L'Ong Espoir filles et femmes d'Afrique(ESFA ), a appelé vendredi, lors de la journée internationale de la jeune fille, autorités et populations à accorder davantage d'attention aux problèmes de la jeune fille dans la région du Tchologo.
"Le 11 octobre est la journée que l'organisation des Nations Unies a décrété comme étant la journée internationale de la jeune fille depuis décembre 2011.C'est une journée pour magnifier la fille, se pencher sur ses problèmes" a indiqué la présidente régionale d’ESFA dans la région du Tchologo, Mme Sidjani. "Il faut que chaque parent accorde une attention particulière à sa fille. Il faut également que la société se penche sur elle avec attention et affection", a-t-elle conseillé.
Cette Ong, qui fait de la question de la jeune fille une priorité, n'a pas voulu laisser passer sous silence cette journée qu'elle a décidé de vulgariser à travers des banderoles et des affiches dans les lieux publics et les écoles de la ville de Ferkessédougou, chef lieu de région. Sa présidente a souligné par ailleurs qu'il y a eu du progrès dans la région, en terme de scolarisation de la jeune fille.
Il n'en demeure pas moins que beaucoup reste à faire pour l’épanouissement de la jeune fille qui se trouve confrontée à des problèmes multiples et multiformes, dus à la pauvreté des familles.Notamment le harcèlement sexuel, le mariage précoce, l’excision, la prostitution, etc, a ajouté Mme Sidjani. "Il faut un soutien à toutes ces jeunes filles pour qu'elles puissent faire partie de l'élite nationale", a-t-elle souligné.
L'Ong ESFA a suscité, il y a quelques années, la mise en place de clubs de jeunes filles dans les établissements secondaires de Ferkessédougou, où elles reçoivent des conseils et appui pour un changement intégral de comportement, afin de mener une vie saine.
(AIP)
"Le 11 octobre est la journée que l'organisation des Nations Unies a décrété comme étant la journée internationale de la jeune fille depuis décembre 2011.C'est une journée pour magnifier la fille, se pencher sur ses problèmes" a indiqué la présidente régionale d’ESFA dans la région du Tchologo, Mme Sidjani. "Il faut que chaque parent accorde une attention particulière à sa fille. Il faut également que la société se penche sur elle avec attention et affection", a-t-elle conseillé.
Cette Ong, qui fait de la question de la jeune fille une priorité, n'a pas voulu laisser passer sous silence cette journée qu'elle a décidé de vulgariser à travers des banderoles et des affiches dans les lieux publics et les écoles de la ville de Ferkessédougou, chef lieu de région. Sa présidente a souligné par ailleurs qu'il y a eu du progrès dans la région, en terme de scolarisation de la jeune fille.
Il n'en demeure pas moins que beaucoup reste à faire pour l’épanouissement de la jeune fille qui se trouve confrontée à des problèmes multiples et multiformes, dus à la pauvreté des familles.Notamment le harcèlement sexuel, le mariage précoce, l’excision, la prostitution, etc, a ajouté Mme Sidjani. "Il faut un soutien à toutes ces jeunes filles pour qu'elles puissent faire partie de l'élite nationale", a-t-elle souligné.
L'Ong ESFA a suscité, il y a quelques années, la mise en place de clubs de jeunes filles dans les établissements secondaires de Ferkessédougou, où elles reçoivent des conseils et appui pour un changement intégral de comportement, afin de mener une vie saine.
(AIP)
