Des camions de transports de bagages immobilisés à la préfecture de police, des commerçantes prennent d’assaut la préfecture.
Le préfet de région du ‘’poro’’ préfet du département de korhogo Daouda Ouattara a ordonné la police et la gendarmerie d’engager la répression pour le contrôle des véhicules de transports en commun y compris les motos de deux et trois roues notamment les tricycles qui transportent aussi et les bagages et les personnes. Mettre ces véhicules en règles vis à vis des textes et surtout sécuriser les personnes transportées est l’objectif visé.
Ainsi le 17 octobre 2013 des camions de transports bagages transformés également en transport de passagers ont été immobilisés à la préfecture de police de korhogo au nord de la Côte d’Ivoire . Les occupants de ces mastodontes que sont les commerçantes des marchés foraines des villes du département se sont rassemblées en masses à la préfecture pour rencontrer l’autorité. « On a donné le feu vert aux forces de l’ordre de faire le contrôle de manière stricte des véhicules, voir s’ils sont en règles, de même que les tricycles qui, au lieu de transporter des bagages, transportent et les personnes et les bagages » a expliqué le préfet. Au cours de la rencontre les commerçantes ont dit qu’elles n’ont pas le choix, c’est leur gagne –pain, qu’elles ne peuvent pas prendre deux véhicules séparément pour faire les marchés foraines appelés communément’’ logodougou’.
C’est à dire un véhicule abords duquel elles vont monter et un autre pour transporter les bagages et qu’elles préfèrent monter dans les gros camions qui transportent et les personnes et les passagers. Alors qu’ils ne sont pas habilités à le faire selon la réglementation a dit le préfet. On a fait des concessions et de concessions en concessions pendant un an , le gros problème est que ces gros véhicules ne sont pas assurés , on ne peut pas continuer avec le pardon, il faut qu’on applique les texte a martelé Daouda Ouattara.
Les responsables de syndicats des transporteurs des passagers notamment des véhicules appelés ‘’badjan ‘’ eux se frottent les mains à la mesure répressive. Ils sont favorables à cette mesure de séparation de transport des bagages et des personnes car ces gros camions leurs ravissent la clientèle ont-ils indiqué .En entendant de trouver une solution idoine pour les deux parties ,le bras de fer continue entre autorité et commerçantes des marchés ‘’logodougou ’’.
Benogo OUATTARA
Correspondant
Le préfet de région du ‘’poro’’ préfet du département de korhogo Daouda Ouattara a ordonné la police et la gendarmerie d’engager la répression pour le contrôle des véhicules de transports en commun y compris les motos de deux et trois roues notamment les tricycles qui transportent aussi et les bagages et les personnes. Mettre ces véhicules en règles vis à vis des textes et surtout sécuriser les personnes transportées est l’objectif visé.
Ainsi le 17 octobre 2013 des camions de transports bagages transformés également en transport de passagers ont été immobilisés à la préfecture de police de korhogo au nord de la Côte d’Ivoire . Les occupants de ces mastodontes que sont les commerçantes des marchés foraines des villes du département se sont rassemblées en masses à la préfecture pour rencontrer l’autorité. « On a donné le feu vert aux forces de l’ordre de faire le contrôle de manière stricte des véhicules, voir s’ils sont en règles, de même que les tricycles qui, au lieu de transporter des bagages, transportent et les personnes et les bagages » a expliqué le préfet. Au cours de la rencontre les commerçantes ont dit qu’elles n’ont pas le choix, c’est leur gagne –pain, qu’elles ne peuvent pas prendre deux véhicules séparément pour faire les marchés foraines appelés communément’’ logodougou’.
C’est à dire un véhicule abords duquel elles vont monter et un autre pour transporter les bagages et qu’elles préfèrent monter dans les gros camions qui transportent et les personnes et les passagers. Alors qu’ils ne sont pas habilités à le faire selon la réglementation a dit le préfet. On a fait des concessions et de concessions en concessions pendant un an , le gros problème est que ces gros véhicules ne sont pas assurés , on ne peut pas continuer avec le pardon, il faut qu’on applique les texte a martelé Daouda Ouattara.
Les responsables de syndicats des transporteurs des passagers notamment des véhicules appelés ‘’badjan ‘’ eux se frottent les mains à la mesure répressive. Ils sont favorables à cette mesure de séparation de transport des bagages et des personnes car ces gros camions leurs ravissent la clientèle ont-ils indiqué .En entendant de trouver une solution idoine pour les deux parties ,le bras de fer continue entre autorité et commerçantes des marchés ‘’logodougou ’’.
Benogo OUATTARA
Correspondant