Le Rassemblement des républicains (Rdr, au pouvoir) en Côte d’Ivoire, a récusé jeudi, la proposition faite par le parti de l’ex Président Ivoirien Laurent Gbagbo le Front populaire ivoirien (Fpi), d’organiser « des états généraux de la République », pour une réconciliation nationale, deux ans après une décennie de crise militaro politique.
« Notre pays n'a pas encore besoin d'un second Forum ou des Etats Généraux de la République » , a déclaré Joël N'Guessan, dans un communiqué transmis à APA, en guise de réponse au Fpi.
Pour le porte-parole principal du parti présidentiel, « trop de cadres de dialogue et de discussion pour la reconstruction et la réconciliation ont déjà été créés et que tout a été déjà exploré, tout a été diagnostiqué ».
« Est-il nécessaire de multiplier à l'infini les organes de concertation » s'interroge t - il, citant les plateformes qui ont existé dans l'histoire récente du pays, notamment le forum de réconciliation nationale (en 2001) et la Commission Consultative Constitutionnelle et Electorale (en 2000).
Selon N'Guessan, cette proposition des « frontistes » est l'émanation de « la mauvaise foi qui anime nos frères du FPI », les accusant de « refuser la main tendue du Président Alassane Ouattara et du gouvernement ».
Le Fpi a réitéré mardi, lors de la reprise du cadre permanent de dialogue son vœu de voir le gouvernement ivoirien d'organiser des « états généraux de la République » qui réuniraient les partis politiques, la société civile, les confessions religieuses, les autorités traditionnelles, toutes couches socioprofessionnelles, les jeunes et les femmes pour discuter de tous problèmes qui divisent les Ivoiriens.
L'ex-parti au pouvoir de Laurent Gbagbo et principale formation politique de l'opposition estime que ce cadre permanent de dialogue (Cpd) qui devrait aboutir à une réconciliation nationale totale n'est pas ‘'pertinent''.
Le cadre permanent de dialogue (Cpd) initié en avril 2012 par l'ex Premier Ministre Jeannot Ahoussou est une plate-forme de propositions et d'actions en vue de l'amélioration des relations socio politiques entre le gouvernement et l'opposition Ivoirienne.
A la cérémonie de passation des charges avec le président intérimaire du parti, le leader des socialistes ivoiriens, Pascal Affi N'guessan avait invité le Chef de l'Etat ivoirien à convoquer les états généraux de la République pour en faire l'instrument opérationnel de la réconciliation".
JBK/ mc/of/APA
« Notre pays n'a pas encore besoin d'un second Forum ou des Etats Généraux de la République » , a déclaré Joël N'Guessan, dans un communiqué transmis à APA, en guise de réponse au Fpi.
Pour le porte-parole principal du parti présidentiel, « trop de cadres de dialogue et de discussion pour la reconstruction et la réconciliation ont déjà été créés et que tout a été déjà exploré, tout a été diagnostiqué ».
« Est-il nécessaire de multiplier à l'infini les organes de concertation » s'interroge t - il, citant les plateformes qui ont existé dans l'histoire récente du pays, notamment le forum de réconciliation nationale (en 2001) et la Commission Consultative Constitutionnelle et Electorale (en 2000).
Selon N'Guessan, cette proposition des « frontistes » est l'émanation de « la mauvaise foi qui anime nos frères du FPI », les accusant de « refuser la main tendue du Président Alassane Ouattara et du gouvernement ».
Le Fpi a réitéré mardi, lors de la reprise du cadre permanent de dialogue son vœu de voir le gouvernement ivoirien d'organiser des « états généraux de la République » qui réuniraient les partis politiques, la société civile, les confessions religieuses, les autorités traditionnelles, toutes couches socioprofessionnelles, les jeunes et les femmes pour discuter de tous problèmes qui divisent les Ivoiriens.
L'ex-parti au pouvoir de Laurent Gbagbo et principale formation politique de l'opposition estime que ce cadre permanent de dialogue (Cpd) qui devrait aboutir à une réconciliation nationale totale n'est pas ‘'pertinent''.
Le cadre permanent de dialogue (Cpd) initié en avril 2012 par l'ex Premier Ministre Jeannot Ahoussou est une plate-forme de propositions et d'actions en vue de l'amélioration des relations socio politiques entre le gouvernement et l'opposition Ivoirienne.
A la cérémonie de passation des charges avec le président intérimaire du parti, le leader des socialistes ivoiriens, Pascal Affi N'guessan avait invité le Chef de l'Etat ivoirien à convoquer les états généraux de la République pour en faire l'instrument opérationnel de la réconciliation".
JBK/ mc/of/APA