Les coopératives des producteurs agricoles de Côte d’Ivoire ont été appelés samedi à Abidjan à l’union afin de constituer une force et de répondre présentes au rendez-vous du millénaire sur le développement en Afrique à l’orée 2020.
‘'Les coopératives doivent s'unir pour constituer une force et imposer le respect dans leur environnement'' a préconisé Jean Achy N'dori, lors de sa communication sur le quatrième sous thème de la cérémonie commémorant les 20 ans de l'Agence nationale d'appui au développement rural (Anader) autour du thème : ‘'le mouvement coopératif et les enjeux à l'horizon 2020, quelles contributions de l'Anader pour la professionnalisation des OPA et la relance du système coopératif ?''.
‘'C'est par l'union que l'on se développe'' a soutenu Achy N'dori, pour qui, les ‘'plus faibles s'ils se mettent ensemble, deviennent une force''. Le cas contraire les rend plus vulnérables, selon cet ingénieur économiste et consultant en développement.
Pour M. Achy, l'une des faiblesses des coopératives agricoles ivoiriennes est la prolifération de ces structures. ‘'Toute chose qui les décrédibilise en face des bailleurs de fonds'', dit-il en soulignant que ‘'c'est ce qui explique, le fait que les banques refusent de leur accorder des financements''.
Il par a ailleurs demandé aux opérateurs agricoles de prendre conscience de leur rôle dans la communauté qui est la contribution à la mise en place des infrastructures socio-économiques (écoles, centres de santé, eau potable…).
‘'Le producteur ivoirien sous le cotonnier est complètement misérable'' a-t-il décrit, ajoutant que "la coopérative se retrouve comme le remède essentiel pour lui permettre de jouer un rôle de premier plan en vue de guérir la pauvreté", a poursuivi l'ingénieur économiste.
"Par la solidarité, on peut chasser la pauvreté de tous les pays", a encore dit Jean Achy N'dori, par ailleurs auteur du livre, ‘'mouvement coopératif, les fondements originels aux pratiques actuelles en Afrique noire francophone''.
JBK/mc/ls/APA
‘'Les coopératives doivent s'unir pour constituer une force et imposer le respect dans leur environnement'' a préconisé Jean Achy N'dori, lors de sa communication sur le quatrième sous thème de la cérémonie commémorant les 20 ans de l'Agence nationale d'appui au développement rural (Anader) autour du thème : ‘'le mouvement coopératif et les enjeux à l'horizon 2020, quelles contributions de l'Anader pour la professionnalisation des OPA et la relance du système coopératif ?''.
‘'C'est par l'union que l'on se développe'' a soutenu Achy N'dori, pour qui, les ‘'plus faibles s'ils se mettent ensemble, deviennent une force''. Le cas contraire les rend plus vulnérables, selon cet ingénieur économiste et consultant en développement.
Pour M. Achy, l'une des faiblesses des coopératives agricoles ivoiriennes est la prolifération de ces structures. ‘'Toute chose qui les décrédibilise en face des bailleurs de fonds'', dit-il en soulignant que ‘'c'est ce qui explique, le fait que les banques refusent de leur accorder des financements''.
Il par a ailleurs demandé aux opérateurs agricoles de prendre conscience de leur rôle dans la communauté qui est la contribution à la mise en place des infrastructures socio-économiques (écoles, centres de santé, eau potable…).
‘'Le producteur ivoirien sous le cotonnier est complètement misérable'' a-t-il décrit, ajoutant que "la coopérative se retrouve comme le remède essentiel pour lui permettre de jouer un rôle de premier plan en vue de guérir la pauvreté", a poursuivi l'ingénieur économiste.
"Par la solidarité, on peut chasser la pauvreté de tous les pays", a encore dit Jean Achy N'dori, par ailleurs auteur du livre, ‘'mouvement coopératif, les fondements originels aux pratiques actuelles en Afrique noire francophone''.
JBK/mc/ls/APA