La ministre de la Communication, Me Affoussiata Bamba-Lamine a conduit vendredi, une délégation composée de son directeur de cabinet et de ses conseillers au domicile du frère aîné du journaliste Désiré Oué, assassiné la semaine dernière par des individus non encore identifiés.
La ministre a expliqué à la famille qu’il s’agit pour elle de s’acquitter d’un devoir de solidarité, comme il est de coutume, chaque fois que la grande famille de la presse est éprouvée.
De son côté, la famille éplorée, par la voix d’Amos Béonaho, ancien président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), a révélé à la ministre qu’elle a été bouleversée par la polémique créée après le décès de son fils. La famille Oué a confié qu’elle s’interroge si Désiré a été tué parce que soupçonné d’être un milicien ou pas.
En reponse, la première responsable de la Communication a rassuré la famille, en rappelant que le Gouvernement, par le biais du département qu’elle dirige, a fait une déclaration pour exprimer sa compassion à la famille et condamner le crime.
Ce communiqué, a ajouté la ministre de la Communication, également porte-parole adjointe du Gouvernement, visait justement à inviter les journalistes à mettre fin à ces interprétations, alors même que les plaies de la famille du défunt sont encore fraîches.
Me Affoussiata Bamba-Lamine a indiqué que la condamnation de l’assassinat et son déplacement en personne dans la famille de la victime sont la preuve que pour le Gouvernement, Désire Oué est bel et bien un journaliste. Elle a invité la famille à ne pas se focaliser sur ces fausses accusations contre le pouvoir mais à prendre en considération les actions du Gouvernement.
« Nous sommes dans un contexte tel que certains de nos compatriotes n’hésitent pas à récupérer, dans leur intérêt personnel, des événements, même quand ils touchent à la mort d’un individu », a-t-elle regretté.
Pour elle, les coupables doivent être retrouvés et punis parce qu’il s’agit de meurtre, d’une part et parce que la Côte d’Ivoire est un Etat de droit, d’autre part.
La ministre a promis à la famille que le Gouvernement mettra tout en œuvre pour que la lumière soit faite sur ce crime afin que les coupables soient identifiés et répondent de leurs faits devant la loi.
La famille, rassurée par les mots de la ministre, a affirmé n’avoir jamais eu de suspicion contre le Gouvernement et que ses inquiétudes sont nées lorsque certains journaux ont commencé à affirmer que leur fils a été tué parce que soupçonné d’être un ancien milicien.
Désiré Oué, rédacteur en chef du magazine chrétien "Tomorrow", a été abattu chez lui dans la nuit du 14 septembre, par des bandits qui étaient en train de perpétrer un vol à son domicile, rappelle-t-on.
cmas
La ministre a expliqué à la famille qu’il s’agit pour elle de s’acquitter d’un devoir de solidarité, comme il est de coutume, chaque fois que la grande famille de la presse est éprouvée.
De son côté, la famille éplorée, par la voix d’Amos Béonaho, ancien président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), a révélé à la ministre qu’elle a été bouleversée par la polémique créée après le décès de son fils. La famille Oué a confié qu’elle s’interroge si Désiré a été tué parce que soupçonné d’être un milicien ou pas.
En reponse, la première responsable de la Communication a rassuré la famille, en rappelant que le Gouvernement, par le biais du département qu’elle dirige, a fait une déclaration pour exprimer sa compassion à la famille et condamner le crime.
Ce communiqué, a ajouté la ministre de la Communication, également porte-parole adjointe du Gouvernement, visait justement à inviter les journalistes à mettre fin à ces interprétations, alors même que les plaies de la famille du défunt sont encore fraîches.
Me Affoussiata Bamba-Lamine a indiqué que la condamnation de l’assassinat et son déplacement en personne dans la famille de la victime sont la preuve que pour le Gouvernement, Désire Oué est bel et bien un journaliste. Elle a invité la famille à ne pas se focaliser sur ces fausses accusations contre le pouvoir mais à prendre en considération les actions du Gouvernement.
« Nous sommes dans un contexte tel que certains de nos compatriotes n’hésitent pas à récupérer, dans leur intérêt personnel, des événements, même quand ils touchent à la mort d’un individu », a-t-elle regretté.
Pour elle, les coupables doivent être retrouvés et punis parce qu’il s’agit de meurtre, d’une part et parce que la Côte d’Ivoire est un Etat de droit, d’autre part.
La ministre a promis à la famille que le Gouvernement mettra tout en œuvre pour que la lumière soit faite sur ce crime afin que les coupables soient identifiés et répondent de leurs faits devant la loi.
La famille, rassurée par les mots de la ministre, a affirmé n’avoir jamais eu de suspicion contre le Gouvernement et que ses inquiétudes sont nées lorsque certains journaux ont commencé à affirmer que leur fils a été tué parce que soupçonné d’être un ancien milicien.
Désiré Oué, rédacteur en chef du magazine chrétien "Tomorrow", a été abattu chez lui dans la nuit du 14 septembre, par des bandits qui étaient en train de perpétrer un vol à son domicile, rappelle-t-on.
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