La cinquième édition du festival du Zanzan (Nord-est) de danse, d’instruments de musiques et de costumes traditionnels a pris fin le week-end dernier par l’exhortation des populations à s’approprier la pratique du ‘’commerce humain’’ pour promouvoir le riche patrimoine culturel hors de la région.
‘' Il s'agira de créer une activité festive et culturelle mettant en exergue la dimension exotérique de l'ensemble des pratiques qui alimentent le commerce humain dans le district du Zanzan sans exclusive'', a indiqué le commissaire du festival, Paul Marie Kossonou Koffi.
Selon M. Koffi, ce ‘'commerce humain'' appelle les populations à se pratiquer entre elles pour être ‘' les premiers vendeurs du patrimoine culturel du Zanzan''.
‘'Nous avons un patrimoine très riche. Faut-t-il encore que ce patrimoine soit connu en partage pour la Côte d'Ivoire. C'est à un rendez vous du donner et du recevoir que j'invite nos populations pour faire connaître ce patrimoine qui constitue un socle, un pilier au développement durable'', a-t-il expliqué.
‘'Le commerce humain c'est de faire en sorte que les populations sentent que le plus important c'est le dialogue des cultures et la diversité culturelle. Si on se parle, si on se comprend, il n'y a pas de raison qu'il est de fracture sociale ‘', a conseillé le commissaire général du festival.
Le festival du Zanzan a pour objectifs de promouvoir le patrimoine culturel de la région par la création d'une banque de données des danses, instruments de musique et costumes traditionnels de la région.
MC /hs/ls/APA
‘' Il s'agira de créer une activité festive et culturelle mettant en exergue la dimension exotérique de l'ensemble des pratiques qui alimentent le commerce humain dans le district du Zanzan sans exclusive'', a indiqué le commissaire du festival, Paul Marie Kossonou Koffi.
Selon M. Koffi, ce ‘'commerce humain'' appelle les populations à se pratiquer entre elles pour être ‘' les premiers vendeurs du patrimoine culturel du Zanzan''.
‘'Nous avons un patrimoine très riche. Faut-t-il encore que ce patrimoine soit connu en partage pour la Côte d'Ivoire. C'est à un rendez vous du donner et du recevoir que j'invite nos populations pour faire connaître ce patrimoine qui constitue un socle, un pilier au développement durable'', a-t-il expliqué.
‘'Le commerce humain c'est de faire en sorte que les populations sentent que le plus important c'est le dialogue des cultures et la diversité culturelle. Si on se parle, si on se comprend, il n'y a pas de raison qu'il est de fracture sociale ‘', a conseillé le commissaire général du festival.
Le festival du Zanzan a pour objectifs de promouvoir le patrimoine culturel de la région par la création d'une banque de données des danses, instruments de musique et costumes traditionnels de la région.
MC /hs/ls/APA