Bouaké, 25 oct (AIP)- Le coordonnateur national du projet de professionnalisation de la filière des déchets solides, Sehi Bi Alphonse, de l’Agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR), a annoncé, jeudi à Bouaké, que le projet rentre bientôt dans la phase de transformation des déchets ménagers solides et assimilés dans un centre qui sera construit sur place.
Le coordonnateur national a livré l’information lors de l’atelier de restitution de la deuxième composante du projet, précisant que l’accord a été déjà signé avec le partenaire chargé de construire le centre de valorisation des déchets.
M. Sehi Bi a signifié que ce centre comprendra trois compartiments dans lesquels seront transformées notamment les matières organiques, en plastique ou en carton en d’autres produits commercialisables tels que l’engrais organique et des sacs qui permettront aux jeunes qui travaillent de ce secteur de vivre de leurs revenus.
Cette phase de valorisation intervient après la mise en place de 28 groupements d’intérêts économiques au niveau de la ville de Bouaké qui a été divisée en quatre zones. Les acteurs ont bénéficié d’ateliers de renforcement de capacités quand les pré-collecteurs ont reçu des matériels modernes, pour travailler.
M. Sehi Bi a souligné que le projet permettra de créer, à terme, 5.000 emplois dans la ville, au profit des jeunes diplômés, des ex-combattants et de tous ceux qui veulent travailler dans le secteur des déchets. Il a précisé que les différentes catégories professionnelles et les corps de métiers qui existent dans la filière ont déjà été identifiés par la première composante du projet.
Le sous-préfet de Brobo, Djandé Lorng, représentant le préfet de la région de Gbèkè, a salué l’initiative, avant d’inviter les populations au changement de mentalité. « Si Bouaké devient une ville propre, c’est que nous l’avons voulu, c’est que nous mêmes sommes propres », a-t-il lancé.
La troisième composante du projet permettra de mettre en place un système de tarification des déchets qui va uniformiser les contributions des ménages. Il est aussi prévu une phase de sensibilisation et d’éducation pour le changement de comportement ainsi qu’un volet conseil pour accompagner le projet en expérimentation dans la région de Gbèkè et qui va bientôt s’étendre à Yamoussoukro et à Man.
(AIP)
nbf/kkp/cmas
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Le coordonnateur national a livré l’information lors de l’atelier de restitution de la deuxième composante du projet, précisant que l’accord a été déjà signé avec le partenaire chargé de construire le centre de valorisation des déchets.
M. Sehi Bi a signifié que ce centre comprendra trois compartiments dans lesquels seront transformées notamment les matières organiques, en plastique ou en carton en d’autres produits commercialisables tels que l’engrais organique et des sacs qui permettront aux jeunes qui travaillent de ce secteur de vivre de leurs revenus.
Cette phase de valorisation intervient après la mise en place de 28 groupements d’intérêts économiques au niveau de la ville de Bouaké qui a été divisée en quatre zones. Les acteurs ont bénéficié d’ateliers de renforcement de capacités quand les pré-collecteurs ont reçu des matériels modernes, pour travailler.
M. Sehi Bi a souligné que le projet permettra de créer, à terme, 5.000 emplois dans la ville, au profit des jeunes diplômés, des ex-combattants et de tous ceux qui veulent travailler dans le secteur des déchets. Il a précisé que les différentes catégories professionnelles et les corps de métiers qui existent dans la filière ont déjà été identifiés par la première composante du projet.
Le sous-préfet de Brobo, Djandé Lorng, représentant le préfet de la région de Gbèkè, a salué l’initiative, avant d’inviter les populations au changement de mentalité. « Si Bouaké devient une ville propre, c’est que nous l’avons voulu, c’est que nous mêmes sommes propres », a-t-il lancé.
La troisième composante du projet permettra de mettre en place un système de tarification des déchets qui va uniformiser les contributions des ménages. Il est aussi prévu une phase de sensibilisation et d’éducation pour le changement de comportement ainsi qu’un volet conseil pour accompagner le projet en expérimentation dans la région de Gbèkè et qui va bientôt s’étendre à Yamoussoukro et à Man.
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