Son souhait est de voir son mentor briguer la magistrature suprême du pays. Evariste Méambly, député de Facobly, président du Conseil régional du Guémon, appelle de tous ses vœux une candidature d’Henri Konan Bédié en 2015.
Evariste Méambly aime bien les paris. Et, pour la présidentielle de 2015, il a décidé de miser sur le président de son parti, Henri Konan Bédié. Vendredi dernier, à la faveur d’une conférence de presse qu’il a animée à son cabinet à Marcory, le député de Facobly, par ailleurs président du conseil régional du Guémon a ouvertement appelé à une candidature du président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci), avançant à l’occasion, les arguments pour convaincre de la pertinence de sa proposition. « Le débat ne se pose même pas, car aujourd’hui après le congrès de notre parti, remporté à plus de 93% des suffrages, le président Bédié vient de battre à plate couture deux générations en même temps. C’est dire que le Pdci-Rda par les résultats de ce congrès voit toujours en Bédié la personne adéquate pour continuer de diriger et de représenter le parti aux futures élections», a affirmé Evariste Méambly, persuadé que le critère de l’âge, ne peut valablement recaler l’ancien chef de l’Etat. « Pour ce qui est de la question de l’âge du président Bédié, évoquée par ses détracteurs, je souhaiterais faire savoir à qui veut l’entendre, que cela ne constitue en rien un handicap bien au contraire. Le président Bédié a l’âge de la sagesse en Afrique et l’expérience avérée tant en matière de gouvernance qu’en politique », soutient le député de Facobly, par ailleurs délégué départemental Pdci de la circonscription électoral. « En outre, il est important de rappeler à tous, que depuis Marcoussis, de nombreux arrangements politiques ont été fait dans notre pays par souci d’une gestion efficiente et heureuse des affaires publiques. Pourquoi donc la candidature de Bédié ne pourrait-elle pas faire l’objet d’un arrangement politique ? Dans un passé très récent, certaines candidatures, qui au regard de la loi n’étaient pas acceptables, l’ont été par nécessité et donc par arrangement. Ce fut le cas pour la présidentielle en 2010 », insiste M. Méambly.
Marc Dossa
Evariste Méambly aime bien les paris. Et, pour la présidentielle de 2015, il a décidé de miser sur le président de son parti, Henri Konan Bédié. Vendredi dernier, à la faveur d’une conférence de presse qu’il a animée à son cabinet à Marcory, le député de Facobly, par ailleurs président du conseil régional du Guémon a ouvertement appelé à une candidature du président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci), avançant à l’occasion, les arguments pour convaincre de la pertinence de sa proposition. « Le débat ne se pose même pas, car aujourd’hui après le congrès de notre parti, remporté à plus de 93% des suffrages, le président Bédié vient de battre à plate couture deux générations en même temps. C’est dire que le Pdci-Rda par les résultats de ce congrès voit toujours en Bédié la personne adéquate pour continuer de diriger et de représenter le parti aux futures élections», a affirmé Evariste Méambly, persuadé que le critère de l’âge, ne peut valablement recaler l’ancien chef de l’Etat. « Pour ce qui est de la question de l’âge du président Bédié, évoquée par ses détracteurs, je souhaiterais faire savoir à qui veut l’entendre, que cela ne constitue en rien un handicap bien au contraire. Le président Bédié a l’âge de la sagesse en Afrique et l’expérience avérée tant en matière de gouvernance qu’en politique », soutient le député de Facobly, par ailleurs délégué départemental Pdci de la circonscription électoral. « En outre, il est important de rappeler à tous, que depuis Marcoussis, de nombreux arrangements politiques ont été fait dans notre pays par souci d’une gestion efficiente et heureuse des affaires publiques. Pourquoi donc la candidature de Bédié ne pourrait-elle pas faire l’objet d’un arrangement politique ? Dans un passé très récent, certaines candidatures, qui au regard de la loi n’étaient pas acceptables, l’ont été par nécessité et donc par arrangement. Ce fut le cas pour la présidentielle en 2010 », insiste M. Méambly.
Marc Dossa
