Bongouanou - Le village de N’Dolikro, dans département de Bongouanou (Centre-Est, Région du Moronou) va bientôt bénéficier d’un projet pilote de création d’une plantation-école, initié par le ministère de l’Éducation nationale et de l’Enseignement technique, afin de permettre l’autofinancement des COGES (Comités de Gestion des Établissements Scolaires) et l’autonomie des cantines scolaires.
Une surface culturale de trois hectares de maraîchers et de vivriers consacrée à ce projet devrait permettre de générer entre 100 et 150 millions de francs de recette par semestre, mettant ainsi fin aux cotisations exceptionnelles, souvent sources de tensions entre administrations scolaires et parents d’élèves.
Par ailleurs la plantation-école, qui est créée pour l’école primaire du village, va générer 11 emplois directs.
Selon l’inspecteur général Kouadio Kouamé David, coordonnateur national du SNAPS-COGES (Service National d’Animation, de Promotion et de Suivi des COGES), ce projet va être réalisé « à des procédés modernes de forage et d’arrosage tiré de l’expérience israélienne ».
D’un coût d’investissement estimé à 75 millions de francs CFA, financé par le Conseil régional, cette initiative devra, à terme, permettre la création progressive de nouvelles plantations pour les autres écoles primaires de la région.
(AIP)
Hk/tm
Une surface culturale de trois hectares de maraîchers et de vivriers consacrée à ce projet devrait permettre de générer entre 100 et 150 millions de francs de recette par semestre, mettant ainsi fin aux cotisations exceptionnelles, souvent sources de tensions entre administrations scolaires et parents d’élèves.
Par ailleurs la plantation-école, qui est créée pour l’école primaire du village, va générer 11 emplois directs.
Selon l’inspecteur général Kouadio Kouamé David, coordonnateur national du SNAPS-COGES (Service National d’Animation, de Promotion et de Suivi des COGES), ce projet va être réalisé « à des procédés modernes de forage et d’arrosage tiré de l’expérience israélienne ».
D’un coût d’investissement estimé à 75 millions de francs CFA, financé par le Conseil régional, cette initiative devra, à terme, permettre la création progressive de nouvelles plantations pour les autres écoles primaires de la région.
(AIP)
Hk/tm