ABIDJAN - Deux gendarmes et un policier ont été tués à Yamoussoukro (centre), la capitale politique de la Côte d’Ivoire, dans des attaques de bandits armés, a appris samedi l’AFP de sources concordantes.
Mardi, "un gendarme a été tué lors d’une attaque d’hommes en armes. Un autre est décédé plus tard des suites de ses blessures. Un policier a également été abattu" vendredi dans les mêmes circonstances, a affirmé Augustin Thiam, le gouverneur de la ville de Yamoussoukro.
Trois "assaillants" ont également péri dans les combats, a-t-il poursuivi, sans plus de précision.
"Des gendarmes et des policiers ont été attaqués mardi et vendredi dans l’exercice de leur fonction à Yamoussoukro", a raconté le maire Kouakou Gnrangbé, confirmant le bilan de deux morts côté gendarmerie et un côté police.
M. Gnrangbé a par ailleurs déploré le manque d’hommes et de véhicules dont disposent les forces de sécurité à Yamoussoukro.
Selon les journaux locaux, gendarmes et policiers seraient tombées dans des embuscades des +coupeurs de routes+, des bandits armés ou braqueurs sévissant sur les axes routiers dans l’intérieur du pays.
"Un commissaire et un policier" ont été blessés dans l’attaque de vendredi, a rapporté un journaliste local.
Début juillet, un gendarme avait été tué dans le nord de la Côte d’Ivoire lords d’une attaque de bandits armés contre un convoi officiel.
La Côte d’Ivoire se remet progressivement d’une décennie de crise sanglante, qui a fait plus de 3.000 victimes rien qu’en 2011.
Malgré une situation sécuritaire globalement "calme et sous contrôle", "la circulation des armes, les attaques à main armée et celles de coupeurs de routes" restent "préoccupantes" dans le pays, a souligné fin juin l’Opération de l’ONU en Côte d’Ivoire (Onuci). L’Onuci citait en exemple une autre attaque contre un convoi de gendarmes, cette fois-ci dans l’ouest du pays.
eak/jf/hm
Mardi, "un gendarme a été tué lors d’une attaque d’hommes en armes. Un autre est décédé plus tard des suites de ses blessures. Un policier a également été abattu" vendredi dans les mêmes circonstances, a affirmé Augustin Thiam, le gouverneur de la ville de Yamoussoukro.
Trois "assaillants" ont également péri dans les combats, a-t-il poursuivi, sans plus de précision.
"Des gendarmes et des policiers ont été attaqués mardi et vendredi dans l’exercice de leur fonction à Yamoussoukro", a raconté le maire Kouakou Gnrangbé, confirmant le bilan de deux morts côté gendarmerie et un côté police.
M. Gnrangbé a par ailleurs déploré le manque d’hommes et de véhicules dont disposent les forces de sécurité à Yamoussoukro.
Selon les journaux locaux, gendarmes et policiers seraient tombées dans des embuscades des +coupeurs de routes+, des bandits armés ou braqueurs sévissant sur les axes routiers dans l’intérieur du pays.
"Un commissaire et un policier" ont été blessés dans l’attaque de vendredi, a rapporté un journaliste local.
Début juillet, un gendarme avait été tué dans le nord de la Côte d’Ivoire lords d’une attaque de bandits armés contre un convoi officiel.
La Côte d’Ivoire se remet progressivement d’une décennie de crise sanglante, qui a fait plus de 3.000 victimes rien qu’en 2011.
Malgré une situation sécuritaire globalement "calme et sous contrôle", "la circulation des armes, les attaques à main armée et celles de coupeurs de routes" restent "préoccupantes" dans le pays, a souligné fin juin l’Opération de l’ONU en Côte d’Ivoire (Onuci). L’Onuci citait en exemple une autre attaque contre un convoi de gendarmes, cette fois-ci dans l’ouest du pays.
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