Cela fait juste une semaine, jour pour jour, que les Eléphants de Côte d’Ivoire ont obtenu leur ticket pour Brésil 2014. Si le mérite revient à toute l’équipe, des joueurs sont à mettre en lumière.
Copa Barry, Yao Kouassi Gervais dit « Gervinho », Salomon Kalou et Yaya Touré auront cependant été les grands artisans de la qualification ivoirienne à la Coupe du monde 2014. Leur constance tout au long des éliminatoires a été d’un apport incommensurable. Décryptage !
Copa Barry, le grand sauveur
Régulier dans la performance tout au long de ces éliminatoires, le gardien de Lokeren, Copa Barry, a sûrement été le grand sauveur des Eléphants. Derrière une défense très souvent hésitante, Copa a sorti le grand jeu à plusieurs reprises. Ses parades et ses arrêts décisifs ont sauvé la mise à une équipe qui se montre aussi souvent fébrile dès que l’opposition est de taille. Impressionnant devant le Sénégal, l’ex-Académicien a été porté en triomphe par ses coéquipiers, au terme d’une prestation aboutie. C’était une façon pour l’équipe de rendre hommage à celui qui aura été le grand artisan de la qualification pour le Brésil 2014. Salomon Kalou pouvait dire : « Copa a été notre Jésus ».
Gervinho, le poumon
S’il n’a pas brillé devant le Sénégal à Casablanca, Gervinho a cependant été, avec Copa Barry, l’un des deux meilleurs Ivoiriens des éliminatoires. Plus passeur que buteur, l’attaquant de l’AS Roma a été performant sur la durée. Décisif sur 16 des 19 buts inscrits par son équipe, Gervinho est aujourd’hui indispensable aux Eléphants. La preuve, quand le natif du Gontougo est en méforme, c’est toute l’équipe qui en pâtit. Vivement qu’il revienne à son meilleur niveau en juin 2014 pour le pèlerinage du Brésil.
Salomon Kalou, le meilleur fusil
Le problème de Salomon Kalou, c’est qu’il n’est pas toujours régulier. Intermittent du spectacle et raillé pour sa mollesse dans les duels. Cela lui a coûté d’ailleurs d’être sifflé lors du match contre le Maroc à Abidjan (1-1). Mais, à l’heure du bilan, l’on est obligé de tirer le chapeau au natif d’Oumé. Le jeune frère de Kalou Bonaventure a été le meilleur buteur ivoirien des éliminatoires, avec cinq réalisations dont le dernier inscrit samedi dernier, à Casablanca au plus fort de la domination sénégalaise. Mieux, il a fait éviter aux Ivoiriens la révolte des Sénégalais à Casablanca.
Yaya Touré, le métronome
Quand il se décide à jouer, Yaya Touré est tout simplement majestueux. Lors du parcours sur la route menant au Brésil, le métronome ivoirien n’a certes pas été constant. Il a aussi souvent agacé partenaires et supporters. Mais son talent et sa vision du jeu lui ont valu d’être appelé « Ordinateur ». Maître de la dernière passe, Yaya a même inscrit deux buts. Signe de son influence sur le jeu des Eléphants.
A l’observation, les Ivoiriens possèdent assez d’atouts. L’expérience des Didier Drogba, Zokora Didier… et la fraîcheur des jeunes devraient permettre au Onze national de faire une bonne campagne.
Francis Aké
Copa Barry, Yao Kouassi Gervais dit « Gervinho », Salomon Kalou et Yaya Touré auront cependant été les grands artisans de la qualification ivoirienne à la Coupe du monde 2014. Leur constance tout au long des éliminatoires a été d’un apport incommensurable. Décryptage !
Copa Barry, le grand sauveur
Régulier dans la performance tout au long de ces éliminatoires, le gardien de Lokeren, Copa Barry, a sûrement été le grand sauveur des Eléphants. Derrière une défense très souvent hésitante, Copa a sorti le grand jeu à plusieurs reprises. Ses parades et ses arrêts décisifs ont sauvé la mise à une équipe qui se montre aussi souvent fébrile dès que l’opposition est de taille. Impressionnant devant le Sénégal, l’ex-Académicien a été porté en triomphe par ses coéquipiers, au terme d’une prestation aboutie. C’était une façon pour l’équipe de rendre hommage à celui qui aura été le grand artisan de la qualification pour le Brésil 2014. Salomon Kalou pouvait dire : « Copa a été notre Jésus ».
Gervinho, le poumon
S’il n’a pas brillé devant le Sénégal à Casablanca, Gervinho a cependant été, avec Copa Barry, l’un des deux meilleurs Ivoiriens des éliminatoires. Plus passeur que buteur, l’attaquant de l’AS Roma a été performant sur la durée. Décisif sur 16 des 19 buts inscrits par son équipe, Gervinho est aujourd’hui indispensable aux Eléphants. La preuve, quand le natif du Gontougo est en méforme, c’est toute l’équipe qui en pâtit. Vivement qu’il revienne à son meilleur niveau en juin 2014 pour le pèlerinage du Brésil.
Salomon Kalou, le meilleur fusil
Le problème de Salomon Kalou, c’est qu’il n’est pas toujours régulier. Intermittent du spectacle et raillé pour sa mollesse dans les duels. Cela lui a coûté d’ailleurs d’être sifflé lors du match contre le Maroc à Abidjan (1-1). Mais, à l’heure du bilan, l’on est obligé de tirer le chapeau au natif d’Oumé. Le jeune frère de Kalou Bonaventure a été le meilleur buteur ivoirien des éliminatoires, avec cinq réalisations dont le dernier inscrit samedi dernier, à Casablanca au plus fort de la domination sénégalaise. Mieux, il a fait éviter aux Ivoiriens la révolte des Sénégalais à Casablanca.
Yaya Touré, le métronome
Quand il se décide à jouer, Yaya Touré est tout simplement majestueux. Lors du parcours sur la route menant au Brésil, le métronome ivoirien n’a certes pas été constant. Il a aussi souvent agacé partenaires et supporters. Mais son talent et sa vision du jeu lui ont valu d’être appelé « Ordinateur ». Maître de la dernière passe, Yaya a même inscrit deux buts. Signe de son influence sur le jeu des Eléphants.
A l’observation, les Ivoiriens possèdent assez d’atouts. L’expérience des Didier Drogba, Zokora Didier… et la fraîcheur des jeunes devraient permettre au Onze national de faire une bonne campagne.
Francis Aké