Le président du Front populaire ivoirien (FPI, parti de l’ex-président Laurent Gbagbo), Pascal Nguessan Affi, a exhorté lundi à Abidjan les autorités ivoiriennes à prendre des mesures d’apaisement.
Pour M. Affi qui intervenait lors d’un entretien avec des médias, plusieurs actes tels que le dégel des avoirs des pro-Gbagbo, la libération des résidences occupées par des soldats, la mise en liberté des détenus pro-Gbagbo et le retour d’exil des proches de l’ex-président devront constituer la pierre angulaire de cet apaisement.
"Le gouvernement et l’opposition doivent aller vite sur les questions qui vont entraîner la décrispation", a-t-il préconisé.
"Le dialogue entre les deux parties est en cours, mais il traîne. Les avancées sont timides", a estimé le président du FPI.
Pour Pascal Affi Nguessan, il est nécessaire de mettre fin au cycle de violences dans le pays et il appartient à tous les acteurs de s’inscrire dans le processus de réconciliation.
"Sans réconciliation, il n’y a pas d’avenir pour le pays", a-t-il souligné, appelant à la cohésion des populations de manière à vivre dans la paix et la stabilité.
La Côte d’ivoire tente d’emprunter la voie de la normalisation après la crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3 000 morts et un million de déplacés.
Un dialogue a été établi entre les autorités et l’opposition afin de réinstaurer un climat de confiance.
Pour M. Affi qui intervenait lors d’un entretien avec des médias, plusieurs actes tels que le dégel des avoirs des pro-Gbagbo, la libération des résidences occupées par des soldats, la mise en liberté des détenus pro-Gbagbo et le retour d’exil des proches de l’ex-président devront constituer la pierre angulaire de cet apaisement.
"Le gouvernement et l’opposition doivent aller vite sur les questions qui vont entraîner la décrispation", a-t-il préconisé.
"Le dialogue entre les deux parties est en cours, mais il traîne. Les avancées sont timides", a estimé le président du FPI.
Pour Pascal Affi Nguessan, il est nécessaire de mettre fin au cycle de violences dans le pays et il appartient à tous les acteurs de s’inscrire dans le processus de réconciliation.
"Sans réconciliation, il n’y a pas d’avenir pour le pays", a-t-il souligné, appelant à la cohésion des populations de manière à vivre dans la paix et la stabilité.
La Côte d’ivoire tente d’emprunter la voie de la normalisation après la crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3 000 morts et un million de déplacés.
Un dialogue a été établi entre les autorités et l’opposition afin de réinstaurer un climat de confiance.