Tiassalé, Des chefs d’établissements secondaires de l’Agnéby-Tiassa dénoncent l’insécurité qui règne au quotidien au sein de leurs écoles, mettant à mal la quiétude des élèves et des enseignants.
A l’occasion d’une rencontre initiée mardi à Tiassalé (région de l’Agnéby-Tiassa) par le conseil régional, ils ont mis en relief l’état de délabrement avancé de leurs locaux et l’environnement d’insécurité dans lesquels ils administrent la formation des élèves.
A l’Epp Plateau 2 de Tiassalé, la toiture est en lambeaux et des écoles dans certains villages de la localité, construites avec du matériau précaire, ne mettent pas les occupants à l’abri contre les intempéries, suscitant l’arrêt des cours lorsque la pluie survient.
En ce qui concerne le lycée moderne de Tiassalé, les installations électriques font ménage avec les flaques d’eau, les plafonds pendent et peuvent céder à tout moment. A Taabo, ce sont les reptiles qui envahissent le collège municipal qui est dépourvu de clôture et de latrines. Le principal de cet établissement, Mme Logon, a lancé une invitation à l’endroit du conseil pour "venir toucher la réalité du doigt".
Tout comme au lycée de Tiassalé, le risque de mort par électrocution demeure. Il est aussi à noter que des élèves suivent des cours à même le sol.
Face à cet environnement d’insécurité permanente, les chefs d’établissement ont lancé un appel pressant au conseil régional de l’Agnéby-Tiassa, afin qu’une solution expresse soit trouvée.
(AIP)
dk/gk/kkp/kam
A l’occasion d’une rencontre initiée mardi à Tiassalé (région de l’Agnéby-Tiassa) par le conseil régional, ils ont mis en relief l’état de délabrement avancé de leurs locaux et l’environnement d’insécurité dans lesquels ils administrent la formation des élèves.
A l’Epp Plateau 2 de Tiassalé, la toiture est en lambeaux et des écoles dans certains villages de la localité, construites avec du matériau précaire, ne mettent pas les occupants à l’abri contre les intempéries, suscitant l’arrêt des cours lorsque la pluie survient.
En ce qui concerne le lycée moderne de Tiassalé, les installations électriques font ménage avec les flaques d’eau, les plafonds pendent et peuvent céder à tout moment. A Taabo, ce sont les reptiles qui envahissent le collège municipal qui est dépourvu de clôture et de latrines. Le principal de cet établissement, Mme Logon, a lancé une invitation à l’endroit du conseil pour "venir toucher la réalité du doigt".
Tout comme au lycée de Tiassalé, le risque de mort par électrocution demeure. Il est aussi à noter que des élèves suivent des cours à même le sol.
Face à cet environnement d’insécurité permanente, les chefs d’établissement ont lancé un appel pressant au conseil régional de l’Agnéby-Tiassa, afin qu’une solution expresse soit trouvée.
(AIP)
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