Bamako a abrité, il y a quelques semaines, les Journées commerciales du Port Autonome d’Abidjan (PAA) à Bamako. L’objectif principal était de remercier la grande clientèle malienne, qui, depuis l’installation de la nouvelle représentation, fin 2011, à Bamako, a abattu un travail d’Hercule en vue de faire du port d’Abidjan une destination privilégiée sous la houlette de Malamine Tounkara, opérateur économique de son état. C’était en présence de l’Autorité portuaire d’Abidjan, du Directeur général du port, des représentants du cabinet ministériel et des entreprises opératrices du PAA.
Pour rappel, en 2012, les autorités portuaires de Bamako ont mis la barre haut en augmentant de 126% les objectifs globaux à atteindre, toute chose qui est à l’actif de Malamine Tounkara représentant du PAA à Bamako et dont les compétences et le dynamisme sont à l’origine de ces résultats flatteurs. Il faut rappeler que monsieur Tounkara n’est pas à son premier coup de maître. En effet, le Manager africain de 2002 a marqué de son sceau toutes les entreprises qui lui ont été confiées. A commencer par la Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali, la Chambre consulaire régionale de l’UEMOA dont il était le président, dans les deux cas.
Pour la CCIM plus particulièrement, il a terminé son mandat avec les honneurs et l’hommage de tous les opérateurs avec un compte certifié de plus de 2 milliards de FCFA. Voilà qui explique l’engouement des opérateurs pour les journées commerciales portuaires de Bamako. Ces journées ont permis aux opérateurs de se rencontrer et d’écouter les conseils du directeur du port et de son représentant.
En marge de ces journées, le Port Autonome a témoigné ses contributions aux différentes crises que notre pays a connues (sécurité, inondations) avec un don de 30 tonnes de riz importé et 70 tonnes d’huile raffinée remis aux inondés et déplacés des 6 communes et une enveloppe de 2 millions de FCFA à la directrice de la pouponnière.
Ce geste humanitaire confirme la bonne collaboration entre les deux pays et singulièrement entre le Port et ses clients maliens. Si le Mali est redevenu le premier pays de l’inter land du PAA, c’est aussi en partie en raison de l’implication personnelle de l’ancien président de la Chambre de commerce et d’industrie du Mali.
Oumar Ouattara
Pour rappel, en 2012, les autorités portuaires de Bamako ont mis la barre haut en augmentant de 126% les objectifs globaux à atteindre, toute chose qui est à l’actif de Malamine Tounkara représentant du PAA à Bamako et dont les compétences et le dynamisme sont à l’origine de ces résultats flatteurs. Il faut rappeler que monsieur Tounkara n’est pas à son premier coup de maître. En effet, le Manager africain de 2002 a marqué de son sceau toutes les entreprises qui lui ont été confiées. A commencer par la Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali, la Chambre consulaire régionale de l’UEMOA dont il était le président, dans les deux cas.
Pour la CCIM plus particulièrement, il a terminé son mandat avec les honneurs et l’hommage de tous les opérateurs avec un compte certifié de plus de 2 milliards de FCFA. Voilà qui explique l’engouement des opérateurs pour les journées commerciales portuaires de Bamako. Ces journées ont permis aux opérateurs de se rencontrer et d’écouter les conseils du directeur du port et de son représentant.
En marge de ces journées, le Port Autonome a témoigné ses contributions aux différentes crises que notre pays a connues (sécurité, inondations) avec un don de 30 tonnes de riz importé et 70 tonnes d’huile raffinée remis aux inondés et déplacés des 6 communes et une enveloppe de 2 millions de FCFA à la directrice de la pouponnière.
Ce geste humanitaire confirme la bonne collaboration entre les deux pays et singulièrement entre le Port et ses clients maliens. Si le Mali est redevenu le premier pays de l’inter land du PAA, c’est aussi en partie en raison de l’implication personnelle de l’ancien président de la Chambre de commerce et d’industrie du Mali.
Oumar Ouattara