L'Etat ivoirien s'est doté mercredi d'un budget de 4 248 milliards de francs CFA pour l'année 2014, en hausse de 9,4% par rapport à l'année passée.
"Ce budget évalué à 4 248 milliards de francs CFA est en hausse de 9,4% par rapport à celui de l'année écoulée, avec un taux de croissance économique projeté à 9,1%", a indiqué le porte- parole du gouvernement, Bruno Koné, au sortir d'un conseil des ministres.
Selon lui, ce budget s'exécutera dans un contexte de " consolidation de la paix et de la croissance économique", après la meurtrière crise post-électorale de 2010-2011.
Le budget 2014 vise prioritairement le renforcement des infrastructures sociales de base, la promotion de l'emploi, l'amélioration de l'offre de santé, l'appui au développement agricole et l'éducation, a ajouté le porte-parole du gouvernement.
Avec ce budget, l'Etat devrait pouvoir recruter 15 000 nouveaux agents dont 9 496 pour le secteur de l'éducation et 4 859 pour le domaine de la santé à la Fonction publique qui compte déjà plus de 100 000 fonctionnaires.
Le projet de loi de finances doit être adopté par l'Assemblée nationale avant son exécution.
"Ce budget évalué à 4 248 milliards de francs CFA est en hausse de 9,4% par rapport à celui de l'année écoulée, avec un taux de croissance économique projeté à 9,1%", a indiqué le porte- parole du gouvernement, Bruno Koné, au sortir d'un conseil des ministres.
Selon lui, ce budget s'exécutera dans un contexte de " consolidation de la paix et de la croissance économique", après la meurtrière crise post-électorale de 2010-2011.
Le budget 2014 vise prioritairement le renforcement des infrastructures sociales de base, la promotion de l'emploi, l'amélioration de l'offre de santé, l'appui au développement agricole et l'éducation, a ajouté le porte-parole du gouvernement.
Avec ce budget, l'Etat devrait pouvoir recruter 15 000 nouveaux agents dont 9 496 pour le secteur de l'éducation et 4 859 pour le domaine de la santé à la Fonction publique qui compte déjà plus de 100 000 fonctionnaires.
Le projet de loi de finances doit être adopté par l'Assemblée nationale avant son exécution.