La tournée de Pascal Affi N'Guessan, président du Fpi, à Gagnoa est l'occasion rêvée des populations du département de rendre un hommage mérité à l’ancien prisonnier d’Alassane Dramane Ouattara. Affi est vu par les populations comme le porte-flambeau de la lutte pour la libération de Laurent Gbagbo et de tous les prisonniers politiques. Gagnoa est dans la ferveur de l’événement. Les réactions des responsables du Fpi et des leaders d'opinion sont édifiantes. « Nous sommes prêts pour Affi. Au niveau de la mobilisation, l'essentiel est fait. La population de Gagnoa a soif de voir et toucher Affi qui incarne la lutte pour la libération de la Côte d'Ivoire de la dictature des vainqueurs de la guerre», déclare Etienne Dali, secrétaire général de la fédération Fpi de Gagnoa. Qui appelle, par conséquent, ses militants et toutes les populations à sortir massivement pour réserver un accueil populaire à leur hôte de marque. «Les temps sont durs, très durs. La misère sévit partout, mais, pour Affi N’Guessan, le sacrifice n'est pas de trop. Que chacun se donne les moyens nécessaires pour vivre l’événement !», insiste le fédéral.
Dans toutes les sous-préfectures de Gagnoa, des équipes sont à l’oeuvre. A Guibéroua, Richard Zadi et Thierry Baro ne laissent rien au hasard dans les préparatifs. La sous-préfecture de Gnagbodougnoa veut gagner le pari de la mobilisation. L’artisan est le secrétaire de section, Blaise Sérikpa.
Pour Ouragahio, le premier responsable de la section Fpi, Bernard Boli, et les militants des 17 villages s’approprient la visite d’Affi.
Bayota ne veut pas jouer les seconds rôles dans la réception du président du Fpi. Obrou Bridji Albert œuvre à la mobilisation.
« Les femmes de Gagnoa sont mobilisées pour Affi. Elles lui réservent un accueil digne. Nous attendions cette occasion», confie Bolou Rose, fédérale Offpi de Gagnoa.
Le président de la Commission Mobilisation dans la commune de Gagnoa ne dit pas autre chose. «Toutes les structures du Fpi sont mobilisées. Nous sommes dans les préparatifs depuis une semaine. Tout se passe bien. A chaque étape de la tournée, le président du Fpi aura en face de lui un monde fou. Les militants sont prêts à recevoir leur président», rassure Denis Wahoué.
Même ton d’assurance de la part de Toali Bouazo après une visite de terrain. Il fait remarquer que les équipes sont sans repos. «Le plus grand cadeau que Gagnoa doit faire à Affi, c'est de lui réserver un accueil populaire», souligne-t-il.
Albert Obrou Bridji, secrétaire général de la section Zedi 1, coordonnateur du secteur 5 de Bayota, n’a pas de raison d’être pessimiste. «Avant même qu'on ne reçoive le programme de la tournée du président Affi, j'avais déjà fait le tour des 21 villages de Bayota». Il ajoute que, dans chaque village, les convois sont prévus pour suivre toutes les étapes de la tournée. «L'arrivée du président Affi est un rêve longtemps caressé au regard de ce que nous avons vécu. Nous avons passé des mois en brousse. Affi arrive, cela prouve que le Fpi vit et vivra. Ceux qui pensaient que notre parti est fini déchantent aujourd'hui», conclut-il.
Quant à Gnaboto Liazéré, secrétaire national Jfpi chargé des fédérations de la région du Fromager, il dira que la mobilisation est totale. La mobilisation se fait dans chaque sous-préfecture. Elle est totale. Toutes les structures locales du parti ont investi le terrain et Affi et sa délégation seront édifiés, pense-t-il.
La commerçante Léontine Yao, qui exerce au marché central de Gagnoa, dit ce qu’elle attend de cette visite. «Nous attendons les nouvelles du président Gbagbo. Nous voudrions que le président du Fpi se prononce sur la cherté de la vie sous Ouattara. Les ménages n’arrivent plus à joindre les deux bouts. La Côte d’Ivoire est devenue un pays où le citoyen a faim. L’argent ne circule plus. Il paraît qu’il travaille».
Marius Dangan Kpan à Gagnoa
Dans toutes les sous-préfectures de Gagnoa, des équipes sont à l’oeuvre. A Guibéroua, Richard Zadi et Thierry Baro ne laissent rien au hasard dans les préparatifs. La sous-préfecture de Gnagbodougnoa veut gagner le pari de la mobilisation. L’artisan est le secrétaire de section, Blaise Sérikpa.
Pour Ouragahio, le premier responsable de la section Fpi, Bernard Boli, et les militants des 17 villages s’approprient la visite d’Affi.
Bayota ne veut pas jouer les seconds rôles dans la réception du président du Fpi. Obrou Bridji Albert œuvre à la mobilisation.
« Les femmes de Gagnoa sont mobilisées pour Affi. Elles lui réservent un accueil digne. Nous attendions cette occasion», confie Bolou Rose, fédérale Offpi de Gagnoa.
Le président de la Commission Mobilisation dans la commune de Gagnoa ne dit pas autre chose. «Toutes les structures du Fpi sont mobilisées. Nous sommes dans les préparatifs depuis une semaine. Tout se passe bien. A chaque étape de la tournée, le président du Fpi aura en face de lui un monde fou. Les militants sont prêts à recevoir leur président», rassure Denis Wahoué.
Même ton d’assurance de la part de Toali Bouazo après une visite de terrain. Il fait remarquer que les équipes sont sans repos. «Le plus grand cadeau que Gagnoa doit faire à Affi, c'est de lui réserver un accueil populaire», souligne-t-il.
Albert Obrou Bridji, secrétaire général de la section Zedi 1, coordonnateur du secteur 5 de Bayota, n’a pas de raison d’être pessimiste. «Avant même qu'on ne reçoive le programme de la tournée du président Affi, j'avais déjà fait le tour des 21 villages de Bayota». Il ajoute que, dans chaque village, les convois sont prévus pour suivre toutes les étapes de la tournée. «L'arrivée du président Affi est un rêve longtemps caressé au regard de ce que nous avons vécu. Nous avons passé des mois en brousse. Affi arrive, cela prouve que le Fpi vit et vivra. Ceux qui pensaient que notre parti est fini déchantent aujourd'hui», conclut-il.
Quant à Gnaboto Liazéré, secrétaire national Jfpi chargé des fédérations de la région du Fromager, il dira que la mobilisation est totale. La mobilisation se fait dans chaque sous-préfecture. Elle est totale. Toutes les structures locales du parti ont investi le terrain et Affi et sa délégation seront édifiés, pense-t-il.
La commerçante Léontine Yao, qui exerce au marché central de Gagnoa, dit ce qu’elle attend de cette visite. «Nous attendons les nouvelles du président Gbagbo. Nous voudrions que le président du Fpi se prononce sur la cherté de la vie sous Ouattara. Les ménages n’arrivent plus à joindre les deux bouts. La Côte d’Ivoire est devenue un pays où le citoyen a faim. L’argent ne circule plus. Il paraît qu’il travaille».
Marius Dangan Kpan à Gagnoa
