« Taxation des entreprises de télécommunications et impact sur le secteur dans l’UEMOA », tel est le thème central de la 7ème réunion de la Conférence des Opérateurs et des Fournisseurs de Services de Télécommunications des Etats de l’UEMOA (COFTEL), qui s’est ouverte le jeudi 05 décembre 2013 à Ivotel, sous la présidence de M. Bruno Nabagné KONE, Ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, Porte-parole du Gouvernement. Pendant deux jours, les participants auront à dégager des solutions en vue d’une harmonisation des politiques de taxation, pour un secteur des TIC sous régional plus performant.
Après avoir souhaité le traditionnel Akwaba aux différentes délégations, M. Ahmed CISSE, Directeur Général d’Atlantique Télécom Côte d’Ivoire et Président en exercice de la COFTEL, a dit au Ministre de la Poste et des TIC, toute sa gratitude pour avoir accepté de présider la réunion. Il a ensuite évoqué la vitalité du secteur des télécommunications qui, en moins quinze ans, est devenu l’un des principaux vecteurs de la croissance des pays de l’UEMOA, transformant positivement les économies des états en offrant des services aux citoyens et en générant des emplois. Il a en outre appelé à l’institution d’un partenariat « gagnant-gagnant » entre les opérateurs et les dirigeants politiques. Abordant le thème de la réunion, M. Ahmed CISSE a décrié la taxation récurrente et systématique qui devient de plus en plus forte et qui, si l’on n’y prend garde, pourrait impacter négativement la croissance du secteur et des états de la sous-région. Il a terminé son propos en rappelant l’objectif de la réunion qui consistera à faire des propositions pour une taxation plus efficace prenant en compte les intérêts des différentes parties.
Pour M. Adrien Hoghon KOHOUE, représentant le Commissaire de l’UEMOA en charge des télécommunications, la création de la COFTEL répond à un besoin des instances de l’union de disposer d’un organe de réflexion et de propositions pour l’évolution du secteur des TIC dans la sous-région. Il a ensuite abordé la question de l’itinérance mobile en demandant aux opérateurs de proposer de façon consensuelle des tarifs justes en vue d’une parfaite utilisation de ce service par l’ensemble des états. Enfin, il a tenu à remercier, au nom de la Commission de l’UEMOA, l’ensemble des opérateurs et fournisseurs de services de télécommunications pour leur collaboration et leur engagement en vue de faire du service universel une réalité dans la sous-région.
Pour son discours d’ouverture, M. Bruno Nabagné KONE, Ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication et Porte-parole du Gouvernement, a d’abord indiqué la volonté affichée du gouvernement ivoirien de se tenir aux côtés du secteur privé et particulièrement de celui des TIC, en vue de favoriser l’émergence d’un marché sous régional des télécommunications. Selon lui, la vision et les ambitions du gouvernement sont en parfaite adéquation avec celles des membres de la COFTEL. Il a évoqué la nécessité pour les acteurs (publics et privés) des télécommunications de mettre en place un écosystème favorable à l’ensemble des parties prenantes que sont les décideurs, les opérateurs et les consommateurs. C’est selon Bruno KONE, la seule condition pour nos états d’attirer des investissements et capitaux locaux et étrangers.
Pour lui, le thème de la réunion est une illustration « du compromis dynamique qui doit exister entre l’exigence pour nos états de disposer de ressources suffisantes pour une action publique effective, et la nécessité de ne pas pénaliser un secteur en plein développement ».
Rappelons que la COFTEL a vu le jour en 2002 sous l’impulsion de l’UEMOA.
Source : Service communication MPTIC
Après avoir souhaité le traditionnel Akwaba aux différentes délégations, M. Ahmed CISSE, Directeur Général d’Atlantique Télécom Côte d’Ivoire et Président en exercice de la COFTEL, a dit au Ministre de la Poste et des TIC, toute sa gratitude pour avoir accepté de présider la réunion. Il a ensuite évoqué la vitalité du secteur des télécommunications qui, en moins quinze ans, est devenu l’un des principaux vecteurs de la croissance des pays de l’UEMOA, transformant positivement les économies des états en offrant des services aux citoyens et en générant des emplois. Il a en outre appelé à l’institution d’un partenariat « gagnant-gagnant » entre les opérateurs et les dirigeants politiques. Abordant le thème de la réunion, M. Ahmed CISSE a décrié la taxation récurrente et systématique qui devient de plus en plus forte et qui, si l’on n’y prend garde, pourrait impacter négativement la croissance du secteur et des états de la sous-région. Il a terminé son propos en rappelant l’objectif de la réunion qui consistera à faire des propositions pour une taxation plus efficace prenant en compte les intérêts des différentes parties.
Pour M. Adrien Hoghon KOHOUE, représentant le Commissaire de l’UEMOA en charge des télécommunications, la création de la COFTEL répond à un besoin des instances de l’union de disposer d’un organe de réflexion et de propositions pour l’évolution du secteur des TIC dans la sous-région. Il a ensuite abordé la question de l’itinérance mobile en demandant aux opérateurs de proposer de façon consensuelle des tarifs justes en vue d’une parfaite utilisation de ce service par l’ensemble des états. Enfin, il a tenu à remercier, au nom de la Commission de l’UEMOA, l’ensemble des opérateurs et fournisseurs de services de télécommunications pour leur collaboration et leur engagement en vue de faire du service universel une réalité dans la sous-région.
Pour son discours d’ouverture, M. Bruno Nabagné KONE, Ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication et Porte-parole du Gouvernement, a d’abord indiqué la volonté affichée du gouvernement ivoirien de se tenir aux côtés du secteur privé et particulièrement de celui des TIC, en vue de favoriser l’émergence d’un marché sous régional des télécommunications. Selon lui, la vision et les ambitions du gouvernement sont en parfaite adéquation avec celles des membres de la COFTEL. Il a évoqué la nécessité pour les acteurs (publics et privés) des télécommunications de mettre en place un écosystème favorable à l’ensemble des parties prenantes que sont les décideurs, les opérateurs et les consommateurs. C’est selon Bruno KONE, la seule condition pour nos états d’attirer des investissements et capitaux locaux et étrangers.
Pour lui, le thème de la réunion est une illustration « du compromis dynamique qui doit exister entre l’exigence pour nos états de disposer de ressources suffisantes pour une action publique effective, et la nécessité de ne pas pénaliser un secteur en plein développement ».
Rappelons que la COFTEL a vu le jour en 2002 sous l’impulsion de l’UEMOA.
Source : Service communication MPTIC