Roger Boli a suivi le match
L’ancien attaquant de Lens, Roger Boli, était hier au stade Maerelli pour encourager les Eléphants. En sa qualité d’agent de joueur, il était également présent pour superviser ses poulains dont un des deux joueurs qui ont marqué pour la Côte d’Ivoire.
Koné Alassane aux côtés des siens
Le défenseur ivoirien de Cannes, Koné Alassane, est venu encourager les Éléphanteaux. C’est avec beaucoup de plaisir qu’il a revu ses anciens coéquipiers.
Maerelli, un stade de quartier
Le stade de Maerelli est un stade de quartier. Il est doté d’une pelouse synthétique. La tribune peut accueillir environ 500 personnes.
Tête-à-tête Alain Lobognon-Allah Yao François
Le ministre des Sports, Alain Lobognon, ne chôme pas à Nice. Hier, il a échangé longtemps avec l’Ivoirien Allah Yao François, responsable des programmes sport de la Confejes. Les échanges ont porté sur la relance du sport en Côte d’Ivoire, le centre de sport de haut niveau, le statut des athlètes ivoiriens à l’étranger, l’enseignement à l’INJS.
Un ferry pour loger les participants
Amarré quai Infernet, le ferry de la SNCM, ‘’El Venizelos’’, fait office de bâteau-hôtel pour 1090 sportifs participant aux Jeux de la Francophonie. Ce bâteau de 175m peut accueillir jusqu’à 2500 passagers. Les délégations sont nourries sur place durant toute la durée de l’événement. Le personnel de bord est à leur service. Quelques locataires sont mécontents de l’absence d’eau dans la piscine, de l’absence du wi-fi et de mauvaises odeurs.
Des sportifs congolais en cavale
Deux cyclistes, athlètes et sept basketteuses congolais qui participaient aux Jeux de la Francophonie, sont portés disparus en France. L’information a été confirmée hier lundi par un membre de la délégation qui a requis l’anonymat. Les basketteuses devaient affronter la France hier lundi, après avoir joué deux matches. Quant aux cyclistes, ils ne se sont pas présentés dimanche matin au départ de la course. A noter également qu’un artiste ivoirien (du groupe de rap) a également fait la malle vendredi. Nous y reviendrons.
A.CAMARA
L’ancien attaquant de Lens, Roger Boli, était hier au stade Maerelli pour encourager les Eléphants. En sa qualité d’agent de joueur, il était également présent pour superviser ses poulains dont un des deux joueurs qui ont marqué pour la Côte d’Ivoire.
Koné Alassane aux côtés des siens
Le défenseur ivoirien de Cannes, Koné Alassane, est venu encourager les Éléphanteaux. C’est avec beaucoup de plaisir qu’il a revu ses anciens coéquipiers.
Maerelli, un stade de quartier
Le stade de Maerelli est un stade de quartier. Il est doté d’une pelouse synthétique. La tribune peut accueillir environ 500 personnes.
Tête-à-tête Alain Lobognon-Allah Yao François
Le ministre des Sports, Alain Lobognon, ne chôme pas à Nice. Hier, il a échangé longtemps avec l’Ivoirien Allah Yao François, responsable des programmes sport de la Confejes. Les échanges ont porté sur la relance du sport en Côte d’Ivoire, le centre de sport de haut niveau, le statut des athlètes ivoiriens à l’étranger, l’enseignement à l’INJS.
Un ferry pour loger les participants
Amarré quai Infernet, le ferry de la SNCM, ‘’El Venizelos’’, fait office de bâteau-hôtel pour 1090 sportifs participant aux Jeux de la Francophonie. Ce bâteau de 175m peut accueillir jusqu’à 2500 passagers. Les délégations sont nourries sur place durant toute la durée de l’événement. Le personnel de bord est à leur service. Quelques locataires sont mécontents de l’absence d’eau dans la piscine, de l’absence du wi-fi et de mauvaises odeurs.
Des sportifs congolais en cavale
Deux cyclistes, athlètes et sept basketteuses congolais qui participaient aux Jeux de la Francophonie, sont portés disparus en France. L’information a été confirmée hier lundi par un membre de la délégation qui a requis l’anonymat. Les basketteuses devaient affronter la France hier lundi, après avoir joué deux matches. Quant aux cyclistes, ils ne se sont pas présentés dimanche matin au départ de la course. A noter également qu’un artiste ivoirien (du groupe de rap) a également fait la malle vendredi. Nous y reviendrons.
A.CAMARA