Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, s’exprimant sur la liberté provisoire dont lui et certains cadres de son parti jouissent, dit avoir du mal à se convaincre d’être dans une procédure judiciaire.
"J’ai du mal à me convaincre d’être dans une procédure judiciaire", a-t-il exprimé mercredi à Abidjan, lors d’une conférence de presse. Il estime ne pas se sentir concerné par ce qu’ils (M. Ouattara et son gouvernement) font.
Affi N’Guessan est poursuivi par la justice ivoirienne pour "atteinte à la sûreté de l'Etat". Il était resté fidèle à l’ex-président Laurent Gbagbo, lors des violences postélectorales ivoiriennes (2010-2011) consécutives au refus de ce dernier de céder le pouvoir après avoir perdu l’élection présidentielle de novembre 2010.
Selon lui, son séjour en prison est une détention politique tendant à calmer ses ardeurs au plus fort de la crise.
"Je suis fidèle à l’histoire, si ma place est en prison j’irai. Si tu veux être dans l’histoire, il faut vaincre la peur. Je n’ai pas de problème avec la liberté provisoire", a-t-il souligné.
A l’occasion de cette conférence, Pascal Affi N’Guessan était entouré de hauts cadres du FPI, dont le premier vice-président Aboudramane Sangaré, le secrétaire général Laurent Akoun, Danon Djédjé, Odette Lorougnon, Lida Kouassi et bien d’autres.
La crise postélectorale en Côte d’Ivoire a fait plus de 3000 morts.
"J’ai du mal à me convaincre d’être dans une procédure judiciaire", a-t-il exprimé mercredi à Abidjan, lors d’une conférence de presse. Il estime ne pas se sentir concerné par ce qu’ils (M. Ouattara et son gouvernement) font.
Affi N’Guessan est poursuivi par la justice ivoirienne pour "atteinte à la sûreté de l'Etat". Il était resté fidèle à l’ex-président Laurent Gbagbo, lors des violences postélectorales ivoiriennes (2010-2011) consécutives au refus de ce dernier de céder le pouvoir après avoir perdu l’élection présidentielle de novembre 2010.
Selon lui, son séjour en prison est une détention politique tendant à calmer ses ardeurs au plus fort de la crise.
"Je suis fidèle à l’histoire, si ma place est en prison j’irai. Si tu veux être dans l’histoire, il faut vaincre la peur. Je n’ai pas de problème avec la liberté provisoire", a-t-il souligné.
A l’occasion de cette conférence, Pascal Affi N’Guessan était entouré de hauts cadres du FPI, dont le premier vice-président Aboudramane Sangaré, le secrétaire général Laurent Akoun, Danon Djédjé, Odette Lorougnon, Lida Kouassi et bien d’autres.
La crise postélectorale en Côte d’Ivoire a fait plus de 3000 morts.