L’écrivain britannique Lawrence Durell a dit : «La véritable maturité va toujours de pair avec une profonde compassion pour le monde, pour les gens». Cette conception inspire les femmes du Front populaire ivoirien qui se sentent affligées par le décès, jeudi dernier, d’Henriette Dao Coulibaly, présidente des femmes du Pdci.
L’organisation sœur des femmes du Fpi est allée à Cocody, le samedi 19 octobre 2013, apporter la compassion aux familles Dao Coulibaly et Touré. La délégation de 22 membres de l’Offpi était conduite par Marie Odette Lorougnon. En son nom, l’ancienne ministre Dr. Christine Adjobi a expliqué : «Nous avons appris la triste nouvelle du décès de notre soeur. Mais nous nous demandons si cette nouvelle est vraie. Est-ce réellement notre sœur, notre ainée Dao Henriette qui est partie ? Si c’est vrai, nous venons pleurer avec vous. Car nous sommes des vôtres».
La famille refuse de croire à cette disparition, mais elle s’en remet au Tout-Puissant. «Personne n’a cru à la mort de notre sœur. Mais tout ce que Dieu fait est bon», répond un membre. Sensible à cet élan de compassion, au nom de la famille, Vakaba Touré de Movali a déclaré: «Votre présence ne nous surprend guère. Vous êtes de la même génération. Vous avez fait les mêmes écoles, collèges et lycées. Et vous n’avez jamais demandé la carte d’identité ni cherché de quelle couleur on est. C’est à nous de vous dire yako».
Dr. Christine Adjobi a rassuré que le Fpi sera présent à toutes les étapes des obsèques.
En plus d’Adjobi, Marie Odette Lorougnon était accompagnée de Yvonne Bouabré Abané, ancienne député de Divo, Agnès Monnet, ancienne maire d’Agou, Laure Anidier, secrétaire nationale du Fpi chargée de la Réconciliation et de la Cohésion sociale, de Lucie Kassy, d’Adjara Diakité, secrétaire nationale Offpi chargée des fédérations de Bouaké, et d’autres militantes.
Benjamin Koré
L’organisation sœur des femmes du Fpi est allée à Cocody, le samedi 19 octobre 2013, apporter la compassion aux familles Dao Coulibaly et Touré. La délégation de 22 membres de l’Offpi était conduite par Marie Odette Lorougnon. En son nom, l’ancienne ministre Dr. Christine Adjobi a expliqué : «Nous avons appris la triste nouvelle du décès de notre soeur. Mais nous nous demandons si cette nouvelle est vraie. Est-ce réellement notre sœur, notre ainée Dao Henriette qui est partie ? Si c’est vrai, nous venons pleurer avec vous. Car nous sommes des vôtres».
La famille refuse de croire à cette disparition, mais elle s’en remet au Tout-Puissant. «Personne n’a cru à la mort de notre sœur. Mais tout ce que Dieu fait est bon», répond un membre. Sensible à cet élan de compassion, au nom de la famille, Vakaba Touré de Movali a déclaré: «Votre présence ne nous surprend guère. Vous êtes de la même génération. Vous avez fait les mêmes écoles, collèges et lycées. Et vous n’avez jamais demandé la carte d’identité ni cherché de quelle couleur on est. C’est à nous de vous dire yako».
Dr. Christine Adjobi a rassuré que le Fpi sera présent à toutes les étapes des obsèques.
En plus d’Adjobi, Marie Odette Lorougnon était accompagnée de Yvonne Bouabré Abané, ancienne député de Divo, Agnès Monnet, ancienne maire d’Agou, Laure Anidier, secrétaire nationale du Fpi chargée de la Réconciliation et de la Cohésion sociale, de Lucie Kassy, d’Adjara Diakité, secrétaire nationale Offpi chargée des fédérations de Bouaké, et d’autres militantes.
Benjamin Koré