Abidjan – Le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK), par la voix de son directeur général pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, Oumar Kébé, et son équipe, a décidé de s’ouvrir désormais aux populations, à travers les médias, en vue de communiquer davantage sur ses activités en Côte d’Ivoire.
A cet effet, GSK Abidjan a convié, mardi, la presse nationale et internationale à un déjeuner marqué par la présentation de son programme de Responsabilité sociale d’entreprise (RSE).
A cette occasion, les responsables du laboratoire ont d’emblée affirmé leur volonté de ne pas être en marge de la dynamique gouvernementale consistant à déclarer 2013, « Année de la santé ». Ce, pour être au rendez-vous des attentes des communautés dans lesquelles il exerce.
Ainsi, en termes d’activités au profit des communautés, l’on retient, entre autres, le business model innovant de GSK qui repose à 50% sur la RSE et autant sur le business, étant entendu, précise le DG, que GlaxoSmithKline « n’est ni ONG, ni société philanthropique ».
Aussi, pour une meilleure interaction de ces deux piliers sur lesquels repose le business model GSK, le laboratoire s’attèle à rendre accessible ses produits au plus grand nombre de patients, quelque soit leur pouvoir d’achat et leur situation géographique.
Cela se traduit notamment par une politique de baisse de prix, tout en s’attachant viscéralement à la qualité que le DG déclare « non négociable ». Dans ce cadre, GSK entreprend de plafonner les coûts des produits sous licence à 25% des prix pratiqués en France.
Outre l’accessibilité financière, le laboratoire œuvre également à relever les défis de l’information autour de ses produits, de l’acceptabilité, de la disponibilité et de l’adhésion au traitement.
Par ailleurs, 20% des profits réalisés dans les pays sont réinvestis dans des infrastructures de santé des pays moins avancés, ainsi que dans la formation des agents de santé.
Les actions RSE en Côte d’Ivoire ont consisté, entre autres, à initier ou à financer des actions d’organismes publics ou privés, pour améliorer la couverture vaccinale, offrir plus de quatre millions de comprimés (Albendazole) pour l’éradication de la filariose (éléphantiasis).
GSK fait aussi dans l’humanitaire, en ayant fait don de médicaments d’une valeur de 88 millions FCFA à l’Etat, après la crise postélectorale, et de 19,5 millions FCFA à l’ONG internationale Save the Children pour soutenir les enfants réfugiés au Liberia, sans omettre ses actions de soutien aux personnes vivant avec le VIH, par le truchement de l’ONG Aconda.
En termes de perspectives, GSK Abidjan compte appuyer, par la sensibilisation, une campagne du ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, visant à faire vacciner 10.000 jeunes filles contre le cancer du col de l’utérus. Autant d’activités menées ou à mener sur lesquelles le laboratoire GSK veut lever un coin de voile désormais, au vu de l’importance de la communication dans toute société, a reconnu Oumar Kébé.
kkp/cmas
A cet effet, GSK Abidjan a convié, mardi, la presse nationale et internationale à un déjeuner marqué par la présentation de son programme de Responsabilité sociale d’entreprise (RSE).
A cette occasion, les responsables du laboratoire ont d’emblée affirmé leur volonté de ne pas être en marge de la dynamique gouvernementale consistant à déclarer 2013, « Année de la santé ». Ce, pour être au rendez-vous des attentes des communautés dans lesquelles il exerce.
Ainsi, en termes d’activités au profit des communautés, l’on retient, entre autres, le business model innovant de GSK qui repose à 50% sur la RSE et autant sur le business, étant entendu, précise le DG, que GlaxoSmithKline « n’est ni ONG, ni société philanthropique ».
Aussi, pour une meilleure interaction de ces deux piliers sur lesquels repose le business model GSK, le laboratoire s’attèle à rendre accessible ses produits au plus grand nombre de patients, quelque soit leur pouvoir d’achat et leur situation géographique.
Cela se traduit notamment par une politique de baisse de prix, tout en s’attachant viscéralement à la qualité que le DG déclare « non négociable ». Dans ce cadre, GSK entreprend de plafonner les coûts des produits sous licence à 25% des prix pratiqués en France.
Outre l’accessibilité financière, le laboratoire œuvre également à relever les défis de l’information autour de ses produits, de l’acceptabilité, de la disponibilité et de l’adhésion au traitement.
Par ailleurs, 20% des profits réalisés dans les pays sont réinvestis dans des infrastructures de santé des pays moins avancés, ainsi que dans la formation des agents de santé.
Les actions RSE en Côte d’Ivoire ont consisté, entre autres, à initier ou à financer des actions d’organismes publics ou privés, pour améliorer la couverture vaccinale, offrir plus de quatre millions de comprimés (Albendazole) pour l’éradication de la filariose (éléphantiasis).
GSK fait aussi dans l’humanitaire, en ayant fait don de médicaments d’une valeur de 88 millions FCFA à l’Etat, après la crise postélectorale, et de 19,5 millions FCFA à l’ONG internationale Save the Children pour soutenir les enfants réfugiés au Liberia, sans omettre ses actions de soutien aux personnes vivant avec le VIH, par le truchement de l’ONG Aconda.
En termes de perspectives, GSK Abidjan compte appuyer, par la sensibilisation, une campagne du ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, visant à faire vacciner 10.000 jeunes filles contre le cancer du col de l’utérus. Autant d’activités menées ou à mener sur lesquelles le laboratoire GSK veut lever un coin de voile désormais, au vu de l’importance de la communication dans toute société, a reconnu Oumar Kébé.
kkp/cmas
