Le Président de la République, SEM. Alassane OUATTARA, a pris part, ce mardi 24 Septembre 2013, au siège de l’ONU à New York, à l’ouverture du débat général de la 68ème session de l’Assemblée Générale des Nations-Unies qui a vu l’intervention du Secrétaire Général de l’ONU, M. Ban Ki-Moon et d’une trentaine de Chef d’Etat et de Gouvernement.
M. Ban Ki-Moon a, à cette occasion, exhorté les chefs d’Etat et de Gouvernement à
« répondre à l’appel de l’histoire » et aux revendications légitimes de dignité et de développement durable des peuples du monde.
A cet égard, le nouveau programme de développement post-2015 doit, selon lui, être aussi mobilisateur que les OMD, tout en allant plus loin dans la lutte pour l’éradication de la pauvreté, le développement durable et la bonne gouvernance.
Evoquant les crises qui secouent le monde, notamment la crise syrienne, le Secrétaire Général des Nations-Unies a appelé la Communauté internationale à agir pour un règlement politique des conflits, car « toute victoire militaire est une illusion. »
S’agissant du continent africain, le Secrétaire général de l’ONU a exprimé sa satisfaction de voir des pays d’Afrique écrire un nouveau chapitre dans lequel le dynamisme va de pair avec la démocratie et une croissance économique « aussi soutenue qu’impressionnante ».
Toutefois, il a reconnu que des problèmes subsistent avec « la misère et l’instabilité qui persistent au Sahel et l’ordre public qui s’est effondré en République Centrafricaine. »
Pour terminer, M. BAN Ki Moon a jugé le moment actuel opportun pour réaffirmer l’attachement de la communauté internationale aux principes fondateurs de l’Organisation et renforcer les outils de prévention des violations, à grande échelle, des droits de l’Homme.
En marge de la cérémonie d’ouverture du débat général de la 68ème session de l’Assemblée Générale des Nations-Unies, le Président de République a procédé, au Siège de l’ONU, au dépôt de deux instruments de ratification relatifs aux Amendements à la Convention de Bâle sur le contrôle des mouvements transfrontières de déchets dangereux et leur élimination ( Genève, 22 Septembre 1995), et au protocole de Nagoya sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation relatif à la convention sur la diversité biologique (Nagoya, 29 Octobre 2010).
Le Chef de l’Etat a également procédé à la signature du protocole facultatif à la convention relative aux droits de l’Enfant établissant une procédure de présentation de communication (New York, 19 Décembre 2011) et du protocole pour éliminer le commerce illicite des produits du tabac (Séoul, 12 Novembre 2012).
M. Ban Ki-Moon a, à cette occasion, exhorté les chefs d’Etat et de Gouvernement à
« répondre à l’appel de l’histoire » et aux revendications légitimes de dignité et de développement durable des peuples du monde.
A cet égard, le nouveau programme de développement post-2015 doit, selon lui, être aussi mobilisateur que les OMD, tout en allant plus loin dans la lutte pour l’éradication de la pauvreté, le développement durable et la bonne gouvernance.
Evoquant les crises qui secouent le monde, notamment la crise syrienne, le Secrétaire Général des Nations-Unies a appelé la Communauté internationale à agir pour un règlement politique des conflits, car « toute victoire militaire est une illusion. »
S’agissant du continent africain, le Secrétaire général de l’ONU a exprimé sa satisfaction de voir des pays d’Afrique écrire un nouveau chapitre dans lequel le dynamisme va de pair avec la démocratie et une croissance économique « aussi soutenue qu’impressionnante ».
Toutefois, il a reconnu que des problèmes subsistent avec « la misère et l’instabilité qui persistent au Sahel et l’ordre public qui s’est effondré en République Centrafricaine. »
Pour terminer, M. BAN Ki Moon a jugé le moment actuel opportun pour réaffirmer l’attachement de la communauté internationale aux principes fondateurs de l’Organisation et renforcer les outils de prévention des violations, à grande échelle, des droits de l’Homme.
En marge de la cérémonie d’ouverture du débat général de la 68ème session de l’Assemblée Générale des Nations-Unies, le Président de République a procédé, au Siège de l’ONU, au dépôt de deux instruments de ratification relatifs aux Amendements à la Convention de Bâle sur le contrôle des mouvements transfrontières de déchets dangereux et leur élimination ( Genève, 22 Septembre 1995), et au protocole de Nagoya sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation relatif à la convention sur la diversité biologique (Nagoya, 29 Octobre 2010).
Le Chef de l’Etat a également procédé à la signature du protocole facultatif à la convention relative aux droits de l’Enfant établissant une procédure de présentation de communication (New York, 19 Décembre 2011) et du protocole pour éliminer le commerce illicite des produits du tabac (Séoul, 12 Novembre 2012).