Abidjan (Côte d’Ivoire)- La Cour pénale internationale (Cpi) a décidé, lundi, à la Haye, du maintien en détention de l’ex-Président ivoirien, Laurent Gbagbo et a demandé à ses avocats de produire un rapport sur l’état de santé de leur client au plus tard le 2 décembre prochain.
Cette exigence de la Chambre préliminaire 1 de la Cpi est la réponse à la requête formulée par le conseil de Laurent Gbagbo se fondant sur la précarité de son état de santé.
A travers cette décision, la Cpi voudrait "garantir la comparution de M. Gbagbo devant la Cour, et veiller à ce qu’il ne fasse pas obstacle à l’enquête ou à la procédure judiciaire".
Selon le statut de Rome (textes fondateurs de la CPI), la Chambre doit réexaminer sa décision de mise en liberté ou de maintien en détention au moins tous les 120 jours.
Depuis son transfèrement à la Haye le 29 novembre 2011, l’ex-Chef de l’Etat ivoirien, a essuyé sept refus de mise en liberté provisoire.
M. Gbagbo est poursuivi pour "meurtres, viols et d’autres violences sexuelles, actes de persécution et d’autres actes inhumains, qui auraient été perpétrés dans le contexte des violences post électorales survenues sur le territoire de la Côte d’Ivoire entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011" et qui ont causé plus de 3000 morts.
Cette exigence de la Chambre préliminaire 1 de la Cpi est la réponse à la requête formulée par le conseil de Laurent Gbagbo se fondant sur la précarité de son état de santé.
A travers cette décision, la Cpi voudrait "garantir la comparution de M. Gbagbo devant la Cour, et veiller à ce qu’il ne fasse pas obstacle à l’enquête ou à la procédure judiciaire".
Selon le statut de Rome (textes fondateurs de la CPI), la Chambre doit réexaminer sa décision de mise en liberté ou de maintien en détention au moins tous les 120 jours.
Depuis son transfèrement à la Haye le 29 novembre 2011, l’ex-Chef de l’Etat ivoirien, a essuyé sept refus de mise en liberté provisoire.
M. Gbagbo est poursuivi pour "meurtres, viols et d’autres violences sexuelles, actes de persécution et d’autres actes inhumains, qui auraient été perpétrés dans le contexte des violences post électorales survenues sur le territoire de la Côte d’Ivoire entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011" et qui ont causé plus de 3000 morts.