Agboville - Le département d’Agboville est privé, depuis septembre, du téléphone fixe, suspendu par les services de Côte d’Ivoire Télécom (CI-Télécom), ainsi que de journaux papiers, depuis le samedi dernier.
"Faute de pouvoir assurer la maintenance, la ligne est arrêtée", a confessé un des techniciens de la CI-Télécom d’Agboville. Cette situation a été constatée dans la ville, depuis le 04 septembre dernier, après la publication d’une grosse du jugement civil en date du 22 août rendu par la section de tribunal d’Agboville, puis d’un arrêt de la cour d’Appel d’Abidjan.
A cette date, la société Côte d’Ivoire Télécom avait été appelée à vider immédiatement les lieux qu’elle occupe à Agboville, avait déclaré l’huissier de justice, Me Vassiriki Aidra, exécutant la grosse, pour le compte de la famille Racine Sow, détentrice du titre foncier numéro 100 qui date de 1959.
"Je dois maintenant sortir le central téléphonique du local, mais j’attends", avait ajouté Me Vassiriki, qui avait averti qu’Agboville pourrait être privée de téléphone fixe, s’il mettait à exécution cette décision de la justice.
Les centraux téléphoniques sont toujours en place, mais l’ensemble des services administratifs ainsi que les domiciles privés du département n’ont plus accès au téléphone fixe, depuis cette date.
Les populations d’Agboville ont, par ailleurs, constaté que les journaux papiers ne sont plus distribués dans la ville, depuis le 26 octobre.
"Nous sommes en inventaire avec (...) Edipresse", ne cesse de répéter le grossiste qui assure la redistribution auprès des petits revendeurs de la ville. Edipresse est la société qui se charge de la distribution des journaux en Côte d’Ivoire, précise-t-on.
Dd/kkp/kam
"Faute de pouvoir assurer la maintenance, la ligne est arrêtée", a confessé un des techniciens de la CI-Télécom d’Agboville. Cette situation a été constatée dans la ville, depuis le 04 septembre dernier, après la publication d’une grosse du jugement civil en date du 22 août rendu par la section de tribunal d’Agboville, puis d’un arrêt de la cour d’Appel d’Abidjan.
A cette date, la société Côte d’Ivoire Télécom avait été appelée à vider immédiatement les lieux qu’elle occupe à Agboville, avait déclaré l’huissier de justice, Me Vassiriki Aidra, exécutant la grosse, pour le compte de la famille Racine Sow, détentrice du titre foncier numéro 100 qui date de 1959.
"Je dois maintenant sortir le central téléphonique du local, mais j’attends", avait ajouté Me Vassiriki, qui avait averti qu’Agboville pourrait être privée de téléphone fixe, s’il mettait à exécution cette décision de la justice.
Les centraux téléphoniques sont toujours en place, mais l’ensemble des services administratifs ainsi que les domiciles privés du département n’ont plus accès au téléphone fixe, depuis cette date.
Les populations d’Agboville ont, par ailleurs, constaté que les journaux papiers ne sont plus distribués dans la ville, depuis le 26 octobre.
"Nous sommes en inventaire avec (...) Edipresse", ne cesse de répéter le grossiste qui assure la redistribution auprès des petits revendeurs de la ville. Edipresse est la société qui se charge de la distribution des journaux en Côte d’Ivoire, précise-t-on.
Dd/kkp/kam
