Affi hésite. Aller ou ne pas aller. Face à la pression des faucons du Fpi qui ne jurent que par Laurent Gbagbo, Pascal Affi N’Guessan a, semble-t-il, trouvé la parade. Selon toute vraisemblance, pour ne pas perdre la face, il va opter pour les états généraux comme le point de revendication sans lequel les frontistes ne pourraient pas participer à la présidentielle de 2015.
D’où l’idée de marteler déjà que : « Ouattara n’a pas dit non ». Il va donc s’y accrocher, le remettre autant que possible sur la table des négociations, tout en sachant pertinemment que le gouvernement ne pourrait pas le satisfaire, notamment en ce qui concerne la libération et la participation du Fpi à ces fameux états généraux.
Et, comme ils savent bien le faire, les partisans de Laurent Gbagbo n’hésiteront pas, selon la conjoncture, à provoquer des remous dans le pays. « Je suis prêt à retourner en prison », prévient l’ancien Premier ministre d’octobre 2000 à mars 2003.
MD
D’où l’idée de marteler déjà que : « Ouattara n’a pas dit non ». Il va donc s’y accrocher, le remettre autant que possible sur la table des négociations, tout en sachant pertinemment que le gouvernement ne pourrait pas le satisfaire, notamment en ce qui concerne la libération et la participation du Fpi à ces fameux états généraux.
Et, comme ils savent bien le faire, les partisans de Laurent Gbagbo n’hésiteront pas, selon la conjoncture, à provoquer des remous dans le pays. « Je suis prêt à retourner en prison », prévient l’ancien Premier ministre d’octobre 2000 à mars 2003.
MD