Abidjan - Un atelier de deux jours réunit mardi et mercredi, à Cocody (Abidjan), des représentants de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI), en vue d’évaluer les mécanismes de financements du Programme national de développement (PND) sur la période de 2012 à 2015 et la viabilité de la dette publique de la Côte d’Ivoire.
Organisé en partenariat avec la Fondation Friedrich Ebert, cet atelier se veut un cadre de réflexion destiné aux institutions gouvernementales, aux institutions de recherche ainsi que les organisations composant la société civile, sur le risque de surendettement de la Côte d’Ivoire.
Lors de la cérémonie d’ouverture, le représentant du président de l’Association des régions de Côte d’Ivoire (ARCI), Cissé Sindou a salué l’opportunité de cette tribune d’échanges sur le PND qui suscite beaucoup d’interrogations dans son élaboration, sur la prise en compte des disparités régionales dans la perspective de réduction de l’extrême pauvreté.
Selon le coordonnateur national de la CSCI, Dr Christophe Kouamé, cette faîtière s’apparente à « un contre-pouvoir appelé à contrôler les excès de l’Etat et à surveiller et dénoncer les dérives autoritaires, les scandales et autres insuffisances avérées ou susceptibles d’attenter aux intérêts des populations ».
Aussi, a-t-il souhaité que le présent atelier permette aux participants de « comprendre les mécanismes complexes relatifs aux flux financiers » et qui ont favorisé pour la plupart, l’endettement des Etats africains.
L’atelier qui prendra fin mercredi, se déroule à l’INADES-Formation. L’agenda prévoit des panels suivis d’échanges et discussions sur des sujets relatifs au PND et les stratégies de gestion de la dette extérieure et l’apport attendu de la CSCI.
(AIP)
fmo/cmas
Organisé en partenariat avec la Fondation Friedrich Ebert, cet atelier se veut un cadre de réflexion destiné aux institutions gouvernementales, aux institutions de recherche ainsi que les organisations composant la société civile, sur le risque de surendettement de la Côte d’Ivoire.
Lors de la cérémonie d’ouverture, le représentant du président de l’Association des régions de Côte d’Ivoire (ARCI), Cissé Sindou a salué l’opportunité de cette tribune d’échanges sur le PND qui suscite beaucoup d’interrogations dans son élaboration, sur la prise en compte des disparités régionales dans la perspective de réduction de l’extrême pauvreté.
Selon le coordonnateur national de la CSCI, Dr Christophe Kouamé, cette faîtière s’apparente à « un contre-pouvoir appelé à contrôler les excès de l’Etat et à surveiller et dénoncer les dérives autoritaires, les scandales et autres insuffisances avérées ou susceptibles d’attenter aux intérêts des populations ».
Aussi, a-t-il souhaité que le présent atelier permette aux participants de « comprendre les mécanismes complexes relatifs aux flux financiers » et qui ont favorisé pour la plupart, l’endettement des Etats africains.
L’atelier qui prendra fin mercredi, se déroule à l’INADES-Formation. L’agenda prévoit des panels suivis d’échanges et discussions sur des sujets relatifs au PND et les stratégies de gestion de la dette extérieure et l’apport attendu de la CSCI.
(AIP)
fmo/cmas