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Politique Publié le jeudi 17 octobre 2013 | Le Patriote

Discours orduriers, invectives et refus de la réconciliation : Comment le FPI se met à dos le peuple ivoirien

© Le Patriote Par Atteby
FPI: Cérémonie de passation des charges entre Miaka Ouretto et Affi N`Guessan
Samedi 7 septembre 2013. Abidjan. Le président statutaire du Front populaire ivoirien, Pascal Affi N’guessan a repris les rênes du parti au cours d’une cérémonie de passation des charges avec son intérimaire, Sylvain Miaka Ourétto.
Ils avaient promis monts et merveilles aux Ivoiriens, mais à l’épreuve du pouvoir, les refondateurs se sont avérés des vendeurs de rêves, d’’illusions et de chimères. Pendant dix ans de règne, le régime du FPI à travers la propagande et une dictature féroce a brisé tous les espoirs des Ivoiriens, transformant leur quotidien en un véritable cauchemar. En effet, l’ex-parti au pouvoir s’est fortement illustré dans la violation des droits de l’Homme au point de battre tous les records sur les bords de la lagune ébrié en termes d’assassinats, de tueries gratuites, de massacres, de vols, de viols, de détournements de deniers publics… Avec la division entre les Ivoiriens et la violence verbale au cœur de l’action gouvernementale, les socialistes à l’ivoirienne ont complètement mis en lambeau le tissu social avant de précipiter la Côte d’Ivoire dans sa première guerre depuis l’indépendance. Des milliers de personnes ont payé de leur sang les turpitudes et l’inconséquence des anciens dirigeants de la Côte d’Ivoire. Ainsi, le pays de Félix Houphouët-Boigny, jadis havre de paix, pays d’hospitalité, d’ouverture, d’union et de rassemblement a écrit les pages les plus sombres de son histoire en lettres de larmes et surtout de sang. Le sang a coulé, la tristesse et la désolation ont pris le pas sur la joie de vivre. Et les Ivoiriens avec leurs frères de l’Afrique et du monde installés en Côte d’Ivoire ont souffert le martyre. Le chapelet des méfaits des refondateurs est si long qu’il est impossible de l’égrener en entier. Charnier Yopougon, massacre de la marche de mars 2004, les évènements de novembre 2004, la crise postélectorale avec son cortège d’êtres humains brûlés vifs et son lourd bilan de 3000 morts occasionnés par l’entêtement de Laurent Gbagbo à garder le fauteuil présidentiel en dépit de sa défaite dans les urnes sont bel et bien inscrits dans les souvenirs douloureux des Ivoiriens.
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