Le Mouvement national PDCI-RDA TI’ YE ADJA était, le samedi dernier, à Yamoussoukro dans la capitale politique ivoirienne. Cette rencontre qui a réuni environ deux mille militants venus de toute la Côte d’Ivoire, et membres dudit mouvement, avait pour objectif essentiel de réaffirmer leur soutien à la candidature du Président Henri Konan Bédié dans la course à la présidence du PDCI-RDA. Pour le président de ce mouvement, Yao Konan Paul, la candidature de M. Bédié devrait être perçue comme une décision politique en situation exceptionnelle.
«Je voudrais très humblement appeler tous mes aînés à l’apaisement et à la
retenue. Ils ont certes tous les capacités physiques, morales et intellectuelles pour diriger le PDCI-RDA.
Seulement, je leur demande de mesurer le risque que court notre parti, si nous sommes divisés. Ça peut paraître difficile et parfois même inacceptable de nous détourner de nos textes. Mais, pour ce qui est de ce congrès qui intervient à une étape importante de l’histoire de notre héritage, je propose que nous voyons en la candidature de Bédié, une situation exceptionnelle», a plaidé le président Yao Konan Paul, par ailleurs, juriste de formation.
Avant de proposer le règlement de cette crise à l’Africaine, impliquant les têtes couronnées.
Car pour lui, l’héritage du PDCI-RDA ne doit pas être bafoué. C’est pourquoi, il s’est aussi assigné la mission d’œuvrer à la conciliation des différentes parties. « Nous
allons tout mettre en œuvre pour bouter loin, le vent de division qui menace notre parti afin de se repositionner comme le premier parti de Côte d’Ivoire», s’est-il engagé, car selon lui, Bédié est la caution morale du PDCI.
«Nous allons œuvrer tous ensemble pour que le président Bédié reste à la tête du parti », a-t-il avancé. Pour le permanent de la délégation Pdci dans cette cité, Kouadio Kacou Paul,
représentant le délégué Gnrangbé Jean, il ne devrait pas avoir de préalable à une candidature unique du président Bédié, vu les nombreux risques de divisions à deux années des élections générales «Si la situation actuelle reste en l’état, le 12ème congrès du PDCI-RDA peut
ne pas se tenir ou ne pas aller à son terme s’il se tient, avec le risque de création d’un ou de plusieurs autres partis à partir de notre parti comme le RDR de feu Djéni Kobénan et le RPP de Laurent Dona Fologo », a-t-il prévenu, souhaitant le retour à l’esprit PDCI-RDA
du temps du Président Houphouët-Boigny.
Olivier Yao
(Correspondant régional)
«Je voudrais très humblement appeler tous mes aînés à l’apaisement et à la
retenue. Ils ont certes tous les capacités physiques, morales et intellectuelles pour diriger le PDCI-RDA.
Seulement, je leur demande de mesurer le risque que court notre parti, si nous sommes divisés. Ça peut paraître difficile et parfois même inacceptable de nous détourner de nos textes. Mais, pour ce qui est de ce congrès qui intervient à une étape importante de l’histoire de notre héritage, je propose que nous voyons en la candidature de Bédié, une situation exceptionnelle», a plaidé le président Yao Konan Paul, par ailleurs, juriste de formation.
Avant de proposer le règlement de cette crise à l’Africaine, impliquant les têtes couronnées.
Car pour lui, l’héritage du PDCI-RDA ne doit pas être bafoué. C’est pourquoi, il s’est aussi assigné la mission d’œuvrer à la conciliation des différentes parties. « Nous
allons tout mettre en œuvre pour bouter loin, le vent de division qui menace notre parti afin de se repositionner comme le premier parti de Côte d’Ivoire», s’est-il engagé, car selon lui, Bédié est la caution morale du PDCI.
«Nous allons œuvrer tous ensemble pour que le président Bédié reste à la tête du parti », a-t-il avancé. Pour le permanent de la délégation Pdci dans cette cité, Kouadio Kacou Paul,
représentant le délégué Gnrangbé Jean, il ne devrait pas avoir de préalable à une candidature unique du président Bédié, vu les nombreux risques de divisions à deux années des élections générales «Si la situation actuelle reste en l’état, le 12ème congrès du PDCI-RDA peut
ne pas se tenir ou ne pas aller à son terme s’il se tient, avec le risque de création d’un ou de plusieurs autres partis à partir de notre parti comme le RDR de feu Djéni Kobénan et le RPP de Laurent Dona Fologo », a-t-il prévenu, souhaitant le retour à l’esprit PDCI-RDA
du temps du Président Houphouët-Boigny.
Olivier Yao
(Correspondant régional)