Objet : Lettre ouverte aux militants et
militantes du PDCI-RDA
Cher (e)s frères et sœurs militants et militantes du PDCI-RDA,
A nous tous qui avons en partage les idéaux de paix, de dialogue et de justice du PDCI-RDA, originel au sens propre du thème.
Sachons qu’à l’aube du XIIème congrès de notre parti, nos interventions, nos contributions, nos réflexions, à toutes et à tous, sont pour le PDCI-RDA matière utile et ce parti à besoin de ce terreau, le terreau fertile de nos idées, pour continuer à enrichir son projet pour la Côte d’Ivoire.
Quand nous regardons les perspectives, nous voyons que le pire poison, chers militants, c’est le manque de confiance en soi, c’est la dépréciation de soi, de son propre parti.
Et l’antidote de ce poison, c’est l’espérance militante, cette espérance que nous partageons avec vous aujourd’hui pour redonner confiance à tout un parti, à notre pays, redonner à tous les militants la maîtrise du lendemain et la confiance de leur profonde utilité.
Confiance en nos capacités individuelles et collectives. Confiance en notre avenir, confiance en notre destin, confiance en nos forces et confiance en nos atouts.
Confiance serai-je obligé de dire, en la bonne étoile qui guide le PDCI-RDA depuis des décennies et fait de lui le véritable moteur de la stabilité de notre pays tant au plan politique qu’au plan économique et social. Donc incontournable pour son développement et sa croissance, et cela grâce aux grandes valeurs qu’incarnent ses militants à l’image du père fondateur Félix HOUPHOUËT BOIGNY.
Prenons conscience de ce que cela signifie, prenons conscience de l’éclat que nos pères ont donné à ce parti, de la gloire qu’ils en ont tiré, du respect partout qu’il inspire et de l’honneur que nous tirons en ressentant d’en être militant.
Nous ne sommes plus au passé, nous ne sommes pas le passé, nous ne sommes pas un musée, nous ne sommes pas petit, nous ne sommes le vassal de personne.
Nous somme un parti qui peu compter sur des militants de bons sens quand une partie de son élites trahis.
Un parti politique, plus politique d’entre tous les partis politiques du pays.
Un parti qui abat l’impossible quand il est uni et rassemblé.
Qu’aucun militant n’en doute.
Car ce n’est pas le parti qui est faible !
Ce sont ceux qui sont contre l’application de nos textes qui l’affaiblissent.
Ce n’est pas la base qui désespère !
Ce sont eux qui nous désespèrent.
Ce n’est pas les militants qui ont peur !
Ce sont eux qui nous font peur.
Ce n’est pas la jeunesse qui n’a pas le courage !
Ce sont eux qui nous découragent.
C’est pourquoi nous nous battons et nous nous battrons contre tous ceux qui, au plus haut niveau, n’ont de cesse de rétrécir notre parti à tous, qui de gré ou sous l’impulsion d’une force dont nous ignorons l’origine mais connaissons les motivations, veulent le maintenir dans la mendicité et l’asservissement.
Qu’ils sachent que nous les voyons venir, dans leur démarche peut glorieuse.
Mais pour qui se prennent-ils ? Le parti ne leur appartient pas et ils ne peuvent pas en disposer à leur guise.
Nous rendrons donc aux militants toutes les composantes de leurs patrimoines au rang desquelles leur histoire glorieuse.
Ce chantier ne sera pas du tout facile, c’est certain, mais il sera vrai, juste, enthousiasmant.
Et il sera surtout possible si le Parti cesse de regarder dans le rétroviseur d’un passé tumultueux et cauchemardesque, tire les leçons de ses échecs passés et prend conscience en réalisant qu’il faut résolument et de toute urgence penser à demain.
Demain, pour le grand PDCI-RDA, c’est la conquête du pouvoir d’Etat qui est la vocation et l’ambition de tout parti politique. Plus encore quand on a été à la base de la fondation de la nation ivoirienne.
Sachons le et gardons le dans nos pensées et nos cœurs. Car le pays a besoin du PDCI-RDA pour repartir effectivement et cela commence maintenant avec vous, vaillantes militantes et vaillants militants. C’est encore possible par la grâce de DIEU.
Le Président de la Renaissance
Ghislain Lahore TCHEL-BI
militantes du PDCI-RDA
Cher (e)s frères et sœurs militants et militantes du PDCI-RDA,
A nous tous qui avons en partage les idéaux de paix, de dialogue et de justice du PDCI-RDA, originel au sens propre du thème.
Sachons qu’à l’aube du XIIème congrès de notre parti, nos interventions, nos contributions, nos réflexions, à toutes et à tous, sont pour le PDCI-RDA matière utile et ce parti à besoin de ce terreau, le terreau fertile de nos idées, pour continuer à enrichir son projet pour la Côte d’Ivoire.
Quand nous regardons les perspectives, nous voyons que le pire poison, chers militants, c’est le manque de confiance en soi, c’est la dépréciation de soi, de son propre parti.
Et l’antidote de ce poison, c’est l’espérance militante, cette espérance que nous partageons avec vous aujourd’hui pour redonner confiance à tout un parti, à notre pays, redonner à tous les militants la maîtrise du lendemain et la confiance de leur profonde utilité.
Confiance en nos capacités individuelles et collectives. Confiance en notre avenir, confiance en notre destin, confiance en nos forces et confiance en nos atouts.
Confiance serai-je obligé de dire, en la bonne étoile qui guide le PDCI-RDA depuis des décennies et fait de lui le véritable moteur de la stabilité de notre pays tant au plan politique qu’au plan économique et social. Donc incontournable pour son développement et sa croissance, et cela grâce aux grandes valeurs qu’incarnent ses militants à l’image du père fondateur Félix HOUPHOUËT BOIGNY.
Prenons conscience de ce que cela signifie, prenons conscience de l’éclat que nos pères ont donné à ce parti, de la gloire qu’ils en ont tiré, du respect partout qu’il inspire et de l’honneur que nous tirons en ressentant d’en être militant.
Nous ne sommes plus au passé, nous ne sommes pas le passé, nous ne sommes pas un musée, nous ne sommes pas petit, nous ne sommes le vassal de personne.
Nous somme un parti qui peu compter sur des militants de bons sens quand une partie de son élites trahis.
Un parti politique, plus politique d’entre tous les partis politiques du pays.
Un parti qui abat l’impossible quand il est uni et rassemblé.
Qu’aucun militant n’en doute.
Car ce n’est pas le parti qui est faible !
Ce sont ceux qui sont contre l’application de nos textes qui l’affaiblissent.
Ce n’est pas la base qui désespère !
Ce sont eux qui nous désespèrent.
Ce n’est pas les militants qui ont peur !
Ce sont eux qui nous font peur.
Ce n’est pas la jeunesse qui n’a pas le courage !
Ce sont eux qui nous découragent.
C’est pourquoi nous nous battons et nous nous battrons contre tous ceux qui, au plus haut niveau, n’ont de cesse de rétrécir notre parti à tous, qui de gré ou sous l’impulsion d’une force dont nous ignorons l’origine mais connaissons les motivations, veulent le maintenir dans la mendicité et l’asservissement.
Qu’ils sachent que nous les voyons venir, dans leur démarche peut glorieuse.
Mais pour qui se prennent-ils ? Le parti ne leur appartient pas et ils ne peuvent pas en disposer à leur guise.
Nous rendrons donc aux militants toutes les composantes de leurs patrimoines au rang desquelles leur histoire glorieuse.
Ce chantier ne sera pas du tout facile, c’est certain, mais il sera vrai, juste, enthousiasmant.
Et il sera surtout possible si le Parti cesse de regarder dans le rétroviseur d’un passé tumultueux et cauchemardesque, tire les leçons de ses échecs passés et prend conscience en réalisant qu’il faut résolument et de toute urgence penser à demain.
Demain, pour le grand PDCI-RDA, c’est la conquête du pouvoir d’Etat qui est la vocation et l’ambition de tout parti politique. Plus encore quand on a été à la base de la fondation de la nation ivoirienne.
Sachons le et gardons le dans nos pensées et nos cœurs. Car le pays a besoin du PDCI-RDA pour repartir effectivement et cela commence maintenant avec vous, vaillantes militantes et vaillants militants. C’est encore possible par la grâce de DIEU.
Le Président de la Renaissance
Ghislain Lahore TCHEL-BI
