La rentrée scolaire 2013-2014 a débuté sur toute l’étendue du territoire national depuis le 16 septembre. Mais pendant que plusieurs élèves dans certains établissements ont largement entamé les cours, d’autres ailleurs traînent toujours les pas.
« Nous n’avons même pas la moitié des effectifs de la classe. Le nombre d’élèves présents tourne autour de quinze par salles pour un effectif de soixante apprenants attendus ». Ces propos sont de N’guessan Dénis, professeur des sciences de la vie et de la terre (Svt) au lycée moderne de Tabou. Cet enseignant pense que ces retards sont dus aux difficultés financières des parents d’élèves. « Pour ne pas nous tourner les pouces, nous faisons des révisions », ajoute M. N’Guessan. Avant de reconnaître que l’affluence est beaucoup plus importante que les autres années. « Par le passé, c’était difficile. Parce que les orientations dans les classes de sixième et seconde se faisaient toujours au dernier moment. Ce qui occasionnait des perturbations dans la reprise des cours. Les choses semblent aller pour le mieux », se réjouit-il. La pression mise par la ministre de l’Education nationale et de l’enseignement technique y est pour quelque chose, selon l’enseignant. M. Yobouet Benjamin au collège moderne d’Abobo P18 abonde dans le même sens. « La rentrée est timide et les inscriptions physiques se poursuivent ici au Cma», explique le professeur. Tout comme le premier intervenant, Benjamin Yobouet a évoqué le problème financier des parents. Il espère que les choses rentreront dans l’ordre dans peu de temps. « En attendant, nous faisons des révisions avec le peu d’élèves présents. Vingt pour un effectif de 70 attendus», ajoute notre interlocuteur. Mais le tableau n’est pas sombre dans tous les établissements. « Nous ferons le point à la fin du mois de septembre. Mais, il faut savoir que les cours ont véritablement démarré ici au collège moderne du Plateau. J’ai fait un cent pour cent au niveau des inscriptions et tous les élèves sont présents», se félicite Mme Okou Okaï Madeleine, principale de cette école. Mme Massa Chantal, qui travaille au censorat du lycée jeune fille de Yopougon, s’inscrit dans la même logique. « Les cours ont commencé et nous avons 90% d’élèves inscrits et présents ». Les 10% restants s’activent encore pour les dernières formalités.
HA (stagiaire)
« Nous n’avons même pas la moitié des effectifs de la classe. Le nombre d’élèves présents tourne autour de quinze par salles pour un effectif de soixante apprenants attendus ». Ces propos sont de N’guessan Dénis, professeur des sciences de la vie et de la terre (Svt) au lycée moderne de Tabou. Cet enseignant pense que ces retards sont dus aux difficultés financières des parents d’élèves. « Pour ne pas nous tourner les pouces, nous faisons des révisions », ajoute M. N’Guessan. Avant de reconnaître que l’affluence est beaucoup plus importante que les autres années. « Par le passé, c’était difficile. Parce que les orientations dans les classes de sixième et seconde se faisaient toujours au dernier moment. Ce qui occasionnait des perturbations dans la reprise des cours. Les choses semblent aller pour le mieux », se réjouit-il. La pression mise par la ministre de l’Education nationale et de l’enseignement technique y est pour quelque chose, selon l’enseignant. M. Yobouet Benjamin au collège moderne d’Abobo P18 abonde dans le même sens. « La rentrée est timide et les inscriptions physiques se poursuivent ici au Cma», explique le professeur. Tout comme le premier intervenant, Benjamin Yobouet a évoqué le problème financier des parents. Il espère que les choses rentreront dans l’ordre dans peu de temps. « En attendant, nous faisons des révisions avec le peu d’élèves présents. Vingt pour un effectif de 70 attendus», ajoute notre interlocuteur. Mais le tableau n’est pas sombre dans tous les établissements. « Nous ferons le point à la fin du mois de septembre. Mais, il faut savoir que les cours ont véritablement démarré ici au collège moderne du Plateau. J’ai fait un cent pour cent au niveau des inscriptions et tous les élèves sont présents», se félicite Mme Okou Okaï Madeleine, principale de cette école. Mme Massa Chantal, qui travaille au censorat du lycée jeune fille de Yopougon, s’inscrit dans la même logique. « Les cours ont commencé et nous avons 90% d’élèves inscrits et présents ». Les 10% restants s’activent encore pour les dernières formalités.
HA (stagiaire)
