospérité de nos compatriotes, nous puissions passer aux actes", a déclaré M. Affi, au sortir d'une "visite de courtoisie" avec son "grand frère", le Premier ministre Daniel Kablan Duncan.
Appeler à se prononcer sur le Cadre permanent de dialogue, une instance de discussion entre le pouvoir et l'opposition dont son parti n'est pas membre, le chef du parti de Laurent Gbagbo a jugé ce cadre "important" mais a souhaité que "ce dialogue ne s'éternise pas".
"Il faut saluer l'existence de ce processus de dialogue, il faut passer à la concrétisation, car plus le temps passe, plus les questions deviennent complexes ", a dit l'ex-Premier ministre (2000-2003), relevant avoir évoqué avec M. Duncan les "questions liées à la sécurité", mais aussi "aux avantages que l'Etat consent officiellement au profit des anciens Premiers ministres".
Une réunion du Cadre permanent de dialogue, présidée par Daniel Kablan Duncan, s'était ouverte en début de soirée, quelques minutes après cette rencontre à la primature. Plusieurs partis de l'opposition y étaient présents, ainsi que des membres du gouvernement.