Agboville, Les cours ont été perturbés vendredi au lycée moderne III d'Agboville par le syndicat local des photographes qui exige que les prises de photos d'identité des élèves soient confiées à ses membres en cette période d'inscription scolaire.
Selon le secrétaire général du Syndicat des photographes et cameramen professionnels d'Agboville (Syphocapa), Kra Koffi Prosper, alors que les parents d'élèves ont donné leur accord pour leur confier ce marché, "les proviseurs veulent nous empêcher de manger".
Il a expliqué que "nul ne devrait exercer ce métier à titre lucratif sans être membre de la Chambre des métiers ou à défaut associer les photographes à l'action".
En réaction à l'allégation du secrétaire général du syndicat des photographes, le censeur du lycée moderne III, Djédjé Théodore, a indiqué que les photos prises en ville nécessitent d'être scannées, alors que les photos numériques prises sur place au lycée permettent de sortir directement des fiches d'inscription munies de photo.
"Nous avons aussi ce matériel et ne demandons qu'à être associés", rétorque le président du Syphocapa, Edi Barnabé Jason, qui souhaite bénéficier d'une partie du marché.
Des éléments des Frci, de la police et de la gendarmerie sont intervenus pour ramener un calme provisoire.
Les photographes professionnels d'Agboville contestent la décision des chefs d'établissements secondaires de la ville de ne pas accepter des photos prises à l'extérieur de leurs établissements scolaires.
(AIP)
Dd/kkp/kp
Selon le secrétaire général du Syndicat des photographes et cameramen professionnels d'Agboville (Syphocapa), Kra Koffi Prosper, alors que les parents d'élèves ont donné leur accord pour leur confier ce marché, "les proviseurs veulent nous empêcher de manger".
Il a expliqué que "nul ne devrait exercer ce métier à titre lucratif sans être membre de la Chambre des métiers ou à défaut associer les photographes à l'action".
En réaction à l'allégation du secrétaire général du syndicat des photographes, le censeur du lycée moderne III, Djédjé Théodore, a indiqué que les photos prises en ville nécessitent d'être scannées, alors que les photos numériques prises sur place au lycée permettent de sortir directement des fiches d'inscription munies de photo.
"Nous avons aussi ce matériel et ne demandons qu'à être associés", rétorque le président du Syphocapa, Edi Barnabé Jason, qui souhaite bénéficier d'une partie du marché.
Des éléments des Frci, de la police et de la gendarmerie sont intervenus pour ramener un calme provisoire.
Les photographes professionnels d'Agboville contestent la décision des chefs d'établissements secondaires de la ville de ne pas accepter des photos prises à l'extérieur de leurs établissements scolaires.
(AIP)
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