Au Kenya, la prise d’otages n’est pas encore terminée au centre commercial Westgate de Nairobi. Au quatrième jour de l’attaque, le commando terroriste est retranché à l'intérieur. Des tirs ont de nouveau été entendus ce mardi matin aux abords du complexe dont le toit s'est effrondré en début d'après-midi. Le dernier bilan de cette attaque, la plus meurtrière qu'ait connue le Kenya depuis 15 ans, est de 65 morts et d'environ 200 blessés. Ce mardi, l'armée kényane a annoncé la mort de trois de ses membres suite à leurs blessures.
Le siège du Westgate à Nairobi pourrait durer encore de nombreuses heures, notamment à cause de la présence sur les lieux d’explosifs. La police kényane a affirmé ce mardi qu’elle recherchait d’éventuels engins encore en état de marche. Il s’agit de ratisser une surface vraiment large, pour désamorcer tous les pièges. Un travail qui sera rendu plus complexe encore par l'effondrement d'une partie du toit du centre commercial, ce mardi en tout début d'après-midi. Il s'agirait d'une partie du parking fragilisée par un incendie qui s'y était déclaré lundi.
C’est une partie du toit qui correspond au deuxième étage et au sol du parking. Environ un tiers du parking s’est effondré incluant un restaurant. Le sol du deuxième étage est probablement lui-aussi endommagé. Selon un pompier, cet effondrement aurait été provoqué par l’incendie qui s’est déclaré lundi à la suite de roquettes lancées du côté kényan pour en finir avec les assaillants. Au deuxième étage du centre commercial, il y a du mobilier, des matelas, ce qui explique la propagation rapide du feu.
Incertitude sur le nombre d'assaillants
Selon plusieurs sources contactées sur place par RFI, des éléments du commando seraient toujours à l’intérieur du centre commercial. On ne connait pas très bien leur nombre. Le chiffre d’un, voire deux islamistes encore présents a été évoqué et ils pourraient se cacher n'importe où. Les autorités kényanes évoquent la présence d’étrangers parmi les assaillants, dont des Américains et des Britanniques. Des assaillants qui affirment ce mardi détenir encore des otages vivants.
Dans tous les cas, ils disposent encore d’un stock de munitions puisque plusieurs échanges de coups de feu ont été entendus ce mardi. Il s’agit pour l’armée kényane de les retrouver mais, surtout, de ne pas mettre en danger leurs forces. D'autant plus que l’armée kényane a déjà subi de lourdes pertes, avec trois morts annoncés ce mardi dans ses rangs. Cela prouve, à nouveau, le niveau d’organisation des combattants mais aussi leur bonne connaissance du bâtiment.
Le siège du Westgate à Nairobi pourrait durer encore de nombreuses heures, notamment à cause de la présence sur les lieux d’explosifs. La police kényane a affirmé ce mardi qu’elle recherchait d’éventuels engins encore en état de marche. Il s’agit de ratisser une surface vraiment large, pour désamorcer tous les pièges. Un travail qui sera rendu plus complexe encore par l'effondrement d'une partie du toit du centre commercial, ce mardi en tout début d'après-midi. Il s'agirait d'une partie du parking fragilisée par un incendie qui s'y était déclaré lundi.
C’est une partie du toit qui correspond au deuxième étage et au sol du parking. Environ un tiers du parking s’est effondré incluant un restaurant. Le sol du deuxième étage est probablement lui-aussi endommagé. Selon un pompier, cet effondrement aurait été provoqué par l’incendie qui s’est déclaré lundi à la suite de roquettes lancées du côté kényan pour en finir avec les assaillants. Au deuxième étage du centre commercial, il y a du mobilier, des matelas, ce qui explique la propagation rapide du feu.
Incertitude sur le nombre d'assaillants
Selon plusieurs sources contactées sur place par RFI, des éléments du commando seraient toujours à l’intérieur du centre commercial. On ne connait pas très bien leur nombre. Le chiffre d’un, voire deux islamistes encore présents a été évoqué et ils pourraient se cacher n'importe où. Les autorités kényanes évoquent la présence d’étrangers parmi les assaillants, dont des Américains et des Britanniques. Des assaillants qui affirment ce mardi détenir encore des otages vivants.
Dans tous les cas, ils disposent encore d’un stock de munitions puisque plusieurs échanges de coups de feu ont été entendus ce mardi. Il s’agit pour l’armée kényane de les retrouver mais, surtout, de ne pas mettre en danger leurs forces. D'autant plus que l’armée kényane a déjà subi de lourdes pertes, avec trois morts annoncés ce mardi dans ses rangs. Cela prouve, à nouveau, le niveau d’organisation des combattants mais aussi leur bonne connaissance du bâtiment.