La Banque africaine de développement (BAD) a déclaré lundi que les chefs d’Etat et hommes d’affaires africains devaient faire « plus que réaffirmer » le dossier de l’intégration régionale pour assurer la croissance économique régionale.
A la 8ème Conférence économique africaine (CEA) organisée à Johannesburg sous le thème « Intégration régionale en Afrique », le président de la BAD, Donald Kaberuka, a déclaré que la solution multilatérale est importante pour le développement africain. « Ce grand rassemblement devrait faire plus que réaffirmer le dossier de l’intégration régionale », a souligné M. Kaberuka aux représentants.
« La conférence doit examiner comment élever le continent africain pour devenir un pôle de croissance mondial », a-t-il expliqué. Les dirigeants africains se sont rassemblés pendant trois jours pour discuter de l’intégration régionale et de son rôle dans l’amélioration de la croissance économique et du bien- être humain sur le continent.
La conférence est organisée tous les ans par la Bad, la Commission économique de l’ONU pour l’Afrique et le Programme de développement des Nations Unies. « Dans une période de diminution des solutions multilatérales, c’est le moyen le plus sûr de bâtir la résistance contre les chocs externes. Une action solide est nécessaire pour les barrières non-tarifaires, la facilitation du commerce et le mouvement des individus », a poursuivi M. Kaberuka.
L’Afrique a affiché des niveaux élevés de croissance économique au cours de la décennie passée. Cependant, cette croissance a eu un impact limité sur l’augmentation de la compétitivité et de l’ amélioration de la qualité de vie des gens ordinaires du continent.
« Des faiblesses persistent en matière de qualité des institutions, d’infrastructures, de politiques macroéconomiques, d’ éducation et d’adoption de nouvelles technologies, alors qu’il existe des fossés importants entre ses économiques les plus élevées et les plus basses », a expliqué le chef de la BAD. De plus, il a souligné que l’Afrique, s’étant concentrée sur ses industries basées sur les marchandises et à capitaux intensifs, a observé peu de transformation économique, avec peu d’ investissement dans le secteur manufacturier, les services et les secteurs agricoles.
A cause de ces limites, la création d’emplois, les marchés et les institutions censées aider les jeunes et les jeunes femmes à bâtir leurs avenirs sont à la traîne, a ajouté M. Kaberuka.
A la 8ème Conférence économique africaine (CEA) organisée à Johannesburg sous le thème « Intégration régionale en Afrique », le président de la BAD, Donald Kaberuka, a déclaré que la solution multilatérale est importante pour le développement africain. « Ce grand rassemblement devrait faire plus que réaffirmer le dossier de l’intégration régionale », a souligné M. Kaberuka aux représentants.
« La conférence doit examiner comment élever le continent africain pour devenir un pôle de croissance mondial », a-t-il expliqué. Les dirigeants africains se sont rassemblés pendant trois jours pour discuter de l’intégration régionale et de son rôle dans l’amélioration de la croissance économique et du bien- être humain sur le continent.
La conférence est organisée tous les ans par la Bad, la Commission économique de l’ONU pour l’Afrique et le Programme de développement des Nations Unies. « Dans une période de diminution des solutions multilatérales, c’est le moyen le plus sûr de bâtir la résistance contre les chocs externes. Une action solide est nécessaire pour les barrières non-tarifaires, la facilitation du commerce et le mouvement des individus », a poursuivi M. Kaberuka.
L’Afrique a affiché des niveaux élevés de croissance économique au cours de la décennie passée. Cependant, cette croissance a eu un impact limité sur l’augmentation de la compétitivité et de l’ amélioration de la qualité de vie des gens ordinaires du continent.
« Des faiblesses persistent en matière de qualité des institutions, d’infrastructures, de politiques macroéconomiques, d’ éducation et d’adoption de nouvelles technologies, alors qu’il existe des fossés importants entre ses économiques les plus élevées et les plus basses », a expliqué le chef de la BAD. De plus, il a souligné que l’Afrique, s’étant concentrée sur ses industries basées sur les marchandises et à capitaux intensifs, a observé peu de transformation économique, avec peu d’ investissement dans le secteur manufacturier, les services et les secteurs agricoles.
A cause de ces limites, la création d’emplois, les marchés et les institutions censées aider les jeunes et les jeunes femmes à bâtir leurs avenirs sont à la traîne, a ajouté M. Kaberuka.