Quelque 3 500 femmes ivoiriennes réparties dans 30 départements du pays ont été financées de 1998 à 2013 par l’Agence nationale d’appui au développement rural (Anader) dans le cadre de sa lutte contre les disparités et inégalités entre les sexes.
L’Anader a intégré le genre comme levier des approches de développement dans ses différents projets et programmes depuis 1998 avec pour objectif de relever les nouveaux défis et rendre ses services accessibles aux femmes rurales. Au niveau institutionnel, elle adresse le genre à travers un dispositif opérationnel.
‘’Une Unité Centrale Genre et Développement (Ucged) logée à la direction générale, assure la conscience de la prise en compte du genre. Elle définie l’approche d’intervention, renforce les capacités et supervise la mise en œuvre des activités’’, a expliqué Mme Fatou Doumbia dudit service.
Sur le terrain, l’Anader sensibilise la communauté sur les stéréotypes, les pratiques culturelles néfastes, les violences faites aux femmes et l’intérêt pour le monde rural à développer la complémentarité et le potentiel des femmes.
‘’Le ciblage des femmes dans les activités de vulgarisation est une stratégie pour corriger le faible accès des femmes aux services de vulgarisation.
L’implication des femmes dans les diagnostics participatifs organisés par l’Anader permet de déterminer leurs besoins spécifiques, leurs contraintes et les enjeux genre’’, insiste-t-elle.
C’est pourquoi l’Anader conduit des programmes et projets spécifiques en faveur des femmes rurales, notamment, la mise en œuvre et du suivi des projets Téléfood de 1998 à 2008 ayant pour objectif de lutter contre la pauvreté et la faim.
‘’Dans le cadre de ce projet, l’Anader a permis à 43 organisations féminines de près de 3 500 membres répartis dans 30 départements à bénéficier d’un montant global de plus de 132 millions fcfa pour le financement de leurs projets’’ a révélé Fatou Doumbia indiquant que l’Anader a assuré la structuration des groupements féminins en organisation et réseau dans plusieurs départements.
Par ailleurs, le Réseau des productrices de vivrier de Côte d’Ivoire (Reprovci) a reçu un appui particulier de l’Anader dans le montage de 99 projets, la mise en place d’activités génératrices de revenus.
L’appui de l’Anader aux organisations des femmes s’avère une stratégie importante qui offre aux bénéficiaires des chances et opportunités d’accéder au développement et surtout d’accroître leur production.
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L’Anader a intégré le genre comme levier des approches de développement dans ses différents projets et programmes depuis 1998 avec pour objectif de relever les nouveaux défis et rendre ses services accessibles aux femmes rurales. Au niveau institutionnel, elle adresse le genre à travers un dispositif opérationnel.
‘’Une Unité Centrale Genre et Développement (Ucged) logée à la direction générale, assure la conscience de la prise en compte du genre. Elle définie l’approche d’intervention, renforce les capacités et supervise la mise en œuvre des activités’’, a expliqué Mme Fatou Doumbia dudit service.
Sur le terrain, l’Anader sensibilise la communauté sur les stéréotypes, les pratiques culturelles néfastes, les violences faites aux femmes et l’intérêt pour le monde rural à développer la complémentarité et le potentiel des femmes.
‘’Le ciblage des femmes dans les activités de vulgarisation est une stratégie pour corriger le faible accès des femmes aux services de vulgarisation.
L’implication des femmes dans les diagnostics participatifs organisés par l’Anader permet de déterminer leurs besoins spécifiques, leurs contraintes et les enjeux genre’’, insiste-t-elle.
C’est pourquoi l’Anader conduit des programmes et projets spécifiques en faveur des femmes rurales, notamment, la mise en œuvre et du suivi des projets Téléfood de 1998 à 2008 ayant pour objectif de lutter contre la pauvreté et la faim.
‘’Dans le cadre de ce projet, l’Anader a permis à 43 organisations féminines de près de 3 500 membres répartis dans 30 départements à bénéficier d’un montant global de plus de 132 millions fcfa pour le financement de leurs projets’’ a révélé Fatou Doumbia indiquant que l’Anader a assuré la structuration des groupements féminins en organisation et réseau dans plusieurs départements.
Par ailleurs, le Réseau des productrices de vivrier de Côte d’Ivoire (Reprovci) a reçu un appui particulier de l’Anader dans le montage de 99 projets, la mise en place d’activités génératrices de revenus.
L’appui de l’Anader aux organisations des femmes s’avère une stratégie importante qui offre aux bénéficiaires des chances et opportunités d’accéder au développement et surtout d’accroître leur production.
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